Institution Saint-Sauveur 2

Catégories : Femmes fessées Hommes fessés
Ce récit est la suite de : Institution Saint-Sauveur
il y a 4 ans

Le lendemain était un jour de rendez-vous avec la directrice de mon laboratoire de recherche. Elle resta un moment songeuse après que je lui ai fait part de mes premières observations. Je la sentais réfléchir aux implications de la situation, mais je ne la voyais pas étonnée sur l’emploi de ces méthodes qui, même après une nuit de sommeil, me semblaient toujours aussi décalée avec la norme en vigueur dans la quasi-totalité des établissements. Je me suis alors demandé ce que mon interlocutrice savait des pratiques disciplinaires de St Marie avant que j’y mette les pieds.

Je gardais pour moi mes questions sur le bien-fondé des méthodes employées à St Marie. Nous échangeâmes sur les méthodes à mettre en place pour répondre à la commande qui nous avait été passée.

La question des craintes des religieuses quant aux perturbations que risquait d’apporter ma présence fut largement débattue. Nous arrivâmes à la conclusion qu’il n’y avait pas de solution pleinement satisfaisante. Il était nécessaire que je me fasse discret, dans l’attente de l’émergence d’une idée plus brillante.

Nous conclûmes qu’il fallait que je passe par un inventaire des motifs de punition et de l’examen de leur adéquation avec la sévérité des punitions. Y avait-il une corrélation ? Pouvait-on mettre en évidence de l’arbitraire dans la façon de punir les contrevenants et dans la rigueur du châtiment qui leur était opposé ?

Pour ce faire, il me fallait une observation des plus larges sur les lieux où se déroulaient ces fessées, leurs motifs et leur sévérité. Le fameux carnet qui jouait un rôle central, restait un mystère qu’il fallait éclaircir.

Je pris le reste de la journée pour formaliser ma méthodologie d’étude de la discipline à St Marie. En fin de journée, je téléphonais à Sœur Marie Joseph pour lui demander de me recevoir dès qu’elle le pourrait. Le lendemain, je me trouvais dans son bureau à la première heure.

–« Ma Sœur, en accord avec ma directrice de laboratoire, La professeur Girard, j’ai besoin d’avoir accès à tous les moments où la discipline s’exerce à St Marie. Je souhaite donc pouvoir assister, de façon durable, à une classe, afin de la suivre toute la journée. En fait, je souhaiterai pouvoir suivre plusieurs classes, peut-être une avec les élèves les plus jeunes et une autre avec des terminales. Il s’agit de pouvoir assister à tous les temps où vous punissez des élèves pour comprendre les logiques et les récurrences des punitions qui leur sont administrées.

– Je ne suis pas certaine que cela va réjouir les professeures aux classes desquels vous assisterez. Je me suis engagé à vous faciliter les choses tant que vous ne perturberez pas le fonctionnement de notre établissement. Je vais donc vous trouvez cela. »

Je m’étais attendu à devoir argumenter pied à pied pour obtenir une présence dans les classes. Je restais assez désarçonné devant la facilité avec laquelle j’avais obtenu gain de cause.

–« Vous dites, poursuivit la directrice, que vous souhaitez accéder à tous les endroits où nos pupilles reçoivent les corrections qu’ils ont méritées. Avec le plan que vous venez de me présenter, vous aurez une impasse difficile à combler. Comment pensez-vous aborder la question de la fessée à la maison ? »

Je ne compris pas tout de suite de quoi elle voulait parler.

–« Mais la fessée à la maison n’est pas une conséquence directe des punitions reçues à l’école.

– Croyez-vous ? Vous ne connaissez pas encore toutes les subtilités du système que nous avons mis en place. Avez-vous remarqué le carnet que chaque élève porte sur lui ?

La conversation s’orientait sur un sujet qui m’intriguait au plus haut point.

–« Toutes les fessées reçues à St Marie sont consignées sur un carnet de correspondance personnel, quel qu’en soit le motif. Il doit nous revenir signé par les parents dès le lendemain. Si ce n’est pas le cas, l’élève reçoit une nouvelle fessée qui est à son tour portée sur le carnet. »

Je comprenais enfin l’exigence du carnet que j’avais notée suite aux trois fessées que des élèves avaient prises sous mes yeux.

