Une nouvelle maison pour Clara 3

Catégories : Femmes fessées Hommes fessés
Ce récit est la suite de : Une nouvelle maison pour Clara 2
il y a 4 ans

« Venez-ici, mes deux petits menteurs ! »

Le premier regard que jeta Clara, une fois le nez sorti du coin, ce fut à Stanislav qui, lui, le regardait également. Ils rougirent de honte d’être vus dans cette posture. Certes, ils s’étaient déjà contemplés sans aucun vêtement, mais la tenue de ce soir n’avait rien à voir. Quand ils se regardèrent, l’un l’autre, ils virent juste un et une puni qui se dirigeaient lentement vers la personne qui détenait une autorité suffisante pour les corriger quand elle le décidait. La part adulte de leur personnalité était mise entre parenthèses.

Ils n’eurent pas d’autre choix que de mettre leur gêne au second plan quand Madame Gorevski les gronda.

« Dépêchez-vous ! Je vous ai dit de venir me voir, c’est donc tout de suite ! »

Elle avait vu l’arrêt qu’ils avaient marqué en se découvrant, en e n f a n t puni, dans le regard de l’autre. La bouffée de honte leur avait fait oublier, un court instant, l’ordre donné. La réprimande les avait remis en marche. Il fallait obéir à cette voix, surtout quand elle montrait du mécontentement.

Il n’y avait qu’une dizaine de pas à effectuer. Ils se postèrent côte à côte devant Madame Gorevski.

« Quand je vous dis de faire quelque chose, vous obéissez sans délai. »

En le prenant par le coude, il fit pivoter son fils afin de tourner ses fesses de profil par rapport à elle. La claque qu’elle lui donna sur les fesses lui arracha un petit cri. Puis, elle administra le même traitement à Clara qui réagit de la même façon. Des larmes montèrent dans ses yeux.

« La prochaine fois, ce sera une vraie fessée ! »

Si on met de côté la grimace due à la fessée, ni l’un ni l’autre n’eut l’idée de protester. Que le reproche s’accompagnât d’une petite fessée était dans l’ordre des choses. C’était à Madame Gorevski d’en décider. Elle avait été distribuée de façon égalitaire pour la même faute, qu’il aurait-il à dire ? Intuitivement, ils avaient compris que si c’était une première, ils seraient désormais souvent placés dans une situation analogue.

Madame Gorevski continua à instaurer les règles qu’elle entendait que ses punis suivent à la lettre.

« Stanislav, ta chemise recouvre une partie de tes fesses ! »

Une claque sur le haut de la cuisse accompagna la remarque.

« Relève-la plus haut que ça ! »

L’empressement de Stanislav à obéir était visible.

« Quand vous serez punis, vous ferez attention à laisser vos fesses bien découvertes. Les montrer indiquera à tout le monde, vous y compris, que vous êtes punis. C’est important qu’il n’y ait pas d’ambiguïté dans votre tête sur ce sujet. Cela vous aidera à comprendre la gravité de ce qui vous a conduits à être dans cette tenue. Je veux être certaine que vous en prendrez conscience à chaque fois. »

Clara et Stanislav entrevoyaient un avenir proche où la situation nouvelle qu’ils vivaient deviendrait la norme.

« Il nous reste à régler cette histoire de mensonge. Tous les deux, aujourd’hui, vous avez cru qu’en racontant des histoires, vous pourriez éviter une punition. Ce ne sera jamais le cas. Je ne tolérerai pas que vous mentiez. Je vais vous en faire passer l’envie. A chaque fois que vous serez pris, vous serez magistralement corrigés. »

Ils baissaient tous deux la tête. Que faire d’autre ? Madame Gorevski avait parfaitement raison.

« Allez, ouste ! Dans la salle de bains ! »

Une bonne claque à chacun sur les fesses nous invita à ne pas discuter. Ce fut un défilé étrange. Clara s’essayant à marcher sans laisser tomber sa culotte sur ses chaussures, tout en maintenant sa jupe relevée et Stanislav, les chevilles entravées par son pantalon adoptant la démarche saccadée à laquelle l'obligeaient des vêtements baissés.

