Catégories : Hommes fessés
Ce récit est la suite de : Sévères voisines (7)
il y a 2 ans
Au resto U, Manon était toute seule à une table, près de la fenêtre.
- Tiens, un revenant ! Où t’étais passé ? Tu me fuyais ?
- Hein ? Ah, mais non. Non. Pas du tout.
- Ben, je sais pas. On dirait bien pourtant. Ça fait une éternité que je t’ai pas vu. Depuis l’autre soir en fait…
- C’est parce que…
- Je m’en fiche. Complètement. Ça m’intéresse pas. En attendant, t’as fait fort n’empêche, ce soir-là ! Bon, mais t’as pas oublié, j’espère ?
J’ai froncé les sourcils, joué les innocents.
- Oublié ? Oublié quoi ?
- Tu sais très bien de quoi je veux parler. T’as une fessée en attente. Que Johanna doit te donner. Vu la façon inqualifiable dont tu t’es comporté avec elle.
Johanna… J’ai fermé les yeux. Johanna. Qui faisait Léo cocu. Johanna. Ses gémissements de plaisir. Ses feulements de petit animal en rut.
- Tu m’écoutes ?
- Oui, je t’écoute. Oui.
- On dirait pas. Et donc, puisque je t’ai sous la main, on va régler ça. Une bonne fois pour toutes. Qu’on n’en parle plus.
- Tout de suite ? Là ? Maintenant ?
- Ben oui, tout de suite. Pas dans dix ans. Le temps que tu finisses ton plateau. Et que je prévienne les filles.
Les filles. Johanna. Jasmine. Et puis Clémence. Qui est arrivée la dernière, tout essoufflée.
- Tout le monde est là ? Bon, alors perdons pas de temps.
Et Manon s’est tournée vers Johanna.
- À toi de jouer ! Comme l’autre soir… Et ce coup-ci, il a pas intérêt à bander parce qu’alors là…
À elle de jouer. Elle s’est approchée, s’est emparée de ma ceinture. Ne pas bander ? Impossible. Complètement impossible. Parce que Jasmine était assise juste en face de moi, que son corsage était plein, qu’elle avait croisé les jambes, que sa jupe remontait haut sur ses cuisses et que je savais que bientôt, au hand… Parce que Johanna a pris tout son temps pour déboucler ma ceinture, pour déboutonner mon pantalon, pour le faire descendre, pour m’extirper de mon boxer. Qui est tombé à mes pieds. Ça a été un grand « Oh ! » scandalisé.
- Il recommence !
- En pire qu’avant, même !
- Ça lui a pas servi de leçon, faut croire !
Manon a tendu un martinet à Johanna.
- Vas-y ! Et tape, hein ! Tape !
Elle m’a fait pivoter sur moi-même.
- Hein ? Mais qu’est-ce que c’est que ça ? Fais voir ! Tu t’en es pris une, là ! Et une bonne. Vu les couleurs que ça a pris, à trois ou quatre jours ça doit remonter. À peu près. Qui c’est qui t’a fait ça ?
Johanna a suggéré.
- Ta mère ?
- Non. Elle me l’aurait dit.
- Ta sœur alors ?
- Elle aussi, elle me l’aurait dit.
La preuve que non ! Mais j’ai préféré garder un silence prudent. Si Emma n’en avait pas parlé, elle devait avoir ses raisons. Et je ne tenais pas à ce que, en vendant la mèche, ça me retombe, d’une façon ou d’une autre, sur le coin de la figure.
- Bon, alors ? Qu’est-ce qui s’est passé ? T’accouches ?
Jasmine a haussé les épaules.
- À tous les coups il a encore dû se faire gauler à reluquer quelque part.
- De toute façon, avec lui, on voit pas ce que ça pourrait être d’autre.
Et Johanna m’a lancé un premier coup de martinet. De toutes ses forces.
Camille a déboulé dans la salle de bains tandis que j’étais sous la douche. Ce qui devenait une habitude.
