Camille V - Au Georges V

Catégories : Femmes fessées
Ce récit est la suite de : Camille IV - Le Pan
il y a 2 ans

Il l'attendait, assis sur un fauteuil Louis XV, costume trois pièces impeccable, chaussures italiennes, cravate en soie et Wayfarer vissées sur les yeux, il regardait sa montre… Camille était en retard…

Une fois par mois, Camille et Nicolas s'accordaient une après-midi "plaisir" au Georges V, une amie d'enfance de Camille travaillant à la direction, ils avaient trouvé un petit arrangement…

Ce matin, Il avait disposé sur la vieille malle de la chambre, les vêtements qu'il avait choisis pour elle : une petite robe noire, son foulard Hermès à dominante rouge, ses Repetto rouges vernies à petit talon (des Camille) et de la lingerie noire en soie coordonnée.

Il lui rapporta son petit déjeuner au lit, une douce nitescence éclairait son visage…

  • "Un ange au réveil, mais au réveil seulement !"dit-il en rigolant

  • "Maaiiiiis heeu ! Merci "dit-elle en récupérant son plateau.

Elle jeta un coup d’œil vers la malle :

  • "Tu veux déconcentrer mes collègues ?"

Tous deux se mirent à rire.

  • "Bon allez, je file ! A tout à l'heure, 14h et ne sois pas en retard !"

Il lui déposa un baiser sur le front, Camille étant occupée avec son croissant.

  • "Chalut à toute, bichou" marmonna-t-elle la bouche pleine.

Son petit déjeuner avalé, elle s'apprêta et partit également.

  • "14h05 Hum, Mademoiselle veut une fessée !"

Il alluma la TV et tomba sur Carmen, "on ne peut mieux comme accompagnement", pensa-t-il.

14h10 Le bip de la carte dans la porte, Camille entra. Nicolas resta assis, retira ses lunettes de soleil et la dévisagea.

  • "Tu es en retard et tu n'as pas prévenu, tu connais le tarif ! "

  • "Oui, mais..." dit-elle d'une voix enfantine en regardant ses chaussures.

Elle avait beau programmer presque toutes ses fessées, chaque annonce de punition faisait à chaque fois renaître la gamine en elle.

  • "Il n'y a pas de mais qui tienne, l'heure c'est l'heure et en plus nous avons un petit compte à régler pour ce matin"

Le cœur de Camille s'accéléra, de quel compte voulait-il parler ? Pas le temps de réfléchir, il l'avait déjà attrapée par le bras, s'était assis sur le bord du lit et l'avait basculée en travers de ses genoux.

  • "La fessée, il n'y a que ça que tu comprennes ! Même à ton âge !"

Son ton autoritaire résonnait comme une douce caresse dans son esprit... Une première claque tomba sur ses fesses, elle poussa un petit cri et esquissa un large sourire. Le préchauffage méthodique se poursuivit, l'alternance des claques la plongeait dans une douce torpeur.

  • "Lève-toi et enlève ta robe et ton foulard" dit-il sur un ton autoritaire.

Camille se releva, ôta son foulard, fit glisser délicatement sa robe à ses pieds et les déposa lascivement sur le fauteuil. Vêtue de ses seuls sous-vêtements et chaussures, elle mit machinalement ses mains sur la tête et glissa avec un sourire charmeur :

  • "Vous êtes beau, Monsieur."

  • "Nous discuterons de ma beauté plus tard, nous avons quelque chose à poursuivre il me semble, jeune fille !" dit-il lui lançant un regard amoureux.

  • "Reprends ta place, Camille."

Elle reprit sa place sur les genoux de Nicolas et la fessée reprit de plus belle; de grandes claques espacées qui faisaient vibrer ses fesses à chaque impact. La légère transparence de sa culotte laissait déjà entrevoir une belle couleur… Il marqua une pause, lui dégagea la nuque et la caressa doucement, son autre main avait ôté l'agrafe de son soutien-gorge qui avait rejoint l'épaisse moquette du palace. Il glissa ses mains sous l'élastique de sa petite culotte qui prit la même direction aidée par des petits mouvements de bassin de Camille. Il passa sa main sur les deux mappemondes chaudes, les caressant du bout des doigts puis sa main se dirigea lentement vers son petit abricot lisse sur lequel il s'attarda quelques instants...

Camille commençait à gémir, fermant les yeux et se mordillant la lèvre... La correction reprit sur un rythme plus soutenu, Nicolas alternant méthodiquement les coups sur chaque fesse, changeant parfois le rythme et l'intensité… La respiration de Camille s'accélérait doucement, ses jambes commençaient à battre l'air frénétiquement. Nicolas la sentant proche de la rupture, s'arrêta, caressa sa nuque, glissa ses doigts dans sa longue chevelure blonde désordonnée par la correction. Il lui prit ensuite la main et claqua rapidement et fortement sa lune qui tirait maintenant sur l'écarlate. Après une petite minute de cet intense traitement, il aida Camille à se relever. Les endorphines commençant à faire leur effet, elle était comme ivre.