« Mettez-vous là ! »

Clara voyait où elle voulait en venir. Cela lui avait été annoncé par Madame André avant de la renvoyer chez elle. Elle avait la mine sombre de ceux qui s’attendaient à passer quelques moments désagréables. Stanislav, lui, ne se doutait pas encore de ce que sa mère préparait. Sa culotte baissée lui indiquait, sans le moindre doute, que la punition n’était pas achevée. L’air qu’avait pris Clara l’incitait à la prudence. Il ne voyait pas sa mère faire preuve de clémence suite aux mensonges répétés qu’il avait proférés.

Madame Gorevski prit un savon qu’elle passa sous le jet d’eau. Elle le présenta devant les lèvres de sa belle-fille.

« Ouvre la bouche, Clara ! »

Clara n’hésita qu’une fraction de seconde. Elle savait que sa belle-mère arriverait à ses fins. Autant s’épargner la fessée qui ne manquerait pas d’accompagner tout soupçon de désobéissance. Elle ouvrit la bouche.

« Plus grand ! »

Madame Gorevski enfourna le savon dans la bouche de Clara et elle en frotta l’intérieur : les dents, le palais, la langue. Clara eut immédiatement le goût amer et exagérément parfumé qui vint lui saturer les papilles gustatives.

« Ce sera comme cela à chaque fois que vous mentirez. Je vous laverai la bouche au savon pour en faire partir les mensonges. Vous verrez que le savon cela met en évidence leur amertume ! »

Clara n’osait ni avaler sa salive, ni la cracher. Quand Madame Gorevski estima qu’elle avait déposé assez de produit dans la bouche de sa belle-fille, elle reposa le savon.

« Ferme la bouche et avale ta salive ! Elle n’aura pas très bon goût, mais il faut que ce soit suffisamment désagréable pour que tu n’aies plus envie de mentir. »

Clara ne se résolvait pas à avaler la gorgée de salive savonneuse. Une claque sur les fesses l’y encouragea.

« J’ai dit : avale ! »

Il fallut quatre ou cinq claques pour que la douleur sur les fesses l’emporte sur le désagrément d’ingérer le savon. Clara avala, mais des larmes lui montaient aux yeux. Elle eut quelques haut-le-cœur, mais elle réussit à garder le contrôle de son estomac qui aurait préféré expulser ce liquide nauséabond.

« Fais bien attention à ce qu’il n’y ait pas de salive qui coule de ta bouche. Ce serait la fessée ! »

Sur cette dernière menace, elle reporta son attention sur Stanislav.

« A ton tour, mon garçon ! »

Stanislav fit un pas en arrière.

« Non, attends ! Je ne mentirai plus. J’ai compris. Ce n’est pas nécessaire. Je …

– Suffit mon garçon. Tu vas avoir la même punition que Clara pour avoir menti. Après cela, je pense que tu auras nettement moins envie de recommencer. Ouvre la bouche ! »

Madame Gorevski présenta le savon.

« Non, non, … »

Mais il n’ouvrait toujours pas la bouche. Il était facile d’atteindre les limites de la patience de Madame Gorevski. Elle prit son fils par l’oreille, puis elle la tira vers le bas l’obligeant à se mettre à genoux. Elle s’assit sur le coin de la baignoire, puis toujours en le tenant par l’oreille, elle l’obligea à se déplacer sur ses genoux pour se rapprocher d’elle. Alors elle le coinça entre ses cuisses en les refermant de chaque côté de son buste.

Les fesses nues de Stanislav étaient idéalement disposées pour que la main gauche de sa mère entre en action. Dès la quatrième claque, il ouvrit la bouche pour pousser un cri, ce qui permit à Madame Gorevski d’y faire entrer le savon. Il serra les dents, mais cela ne fit qu’augmenter le volume de copeaux de savon qui se déposaient sur ses dents.

Encore quelques claques sur les fesses et il dut ouvrir la bouche pour exprimer sa douleur, ce qui permit à Madame Gorevski de faire pénétrer le savon dans sa bouche un peu plus loin. Il essaya alors de le repousser avec sa langue, y accentuant le dépôt de savon. C’est quand il commença à cracher que sa mère se fâcha pour de bon.

« Clara, donne-moi ta brosse, celle qui est là ! »

C’est, munie de la brosse à chevaux de Clara, que Madame Gorevski poursuivit la fessée. Le bois du dos de la brosse était plat et large. Madame Gorevski tenait l’instrument bien en main grâce à son manche ergonomique. Cela en faisait un outil redoutable.