- Faut que je te parle… Faut absolument que je te parle. Parce que…
Elle s’est brusquement interrompue, les yeux écarquillés.
- Encore ! Mais c’est tous les jours que tu t’en ramasses des fessées en ce moment. Tu le fais exprès, ma parole !
- Mais bien sûr ! J’adore ça. Ça se voit pas ?
- On finirait par se le demander. En attendant, là, on t’a pas loupé. Au martinet on te l’a fait. Et c’est tout récent. Il s’est passé quoi ?
- Oh, mais rien ! Ça te regarde pas n’importe comment !
- Oh, mais si, ça me regarde, si ! Parce que si c’est les filles, Manon et les autres, là… C’est elles, hein ? Oui, c’est elles. C’est forcément elles. Ben, c’est dégueulasse. Elles auraient pu m’attendre. Elles me l’avaient promis en plus. Oh, mais elles vont pas l’emporter au paradis, alors là ! Bon, mais je m’occuperai de ça plus tard. En attendant, elle tombe plutôt mal, cette fessée.
- Parce que ?
- Ben, parce que… Je suis pas censée te le dire, mais elle vient ce soir, Célestine. Pour ton anniversaire. Elle veut te faire la surprise.
- Ah !
- Comme tu dis, oui. Et, vu l’état de ton derrière, si t’arrives à la baiser sans qu’elle se rende compte de quoi que ce soit, t’es vraiment très très fort.
- Je verrai. J’improviserai.
- Ah, bon ! T’improviseras. Tu vas t’y prendre comment ? Tu vas lui faire ça dans le noir ? Ou bien alors sans te déshabiller juste en sortant ta queue ? Et elle, elle va trouver ça normal. Ben, voyons ! Non, mais tu rêves pas un peu, là ?
- Je trouverai une solution, j’te dis !
- Oui, oh, je la connais, ta solution. Tu vas inventer une excuse bidon, que t’as des palpitations ou une connerie dans ce genre-là, pour pouvoir te défiler. Tu ferais beaucoup mieux de lui dire la vérité. Une bonne fois pour toutes.
- C’est ça ! Pour qu’elle aille penser de moi que je suis un gros pervers.
- Qui reluque ses voisines à poil dans leur salle de bains. Ben, oui ! C’est pas la vérité peut-être ?
- Mais elle va me plaquer ! La connaissant, elle va me plaquer.
- Il y a encore bien plus de risques qu’elle te plaque si tu dis rien. Non, parce qu’attends ! Mets-toi à sa place. Voilà une nana dont t’es soi-disant amoureux. Les circonstances font que vous vivez à des centaines de kilomètres l’un de l’autre. Que vous pouvez vous voir que tous les tournants de lune. Et quand c’est le cas, quand vous y arrivez, tu la tires pas. T’as toujours un bon prétexte. Comment tu veux qu’elle se pose pas de questions ? Qu’elle se dise pas que t’as pas envie d’elle ? Comment tu veux qu’elle soit pas tentée d’aller voir ailleurs ? Ben si, si ! C’est obligé.
- Tu crois qu’elle le fait ?
- Qu’est-ce que tu veux que j’en sache ? Mais sûrement que oui. C’est ce qu’en tout cas, feraient neuf nanas sur dix dans la même situation. Parce qu’on a des besoins, nous, figure-toi ! Et si elle le fait pas, elle finira par le faire. Forcément. Et elle se détachera de toi. Une fille, quand elle s’éclate dans les bras d’un autre, ça met pas longtemps à…
- Sape-moi bien le moral !
- C’est pas le but, mais regarde les choses en face pour une fois, merde !
- Non, mais attends ! Attends ! Ça fait des semaines et des semaines que je subis tout ça, les fessées, les humiliations et tout le reste, justement pour qu’elle sache pas, pour qu’elle apprenne pas et toi, tu voudrais que j’aille tout lui déballer ! Mais c’est juste pas possible !