  • "Va te mettre à genoux sur le fauteuil, que je contemple mon travail!"

Elle s'installa, et se frotta les fesses, bercée par l'air du toréador. Elle sentit la main de Nicolas attraper son poignet.

  • "Tu te masseras les fesses plus tard, je te rappelle que nous avons encore un compte à régler! Je déteste qu'on parle la bouche pleine et en plus je n'ai pas eu de bisou !"

  • "Ah c'était donc ça !!" pensa Camille à voix haute.

  • "C'est tout ce que tu trouves à dire ?"

  • "Mais mais, j'ai déjà eu une belle fessée" dit-elle d'une petite voix en regardant le sol.

  • "Un petit complément, ne te fera pas de mal je pense. Non ?"

  • "Oui, Monsieur..."

Il retira sa cravate, et la noua autour des poignets de Camille en laissant pendre un bout qui vint chatouiller les fesses meurtries de la pauvre.

  • "Va te mettre penchée au bord du lit"

Il avait disposé un gros oreiller sur le rebord du lit, elle vint s'y installer. Il la remonta un peu, afin de trouver l'angle optimal et lui enleva ses ballerines.

Elle était sur la pointe des pieds, jambes bien tendues, les fesses hautes, la tête enfouie dans le lit, attendant sagement la suite de sa punition.

  • "Quel beau spectacle, ça manque juste un peu de couleur!" s'exclama-t-il.

Camille entendit la boucle de la ceinture de Nicolas et poussa un soupir approbateur, toute émoustillée de se retrouver ainsi nue, vulnérable et offerte à son chéri.

Il caressa doucement son dos, ses cuisses puis ses fesses, s'autorisant une petite escapade vers le mont ruisselant de Camille. Le contact du cuir sur sa peau marquée la faisait frissonner, un sentiment mêlé de peur et de désir. Elle aimait la brûlure du cuir sur ses fesses, le claquement lourd de la ceinture doublée et les petites marques qu'elle laissait parfois lui rappelant les jours suivant cette délicieuse sanction.

Clac !

Le premier coup vint s'abattre sur ses globes rougis, ravivant la douleur de la précédente correction. Elle gémit. Fermement appliquée, la ceinture couvrait toute sa zone fessière n'épargnant le moindre recoin, ses gémissements s'intensifièrent. Nicolas arrêta et vint caresser ses fesses bouillantes, il s'attarda sur son petit œil puis il glissa sa main gauche sur le sexe ruisselant de Camille. Il saisit, par le talon, la ballerine qui traînait non loin et claqua à toute volée son derrière. Un long spasme parcouru son corps et elle éclata en sanglots. Il lui caressa le dos pour l'apaiser, puis lui attacha les pieds avec sa ceinture et partit chercher le "carré" pour lui bander les yeux. Il la déposa ensuite sur le lit, l'embrassa tendrement et sortit de la chambre. Elle était là, seule, attachée les fesses en feu sur le couvre-lit soyeux de ce grand palace. Elle était bien, apaisée. Bercée par l'opéra, elle s'endormit. Une chose froide qui parcourait son corps la sortit de son sommeil…

  • "Ça va, petit ange ?"

  • "Oui" répondit-elle simplement en lui souriant.

Le glaçon glissait sur ses fesses apaisant la brûlure, un peu moins agréable sur son nombril mais elle était livrée, puis il goûta délicatement à son nectar. Privée de la vue, ses sensations étaient décuplées, il la pénétra alors et ils jouirent de concert… Il la détacha et ils restèrent quelques instants, main dans la main, allongés sans rien dire à savourer la plénitude du moment. Puis ils se rhabillèrent.

  • "Ben où est ma culotte ?" s'exclama Camille.

  • "Confisquée, jusqu'à ce soir ! Puis, un peu d'air frais sur tes fesses, ça ne peut que te faire du bien !"dit-il en lui faisant un clin d’œil et glissant sa culotte dans sa veste à la manière d'une pochette.

  • "Vilain !"dit-elle en rigolant.

Ils quittèrent la suite et Nicolas l'emmena vers le bar où les attendaient à une table donnant sur le jardin, deux tartelettes aux fraises et deux coupe de champagne.

  • "Hum, chest bon !" Dit Camille, la bouche pleine lui faisant un clin d’œil.

Il éclata de rire !

  • "Allons faire une petite balade sur les quais !" proposa-t-elle en se levant d'un bond

  • "OK !" Dit-il se levant également

  • "En route!" Il souleva rapidement sa robe et lui mit une petite tape, elle piqua un fard et ils partirent bras dessus bras dessous...

Lire la suite : Camille VI - La gourmande
Une très belle suite. Encore et merci
Merci merci .
Oh la provocatrice comme beaucoup de coquines ! Très vivant et aéré ce texte, merci.
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