Les hurlements et les pleurs de Stanislav n’incitaient pas sa mère à s’arrêter. Au contraire !

« C’est l’obéissance qui rentre, pensait-elle. Je continue pour être certaine que cela restera pour longtemps dans la tête de mon garçon ! »

La possibilité de mouvement de Stanislav était très limitée. Il aurait dû f o r c e r sur les cuisses de sa mère qui l’enserraient, ce qu’il n’osait faire. il esquissa le geste de mettre sa main en protection.

« Je t’interdis de couvrir tes fesses avant que je ne t’en donne l’autorisation. Tu vas prendre l’habitude de me laisser te fesser sans y faire obstacle ! Fais bien attention à ce que tu fais ! Pose tes deux mains à plat sur mon genou, devant toi ! »

La brosse reprit sa danse sur les fesses de Stanislav. Il avait obéi à sa mère. Ses mains trituraient le tissu de la jupe de sa mère tout en criant sa douleur. Il tenta de remuer les jambes, mais la douleur que cela provoquait sur ses genoux était insupportable. Seule sa tête pouvait bouger sans précaution.

Si elle fut intense, la fessée ne fut pas bien longue. Madame Gorevski posa la brosse et elle présenta le savon devant les lèvres de Stanislav.

« Ouvre la bouche ! »

Stanislav écarta ses mâchoires. Sa mère introduisit le savon dans sa bouche et le frotta consciencieusement contre toutes les surfaces qui étaient à sa portée. Les nausées Stanislav ne lui causèrent aucun remord. Il fallait que son fils comprenne que les mensonges ne seraient plus admis et qu’ils se traduiraient par une correction magistrale dont le savonnage de bouche n’était que le début. Elle se devait d’être intraitable. Plus vite il aurait compris le risque pris à mentir, plus vite il y renoncerait.

« N’oublie pas ! Comme Clara, tu dois avaler ta salive, aussi mauvaise soit-elle ! »

La dose de savon déposée dans la bouche de Stanislav fut plus importante que celle à laquelle avait eu le droit Clara. Une conséquence du refus de se laisser faire. Même une fois le savon ôté de sa bouche, Stanislav avait l’impression qu’il continuait à en mâcher et à en avaler à pleines gorgées.

Vint le moment où en rajouter n’aurait plus produit aucun effet. Madame Gorevski déposa son savon.

« Debout, dit-elle à son fils ! »

Dès qu’il fut sur ses pieds elle le prit une nouvelle fois par l’oreille.

« En marche, jeune homme ! Et toi Clara, tu suis ! »

Elle conduisit Stanislav dans le coin qu’il avait quitté quelques minutes auparavant et elle y replaça son garçon dans la posture qui avait été la sienne. Clara se mit d’elle-même dans le sien. Ils ne pouvaient, l’une et l’autre, s’empêcher de remuer les mâchoires, afin d’avaler leur salive, ce qui leur demandait un effort sans cesse renouvelé. Ils n’avaient pas d’autre choix que de déglutir quand leur bouche était pleine, mais cela représentait un effort à chaque goulée.

Madame Gorevski reprit sa place sur le canapé. De là, elle avait une vue parfaite sur ses deux e n f a n t s dans leur coin. Elle se détendit un petit moment. Elle ressentait une fierté quand elle pensait à ce qu’elle avait fait pendant la soirée, mais il ne fallait pas s’arrêter en si bon chemin. Son travail n’était pas encore abouti.

« Clara, viens-ici ! »

Le tressaillement de sa belle-fille, au son de sa voix, fut évident. Quand Clara se retourna, elle vit que sa belle-mère avait la brosse en main. Elle blêmit.

« Non Madame, s’il vous plait.

– Pas de comédie. A chaque fois que tu mentiras, tu recevras une grosse fessée. La brosse va m’aider à te faire comprendre que c’est la dernière fois que tu mens. Je veux que tu regrettes ce que tu as fait. Plus longtemps tu sentiras les effets de la fessée plus longtemps tu te rappelleras qu’il est interdit de mentir.

– Pardon Madame, pardon.

– Allons, en place ! »

Malgré l’effroi dans ses yeux, Clara laissa sa belle-mère la coucher en travers de ses genoux. Elle tremblait sur ses jambes, mais elle n’envisageait pas de refuser de recevoir la fessée. Ne plus avoir à supporter son poids fut un soulagement.