–« Bien évidemment, nous exigeons des parents qu’ils administrent une bonne fessée à leur rejeton pour chaque fessée reçue ici, selon le vieux principe : une fessée à l’école, une fessée à la maison. Quand il n’y a ni père, ni mère disponible ou volontaire pour administrer ces punitions, nous demandons à un autre membre de la famille de s’en charger. Quand il n’y en a pas, nous cherchons un tuteur dans le voisinage. Cette suppléance est souvent confiée à un parent d’un autre élève ou d’un ancien élève de notre établissement. »

Effectivement, cette partie-là m’avait échappé.

–« Je ne me vois pas demander à une famille, même à celles qui nous ont confié leur e n f a n t depuis la sixième, de vous accueillir pour assister à une fessée parentale. J’ai peur que cet aspect des choses doive échapper à votre sagacité. »

Cela m’ennuyait. Je voyais bien la directrice de mon labo contester l’ensemble de la méthodologie si je ne trouvais pas comment contourner cet obstacle. Un début de solution commençait à m’apparaitre.

–« Comment faites-vous, ma Sœur, pour les internes ? Echappent-ils à ce principe ?

– Évidemment non, c’est la maîtresse du dortoir dans lequel ils dorment qui se charge de cette discipline.

– Croyez-vous, ma Sœur, qu’il me serait possible d’observer ces fessées dans votre internat. Finalement, c’est l’équivalent de ce qui se passe en famille.

– Vous n’avez pas tort. C’est effectivement plus facile à l’internat. Si nous vous donnons accès aux classes, il n’y a pas de raison que vous ne puissiez observer ce qui se passe avec les élèves que nous hébergeons.

– Puis-je considérer, ma Sœur, que j’ai votre accord ?

– Je pense que nous pouvons considérer que c’est une question réglée. »

J’étais assez fier de moi. J’avais mené ma négociation avec une grande pertinence.

– « Ah, j’y pense, reprit Sœur Marie Joseph, il y a encore un obstacle. »

Avais-je crié victoire trop tôt ?

– « Les portes de notre établissement ferment dès que le dernier externe est sorti. Elles ne rouvrent que le lendemain. Bien entendu, je ne souhaite pas faire d’exception pour vous. »

Il ne fallait pas trop en demander. Résoudre cette question me sembla des plus simple.

– « Vous avez raison, ma Sœur. Il suffit alors que je passe la nuit dans l’établissement durant quelques semaines, un mois tout au plus. Vous devez bien avoir une chambre à mettre à ma disposition. »

La religieuse n’hésita pas. Elle était de très bonne composition et cela était de bon augure pour la suite de mon étude.

– « Cet arrangement est parfait. Vous serez logé dans l’aile réservée aux professeurs laïques. Il y a encore plusieurs chambres de libre. Je préfère vous prévenir, ce n’est pas le grand luxe, c’est même un peu spartiate. Vous devrez entretenir votre chambre vous-même. »

Je la rassurai sur mon niveau d’exigence. Je me présentais le lendemain matin avec un minimum de vêtements et un nécessaire à toilette pour le reste de la semaine. La chambre qui m’était attribuée avait un air des années cinquante, mais elle était propre et disposait d’une douche et de toilette privatives. C’est tout ce qu’il me fallait pour passer quelques nuits à St Marie.

Je voulais profiter de l’autorisation qui m’était donnée dès que possible afin de ne pas laisser le temps aux Sœurs de revenir sur leur décision. Je faisais le pari qu’une fois installé dans les classes, il serait difficile de m’en exclure.

Je choisis au hasard, une classe de sixième. Je prends cependant la précaution d’informer la professeure, Sœur Dominique, que je vais assister à son cours. Apparemment, elle a été mise au courant de l’autorisation que j’ai reçue de la part de la directrice. Elle se contente de froncer les sourcils et de m’autoriser à entrer.