- Tu fais comme tu veux, mais tu sais ce qui t’attend. Je t’aurai prévenu.
- Il y a peut-être une autre solution…
- Laquelle ?
- Je sais pas, moi ! Mais il doit bien y en avoir une. Sûrement !
Elle a haussé les épaules, elle a tourné les talons et elle a claqué la porte.
Célestine n’était finalement pas venue pour mon anniversaire. Camille a triomphé.
- Et ça t’étonne ?
- Non ! Si ! Enfin un peu quand même…
- Tu vas finir par t’en mordre les doigts de tout ça à force de faire, mais après tout c’est pas mon problème.
Ce n’était pas le mien non plus. Du moins pour le moment. Je verrais plus tard. Parce que, pour le moment, ce qui m’importait c’était l’expédition prévue avec Clémence dans les vestiaires du stade.
Laquelle Clémence m’a assailli de recommandations.
- Bon, alors t’as bien compris ? La grille, on la passe d’un pas à la fois tranquille et décidé. Si le gardien nous demande ce qu’on veut, tu me laisses répondre. Après, en principe, il y a plus de danger. Au pire, en cas d’imprévu, on est un couple à la recherche d’un coin tranquille pour roucouler. Capito ?
On a franchi la grille sans encombre. On s’est engouffrés, par une petite porte latérale, dans un local encombré de ballons, de filets, de cordes et de tout un matériel hétéroclite. Un autre porte. Un couloir. Un dédale de couloirs. Un escalier. Une sorte de petite pièce-terrasse. Et deux grandes bouches d’aération par lesquelles on avait une vue imprenable sur l’enfilade des douches.
- Et voilà ! À toute l’équipe senior on va avoir droit. De dix-neuf à trente-cinq ans elles s’échelonnent. Et je peux te dire qu’il y en a là-dedans, elles valent sacrément le coup d’œil. Rien que d’y penser !
On a attendu. Pas bien longtemps. Une dizaine de minutes. Et puis il y a eu des rires, des exclamations. Quelque chose a bruyamment raclé le sol. Une première fille est apparue. Nue. Une brune. Aux seins lourds. À la toison noire épanouie. Et frustrante : on voyait rien là-dessous.
- Elle, c’est Damia. Je te raconterai. Plus tard. On regarde pour le moment.
Une autre. Une grande mince, aux seins quasi inexistants. À peine une boursouflure. À l’ombrage léger. Châtain clair.
- Valentine.
- Tu les connais toutes ?
- Pratiquement. Je t’expliquerai.
Deux autres. Ensemble. En parlant. En riant. L’une de face, à la peau très pâle, aux seins veinés de bleu, à l’encoche surmontée d’un petit échantillon de poils frisottés blonds et l’autre, de dos, les fesses généreuses, délicieusement rebondies.
- Emma. De toutes c’est celle que je préfère.
Et elle a glissé sa main dans son pantalon.
- La voilà ! Jasmine ! La voilà ! Allez, venge-toi !
Jasmine ! Je me suis rivé à elle, la gorge sèche, les maints tremblantes. À ses seins au dénivelé émouvant, aux aréoles rosées, aux pointes dressées. À son encoche offerte à nu. Clémence a murmuré.
- T’es verni, toi ! Elle se l’est rasé. C’était pas le cas les autres fois.
Jasmine s’est longuement offerte à la douche, le visage levé, les yeux fermés. S’est tournée, m’a tendu deux petites fesses bien fermes, à l’arrondi voluptueux. Un demi-tour sur elle-même. À nouveau de face. Clémence, à mes côtés, a respiré plus vite. Son pantalon était descendu sur ses genoux. Ses doigts s’activaient frénétiquement dans sa culotte.
- Tu te le fais pas, toi ?
- Oh, si ! Si ! Bien sûr que si !
Et je me la suis sortie. Et je me le suis fait. Sans quitter Jasmine un seul instant des yeux. Clémence a doucement psalmodié son plaisir.