Elle laissa sa belle-mère l’installer afin que ses fesses soient dans une position plus appropriée pour l’usage de la brosse. Madame Gorevski glissa une main sous le ventre de Clara. Elle effleurait la toison pubienne de la jeune fille sans y prêter attention. Puis, elle passa un bras entre les jambes de Clara et glissa sa main dans l’entrejambe de la jeune fille, jusque sous son ventre. Son avant-bras était plaqué contre le sexe de Clara, quand elle la souleva légèrement pour la déplacer à sa convenance.

C’étaient les gestes d’une mère vis-à-vis de sa petite fille. Son lien d’autorité lui donnait toute légitimité pour toucher toutes les parties du corps de son e n f a n t , y compris les plus intimes, du moment qu’il s’agissait de prendre soin de sa fille. De son point de vue, donner la fessée entrait dans cette catégorie.

Clara, de son côté ne s’était pas vraiment aperçue de cet attouchement inhabituel. Elle n’avait pas eu l’impression d’un contact d’une main étrangère sur son sexe. Le geste de sa belle-mère était naturel : puisqu’il fallait lui donner la fessée, il était normal de la positionner correctement pour ce faire. Elle n’avait plus l’impression d’avoir ni espace d’intimité, ni pudeur. Comment revendiquer l’une ou l’autre quand son sexe nu était posé sur la cuisse d’une autre personne au regard de laquelle elle offrait ses fesses prêtes pour une prochaine fessée ?

Clara n’avait qu’une préoccupation : la correction qu’elle devait recevoir et l’impact du dos de la brosse dont elle venait de constater l’efficacité sur les fesses de Stanislav. Les préparatifs de Madame Gorevski tendaient vers ce moment, quand la brosse s’écraserait pour la première fois sur ses fesses.

Ce moment vint et Clara s’abandonna à la correction. La brosse était bien aussi redoutable qu’elle l’avait craint. Elle laissait une empreinte brûlante là où elle était appliquée. Clara n’avait pas le temps de reprendre son souffle avant que l’autre fesse l’eût expérimenté à son tour. Elle resta en apnée pendant que Madame Gorevski lui administra les quatre ou cinq premiers coups de brosse sur chaque fesse, puis, en reprenant sa respiration, elle ouvrit la voie aux s a n g lots et aux cris.

Clara ne savait plus par quels mouvements désordonnés son corps réagissait à la fessée. Il y eut une courte pause pendant laquelle Madame Gorevski rajusta sa position pour le remettre en place, puis la prise devint plus ferme et la fessée reprit.

Quand Clara émergea, la fessée était terminée. Elle hoquetait, peinant à reprendre son souffle. Madame Gorevski caressait ses fesses et le bas de son dos.

« Là, là, ma chérie. C’est fini. Tu as pris une bonne fessée, mais c’était nécessaire. J’espère que tu n’auras plus jamais envie de mentir. Tu sais maintenant avec quelle punition cela entraîne. »

Elle cajola Clara sur ses genoux encore un petit moment.

« Tu sais, ma grande fille, ce n’est pas parce que tu dis des mensonges que je ne t’aimerai plus. Tu resteras ma Clara chérie, mais je te punirai à chaque fois. Et ce sera au moins aussi sévère que ce soir. Je ne crois pas qu’une seule fessée suffira. Quand on a pris l’habitude de mentir, c’est difficile de la perdre. Je suis persuadée que la certitude de recevoir une fessée te fera réfléchir. »

Clara sentait l’attention à son égard que Madame Gorevski voulait faire passer dans le ton de sa voix et dans le message qu’elle diffusait. C’était rassurant. Elle serait bien restée là à se faire consoler, mais sa belle-mère avait d’autres obligations.

« Lève-toi ma grande et retourne au coin ! Il faut que je m’occupe de ton mari. »

Dans un premier temps, Clara eut envie de protester, mais elle se reprit. D’une part, elle se doutait qu’il pouvait y avoir un risque à faire un caprice, et d’autre part si elle laissait sa place à Stanislav, c’était pour qu’il reçoive la fessée, avec la brosse. Ce n’était donc pas une position enviable. Elle se dirigea vers le coin. La culotte retenue à hauteur de ses genoux était toujours aussi gênante pour marcher. Elle reprit sa position en pénitence avec un soupir prononcé.

« Qu’est-ce que c’est que cette lamentation Clara ? Dois-je y voir un effet de ta mauvaise humeur ?