–« Installez-vous au fond de la classe. Je vous demande de vous faire oublier. Pas de bruit, pas d’intervention. Je n’hésiterai pas à vous expulser. »

L’heure de cours commença par le moment où il s’agissait de réciter les leçons. C’était un cours de français. Les élèves avaient eu une poésie à apprendre. C’est une fille qui est interrogée en premier. Elle s’en sortit très bien. Le garçon interrogé ensuite ne réussit pas à aller au-delà du deuxième vers. La Sœur lui demanda de recommencer, mais il n’alla pas plus loin la deuxième fois.

–« Vous ne savez pas votre poésie, n’est-ce pas Valentin ? »

Les yeux du garçon se remplirent de larmes.

–« Pardon, ma Sœur, plaida-t-il. Je l’ai apprise, mais je ne la sais plus.

– Pas de souci, mon garçon. Tu vas être pardonné quand tu la sauras par cœur. Mais d’abord … »

Sœur Dominique fit approcher le garçon en l’amenant à elle en le tirant par le poignet. Il ne résista pas. Elle lui déboutonna le pantalon aussitôt. Puis, elle le ploya sous son bras et fit glisser la culotte jusqu’au milieu de ses cuisses. Valentin tournait le dos à la classe. Nous avions la vue sur ses fesses nues qui se crispaient dans l’attente de la punition. Il n’y eut pas un bruit dans la classe. Je sentais les e n f a n t s attentifs à la scène qui se déroulait sous leurs yeux.

Sœur Dominique ne fit pas attendre Valentin plus longtemps. Elle fit tomber sa main sur les fesses du garçon. Dans l’espace fermé de la classe, cela fit un bruit impressionnant qui me fit ressentir la f o r c e de la fessée, comme si une onde énergétique avait parcouru la salle. Valentin commença à pleurer dès la deuxième claque sur ses fesses. Il ne suppliait pas sa correctrice, il accompagnait juste chaque claque par un « aïe » sonore qui suspendait la monotonie de ses pleurs.

La fessée cessa. J’étais incapable de dire combien de temps elle avait duré. Trente seconde ? Une minute, deux ? Plus longtemps ? La Sœur relâcha le garçon et le dirigea vers le coin. Elle l’y installa alors, tournant le dos à ses camarades, montrant ses fesses nues et rougies. Elle lui donna le livre dans lequel se trouvait la poésie à apprendre.

–« Vous avez quinze minutes pour apprendre cette poésie. Je vous réinterrogerais à ce moment-là. »

La récitation des leçons se passa sans autre incident. Valentin, réinterrogé après ses camarades fut capable, à ma grande surprise, de répondre aux exigences de la professeure. Elle l’autorisa à se reculotter ce qu’il fit sur l’estrade, face à ses camarades. Puis la Sœur le prit contre elle, enfouissant son visage dans sa poitrine. Elle caressa son dos en le consolant.

–« Allons, ce n’est rien. La prochaine fois tu feras plus attention à tes leçons, n’est-ce pas ?

– Oui, ma Sœur, bredouilla Valentin. »

Valentin pleura encore un peu, puis il se calma. Sœur Dominique sortit un mouchoir et elle essuya les larmes qui roulaient sur les joues du garçon et elle lui moucha le nez. Le garçon entoura la Sœur de ses bras et il resta là quelques instants. Il était visible qu’il cherchait un réconfort entre les bras de sa correctrice.

J’étais stupéfait de son comportement. J’aurai volontiers cru qu’il chercherait à prendre ses distances avec celle qui l’avait si douloureusement puni. Il n’en était rien. Il ne semblait y avoir aucun ressentiment envers la personne qui l’avait fessée. Au contraire, il cherchait à se faire consoler. La légitimité de la professeure à administrer une fessée déculottée semblait une évidence. L’attitude de Valentin, mais également celle de ses camarades, le confirmait sans aucun doute possible.

Sœur Dominique le renvoya à sa place avec quelques petites tapes sur les fesses ce qui pouvait passer à la fois pour un encouragement et à la fois pour la promesse d’une prochaine fessée.

Le cours continua sans s’arrêter plus longtemps sur cette péripétie. Un élève avait été fessé. Il l’avait mérité. Cela ne valait pas le coup d’en faire une affaire, c’était un événement trop banal. Il s’agissait, pour la suite du cours d’analyser un texte pris dans le manuel de français. La Sœur avait une façon de faire qui impliquait beaucoup les élèves. Chacun donnait son avis et sa contribution était prise en compte pour constituer une analyse assez singulière.