- Oh, que c’est bon ! Que c’est bon !
Puis regardé, de tout près, surgir le mien.
Camille m’attendait, tranquillement installée sur mon lit, les mains sous la nuque.
- Non, mais faut pas te gêner. Ça va ? Je te dérange pas ?
- Pas vraiment, non. T’étais où ?
- Si on te le demande…
- Je dirai que je le sais. Quoi ? Qu’est-ce qu’il y a ? Qu’est-ce que t’as à me regarder comme ça ?
- Tu…
- Je le sais, oui. T’étais au stade en train de mater les filles du hand à poil sous la douche.
J’ai voulu nier.
- Hein ? Mais qu’est-ce que c’est que cette histoire ?
- Je vous ai vus. De mes yeux vus. Ce dont vous ne vous êtes absolument pas rendu compte. Vous étiez bien trop occupés à vous rincer l’œil. Et à vous palucher.
J’ai désespérément cherché à retourner la situation à mon avantage.
- Alors comme ça, tu me suis. Tu m’espionnes. Ah, ben bravo ! Bravo !
- Je t’espionne pas. Je te surveille. Pour t’empêcher de faire des conneries. Nuance. Et j’ai bien raison. La preuve !
Elle s’est redressée, assise au bord de mon lit.
- En douce que tu t’es mis dans de sacrés beaux draps. Parce qu’elle va être contente Célestine quand elle va apprendre que tu fricotes avec une autre.
- Je fricote pas avec.
- Ah, non ? Oh, ben tu lui expliqueras alors… Tu lui expliqueras que là, vous étiez juste en train de vous branler gentiment en chœur, mais que le reste du temps, quand vous êtes ensemble, vous enfilez des perles. Elle va te croire, sûrement.
- N’empêche que c’est vrai.
Elle a ignoré l’interruption.
-
Et les filles ! Manon. Emma. Johanna. Jasmine. Elles vont être ravies, les filles ! Surtout Jasmine. Que t’as pas dû te gêner pour reluquer tant et plus. Ah, là, tu peux t’attendre à une de ces corrections avec elle… Et c’est pas tout. Parce qu’elle va forcément en parler à ses copines du hand. Qui, elles, ne se contenteront sûrement pas de te tambouriner le derrière, mais qui, à tous les coups, vont vouloir porter plainte. Non, cette fois-ci, tu t’en tireras pas comme ça, mon coco. Ça va prendre de sacrés proportions tout ça, probable.
-
Camille…
-
Quoi, « Camille » ? Quoi ? Tu veux que je la ferme, c’est ça ? Que je te couvre, une fois de plus? Eh ben non, non ! J’en ai marre, figure-toi ! Mais marre à un point que t’as même pas idée. Alors, ce coup-ci, c’est bon. Ça suffit.
-
Tu peux pas faire ça.
-
Bien sûr que si que je peux… Et pourtant non, t’as raison, je vais peut-être pas le faire. C’est ça le pire. Parce que t’es mon frère. Parce que si on te colle un procès au cul, ce qui est vraisemblable, ça va te suivre toute ta vie. Parce que ça te portera préjudice, plus tard, dans ton boulot. Et parce que, d’une certaine façon, ça va nous retomber dessus, à maman et à moi. Alors non, je vais peut-être pas le faire. Tout va dépendre de Clémence, en fait.
-
De Clémence ?
-
De Clémence, oui. C’est elle qui va te corriger. C’est pas une excellente idée, ça ? Une bonne cinglée. À la ceinture. Sur les fesses et sur le dos. Et alors, de deux choses l’une : ou bien elle va prendre son rôle bien à cœur, je serai satisfaite de sa prestation et, pour cette fois, je passerai l’éponge. Au moins momentanément. Ou bien elle va te ménager, retenir ses coups et alors là, je n’aurai pas le moindre état d’âme. On saura tout. Tout le monde.