– Oh non Madame.

– Alors que je ne t’entende plus ! »

Il n’aurait pas été raisonnable de se faire remarquer une fois de plus. Clara enfonça son nez dans l’angle de la pièce et elle s’y tint immobile et silencieuse. Elle était cependant toute ouïe, attentive à ce qui se passait derrière elle.

« Stanislav, c’est à ton tour. Viens-ici pour recevoir ta fessée ! »

Quand Stanislav fit face à sa mère, il avait déjà les yeux pleins de larmes. Il savait quels effets sur ses fesses pouvait faire la brosse que sa mère tenait en main.

« Pardon Maman, dit-il d’une voix faible et tremblante. Je ne le ferai plus.

– C’est bien pour cela que je vais te donner la fessée : c’est pour que tu ne le refasses plus. Mais tu ne seras pardonné qu’après.

– Non Maman, non.

– Me ferais-tu encore un caprice ? Je sais comment m’en occuper si tu y tiens !

– Non, non ! »

Il y avait de l’angoisse dans sa voix.

« Alors viens-ici, en vitesse ! »

Il mit tant d’empressement à obéir qu’il faillit se prendre les pieds dans son pantalon et s’étaler au milieu du séjour. Il réussit à se rattr a p e r de justesse avant d’arriver devant sa mère.

« Fais attention, mon garçon ! Tu dois t’habituer à te déplacer pantalon et culotte baissés. Désormais, cela t’arrivera certainement très souvent. »

Tout en faisant ces commentaires, Madame Gorevski le guida vers son côté droit, puis elle le coucha sur ses genoux. Stanislav émettait un petit couinement répétitif, preuve de la peur qu’il avait de ces prochaines minutes.

« Vois-tu, Stanislav, quand l’un de mes e n f a n t s ment, il est sévèrement puni. »

Stanislav réagit vivement à la première volée de la brosse sur ses fesses. Cela l’avait presque pris par surprise alors qu’il en avait goûté il y avait très peu de temps. Il eut juste le temps de reprendre une respiration avant que n’arrive la deuxième série.

Madame Gorevski nota tout de suite l’efficacité de la punition qu’elle administrait. La courte expérience acquise lorsqu’elle avait fessé Clara, lui avait appris que le puni qui recevait une fessée avec la brosse, ne se maîtrisait plus. Elle retenait donc son fils très étroitement sur ses genoux, lui laissant la place pour gesticuler sans lui laisser la possibilité de glisser de sa position. Elle l’avait positionné bien serré contre son ventre et sa main, posée contre le flanc de Stanislav l’empêchait de se déplacer. Son coude, pesant au milieu du dos, finissait de le maintenir en place.

Stanislav avait intégré les exigences de sa mère pendant une fessée. Ses jambes battaient dans le vide, mais elles ne gênaient pas le déroulement de la fessée en laissant libre accès à son postérieur. Il laissait ses mains devant lui, à plat sur les coussins du canapé, bien que l’envie d’en protéger ses fesses le tenaillait. Sa tête qui oscillait de droite à gauche, ses cris et ses pleurs, rien de tout cela ne constituait un obstacle à la correction que sa Maman lui administrait.

Il arriva un moment où les réactions de Stanislav furent moins vives. A moins de déplacer l’application de la brosse à un terrain encore vierge, le haut des cuisses par exemple, Madame Gorevski comprit qu’elle était arrivée au maximum de ce qu’elle pouvait obtenir, même avec son redoutable instrument auxiliaire. Elle ne voulut pas aller plus loin. Cette fessée, à l’évidence, avait fait impression. Il fallait garder des marges de sévérité pour d’autres infractions plus graves.

Elle posa la brosse à côté d’elle et elle posa sa main sur les fesses de son fils.

« Quelle chaleur ! Je comprends qu’il ait hésité à venir tâter de la brosse. Quelle bonne punition j’ai réussi à lui donner ! Il fera ce qu’il faut pour éviter d’y revenir dans les jours prochains. Je vais avoir un grand garçon bien sage »

Elle réfléchit un moment, puis elle rectifia sa formulation.

« Je vais avoir deux e n f a n t s très sages pendant au moins deux ou trois jours ! »

Puis elle songea que cela ne les empêcherait certainement pas de recevoir une ou deux fessées, mais sans doute pour d’autres raisons.

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