Cependant, la professeure dut reprendre quelques élèves dont l’attention à ce qui se passait en classe était limitée. J’avais l’impression d’en être la cause. Beaucoup des élèves se retournaient régulièrement pour jeter un œil à ce que je faisais. Je sentais l’irritation de la Sœur monter. Il n’y avait pas vraiment de désobéissance, mais plutôt un intérêt limité pour ce qu’elle disait. La classe, très participative au début devint peu à peu apathique. Alors que deux élèves se retournèrent pour juger de ce que je faisais, Sœur Dominique décida qu’il était temps d’intervenir.

–« Je crois, dit-elle, qu’il est temps que cela cesse. Certes, la présence de Monsieur Fournier change nos habitudes, nous n’avons pas l’habitude d’avoir un observateur dans la classe. Sachez que cela ne doit rien changer à nos habitudes et à notre qualité de travail. Vous avez vu que cela ne m’empêche pas de donner la fessée quand elle est nécessaire. Comme je vous trouve peu attentifs, je préviens le prochain qui se retournera vers le fond de la classe, qu’il sera puni. »

La menace fit son effet, la professeure récupéra l’attention de la quasi-totalité de la classe. La distraction des élèves cessa aussitôt pour se reconcentrer sur le cours de français. Toute la classe resta focalisée sur le texte que proposait la religieuse. Environ dis minutes avant la fin du cours, deux jeunes filles, placées à l’autre bout de la classe se retournèrent vers moi.

–« Oh, pensais-je, en voilà deux qui prennent des risques avec la couleur de leurs fesses ! »

Les choses auraient pu en rester là si les deux demoiselles n’avaient pas insisté. Elles tinrent un court conciliabule derrière leurs mains. Cela se termina en un petit rire partagé qui était bien trop bruyant pour échapper à leur professeure. Inconscientes, elles me jetèrent encore un regard, juste au moment où la religieuse regardait par-dessus son épaule pour savoir d’où venait ce bruit inhabituel.

–« Sarah et Océane, venez ici ! »

Les deux jeunes filles se levèrent et se rendirent à la convocation de leur professeure. Sarah avait blêmit et les yeux d’Océane était déjà pleins de larmes. Elles savaient toutes les deux ce qui les attendait.

–« Il semble que je me sois pas bien fait comprendre quand je vous ai avertis tout à l’heure. Décidément, nous avons aujourd’hui dans cette classe quelques élèves énervés par la présence de notre invité. Y compris des élèves habituellement très sages sont aujourd’hui très dissipés. »

Les deux demoiselles se tenaient à portée de main de leur professeure, nous tournant le dos et la tête baissée.

-« Si je ne me trompe pas, Océane, ce sera votre première fessée.

– Oui, ma Sœur.

– Cela montre que, à St Marie, même les très bons élèves peuvent être punis. Allons, mesdemoiselles, relevez votre jupe ! »

Dans un bel ensemble, les deux jeunes filles obéirent, laissant voir leur culotte blanche. La religieuse attrapa la plus proche d’elle, la courba sous son bras, puis elle lui baissa la culotte. Sarah gémit et je vis ses fesses se crisper. Il n’y eut besoin que de quelques claques de la main nue de sa professeure pour que la jeune fille éclate en s a n g lots. Elle poussait un cri à chaque tape qu’elle recevait. La fessée ne fut pas bien longue, mais les fesses de Sarah avaient pris une teinte rouge soutenu tout à fait uniforme. La Sœur coinça la jupe de la jeune fille à hauteur de sa taille. Cela semblait un geste maintes fois répété.

-« Allez vous mettre au piquet, jeune fille ! »

C’était une routine bien établie. Il n’y avait pas d’hésitation ni de la part de la religieuse, ni de la part de l’élève. Je ne sais pas combien de fois Sarah avait reçu une fessée à St Marie, mais elle savait ce qu’on attendait d’elle. Elle se plaça le nez contre le mur, les mains sur la tête, à côté du tableau. Sa jupe relevée et sa culotte baissée laissait voir ses fesses portant encore les traces de la correction.