-
Mais…
-
Mais quoi ? Qu’est-ce tu vas me dire ? Qu’elle est au moins aussi coupable que toi ? Et alors ? Tu ne l’es pas moins pour autant. Si ? Et, de toute façon, c’est moi qui décide. C’est à prendre ou à laisser. Allez ! Tu l’appelles…
Pour la vingtième fois au moins, Clémence a regardé son portable.
- Elle avait dit trois heures, ta sœur et…
- Il en est presque quatre. Je sais, oui. Elle nous met la pression. De sa part, il fallait s’y attendre, ça !
Elle nous avait donné rendez-vous devant les bouches d’aération.
- Le théâtre de vos exploits. C’est l’endroit qui va de soi pour qu’elle te flanque une bonne correction, non ?
Clémence a soupiré.
- Quelle garce quand même ! Te fliquer comme ça…
- C’est ma faute aussi. J’aurais dû m’en douter. La connaissant…
- C’est vraiment pas de chance. Dès la première fois, on se fait ramasser ! Quand je pense à comment on aurait pu en profiter de toutes ces filles. Pendant des tas de semaines. Bon, mais au moins t’auras vu Jasmine. Tu sais comment elle est faite maintenant. Alors quand tu voudras…
Elle n’a pas terminé sa phrase. On est restés quelques instants silencieux et puis elle m’a posé la main sur le bras.
- Je taperai pas trop fort, tu sais !
- C’est gentil, mais il va bien falloir pourtant. Parce que, si tu le fais pas, si elle trouve que c’est trop mou, elle parlera, c’est sûr. Et ça, c’est ce qu’il faut éviter à tout prix. Dans ton intérêt aussi bien que dans le mien…
- Oui, mais… J’ai haussé les épaules.
- Oh, tu sais, au point où j’en suis maintenant…
Elle s’est agitée.
- Non, mais c’est pas ça ! C’est que je me connais. Et, si je me lâche, je maîtriserai plus rien. J’aurai plus aucune limite. Même si j’essaie de me raisonner. Ce sera plus fort que moi.
- Faut que je m’attende à passer un sacré mauvais quart d’heure alors !
- Je suis désolée.
J’ai soupiré, fataliste.
- Je ferai avec. Faudra bien.
Camille a surgi sur le coup de cinq heures.
- Ah, vous êtes là !
- Ça fait même un sacré moment.
- Bon, ben allez alors ! Perdons pas de temps ! Tu te déshabilles, toi !
Je me suis exécuté. Le pantalon. Le boxer.
- Le haut aussi ! Il va y attraper, ton dos. Là ! Et maintenant tu donnes ta ceinture à Clémence.
Qui s’en est emparée en me jetant un rapide petit regard contrit.
- Et tu te mets à genoux. Bon, ben allez ! Feu !
Clémence m’a lancé deux ou trois coups. Sans véritable conviction. Et Camille a éclaté de rire.
- Si tu t’y prends comme ça, ce soir tout le monde est au courant.
Les coups se sont faits plus secs, plus appuyés.
- C’est mieux ! Mais c’est pas encore ça. C’en est loin.
Plus fort. Beaucoup plus fort. Sur les fesses. Au creux des reins. Sur le dos. Sur les cuisses. Ça a cinglé. Ça a brûlé. Ça a mordu.
- Continue ! Continue !
De plus belle. J’ai crié. J’ai hurlé. J’ai rampé, sur les genoux, au hasard. Suis venu buter contre un mur. Qui m’a arrêté. Encore une dizaine de coups. À toute volée. À plein régime. Camille a mis fin, m’a saisi par les cheveux, m’a forcé à la regarder.
- Tu vas comprendre ce coup-ci ? Tu vas leur foutre la paix aux filles ? Une bonne fois pour toutes ? Ils me sortent par les yeux, les types dans ton genre. Et Dieu sait si ça pullule…
Elle s’est tournée vers Clémence…
- Quant à toi, tu perds rien pour attendre…
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