–« A votre tour Océane ! »

Il n’y avait que deux pas à faire pour qu’Océane se rende là où la fessée l’attendait. La jeune fille regarda à droite, puis à gauche, espérant sans doute qu’une intervention miraculeuse la sorte du mauvais pas dans lequel elle s’était mise.

–« Océane! gronda la religieuse. »

Cela suffit pour déclencher un réflexe d’obéissance. Une seconde plus tard, la jeune fille était immobilisée sous le coude de sa professeure, laissant ses fesses à la disposition de sa correctrice. Quand cette dernière saisit l’élastique de la culotte, Océane éclata en s a n g lots, mais elle se laissa déculotter sans esquisser le moindre geste de défense.

Autant que je pus en juger, la fessée qu’elle reçut était équivalente à celle de sa camarade quelques minutes plus tôt. Les fesse d’Océane prirent une teinte assez proche de les des fesses de Sarah : unies dans la désobéissance, unies dans la punition.

Océane alla rejoindre Sarah au piquet. C’est deux paires de fesses rouge, mais reprenant peu à peu leur couleur d’origine que toute la classe put contempler jusqu’à la fin de l’heure. Le cours continua son chemin. Cette correction avait ôté toute envie de me porter attention. La professeure disposa d’une concentration sans faille de la part de tous ses élèves.

A la fin du cours, après en avoir reçu l’autorisation par leur professeure, tous les élèves sortirent. Cela se fit en douceur et en silence, sans aucune bousculade. Je m’appétais à les suivre quand je fus interpellé par la religieuse.

–« Pouvez-vous rester un instant, j’aurai à vous parler. »

Je crus comprendre, au ton qu’elle employait, que ce n’était pas une demande, mais un ordre formulé poliment. J’acquiesçais. Sans me prêter plus d’attention, elle se tourna vers les deux jeunes filles qui étaient toujours au piquet.

–« Venez-ici toutes les deux. »

Les deux jeunes filles se retournèrent et elles se réfugièrent dans les bras de leur professeure. Elles y restèrent un court instant, pleurant doucement. Comme elle l’avait fait avec Valentin, la religieuse essuya les larmes qui coulaient sur les joues des deux e n f a n t s puis elle leur moucha le nez. Cela suffit pour faire cesser les pleurs. La Sœur examina les fesses de ses deux punies, y passant sa main pour un léger massage.

–« Bon, il n’y a pas grand dommage sur les fesses. »

Alors, elle remonta les culottes de ses deux élèves et remit leur jupe à sa place.

–« J’ai noté la fessée sur vos carnets. Etre de nouveau punies ce soir vous fera le plus grand bien. Dépêchez-vous de rejoindre votre prochain cours. Il ne faudrait pas que vous arriviez en retard, Sœur Françoise serait obligée de vous fesser. »

Elle donna une petite tape sur la jupe des deux jeunes filles qui sortirent pour rejoindre leur prochaine classe.

–« J’espère, dit-elle en se tournant vers moi, que vous n’êtes pas fier de ce que vous avez fait. »

Le sourire qui avait éclairé son visage durant le moment de tendresse partagé avec les deux jeunes filles, avait disparu. Elle avait repris un air sévère.

–« Je … je ne …, commençais-je en bafouillant, c’est que … je n’ai rien fait … je ne vois pas ce vous … enfin … ce que vous voulez dire.

– Eh bien, moi, je pense que vous savez parfaitement ce que je veux dire. C’est tellement flagrant. Il semble que vous cherchiez à vous sortir de la situation en mentant effrontément. En d’autres circonstances, j’aurai dû m’occuper de ce mensonge. Mais passons. »

Je ne savais plus comment me comporter devant la colère de Sœur Dominique. Je savais au fond de moi qu’elle avait raison.

–« Vous avez perturbé mon cours et c’est votre présence qui a été la cause de la fessée que Sarah et Océane ont reçue. Je compte, à l’avenir sur votre discrétion. Faites-vous oublier ! »

Je restais sans mots devant elle.

–« Si vous devez rejoindre le prochain cours, il est temps que vous y alliez. Il doit être commencé.

– Merci, Ma Sœur, réussis-je à bredouiller.

Commentaire : perdre pieds face à des sœurs aussi sévère n'est vraiment pas une bonne idée.....
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