Découverte des cages de chasteté (2)

Catégories : Chasteté ceinture chasteté hom fem
Ce récit est la suite de : Découverte des cages de chasteté
il y a 1 an
  • Baptiste ? C’est moi, Lionel. T’as des nouvelles ?
  • Des nouvelles ? Des filles ? Non. Toi non plus ?
  • Ben, non ! T’imagines qu’elles aient disparu dans la nature ? Qu’on entende plus jamais parler d’elles ? Qu’on reste la queue coincée là-dedans ? On aurait l’air fin.
  • Il y aurait toujours des solutions. Pas gratifiantes pour l’amour-propre, mais enfin il y en aurait. Oh, et puis faut pas non plus aller se mettre des idées comme ça en tête. Elles vont appeler. Elles vont bien finir par appeler.
  • Tu crois ?
  • Mais bien sûr !
  • Si elles le font, moi, j’arrête tout ça. Strip-tease ou pas strip-tease, elles me la désincarcèrent de là-dedans et pas question qu’elles m’y renfilent, alors là !
  • Oui, oh ben moi, j’ai trop envie de les voir à poil, attends ! Plus ça va et plus j’ai envie. Je pense plus qu’à ça, il y a des moments. Et j’arrête pas de me demander comment elles l’ont, le minou. Bien charnu comme je les aime ? Avec tout planqué à l’intérieur. Ou bien avec des petits bouts dentelés qui pointent le nez dehors. C’est comme la touffure. Est-ce qu’elles enlèvent tout ? Est-ce qu’au contraire elles laissent tout ? Ou bien seulement juste un joli petit échantillon en haut. Me dis pas que t’y penses pas, toi, à tout ça ! Que ça te tente pas de les voir…
  • Si ! Bien sûr que si !
  • C’est comme leurs nénés. Comment tu crois qu’ils sont, toi ? Je suis sûr que ceux de Silvia, ils font sacrément la maille. Avec des aréoles toutes roses qui s’étendent bien au large. Et des pointes que t’as pas besoin de les titiller longtemps pour qu’elles se mettent à faire de la grimpette. Alors que Léopoldine, elle, par contre, ça doit être tout petit, tout mignon. Ça doit tenir tout entier dans la main. Oh, mais arrête de me faire parler de ça, putain, qu’en bas ça se coince. Que ça a pas le droit de s’élancer.

Elles ont appelé le lendemain.

  • Ah, tu vois ! Je savais bien qu’elles rappelleraient.

Et leur ont donné rendez-vous au café de la Fontaine.

  • Et tâchez d’être à l’heure ! Parce qu’on vous attendra pas.

Ils l’étaient, à l’heure. Ils étaient même très largement en avance.

  • Mais pourquoi au café ?

Baptiste a haussé les épaules.

  • Sans doute qu’elles ont leurs raisons.
  • C’est sûrement pas là qu’elles vont nous feront un strip-tease en tout cas !

Ils ont attendu. Une heure. Une autre heure. Encore une.

  • Elles nous ont posé un lapin. Elles viendront pas.
  • On attend encore un peu. Juste un peu.

Une demi-heure.

  • Elles nous ont bien eus. Bon, allez ! On y va.

Au moment où ils partaient, deux filles, installées avec leurs ordinateurs à une table tout près de la porte, les ont interpellés.

  • C’est vous, Baptiste et Lionel ?

Ils ont levé sur elles un regard étonné.

  • C’est nous, oui.
  • Alors on a un message pour vous. Elles sont désolées, mais elles peuvent pas venir, Silvia et Léopoldine. Elles ont eu un imprévu.

C’est Lionel qui a fait remarquer…

  • Vous auriez pu le dire plus tôt.
  • Sûrement pas, non. Parce qu’elles voulaient savoir comment vous alliez réagir. Ce qu’elles sauront. On leur dira. Bon, mais asseyez-vous ! Restez pas plantés là.

Ils l’ont fait. Du bout des fesses.

Et il y en a une, la brune aux yeux bleus, qui a fait les présentations.

  • Elle, c’est Garance.

La petite frisée au regard mutin.

  • Et moi, c’est Amélia. Bon, alors… Il paraît qu’elles vous les ont enfermées ?

Ils ont jeté autour d’eux un regard inquiet.

  • Oh, mais on s’en fout des gens. Ils ont d’autres chats à fouetter que de s’occuper de nous de toute façon, les gens. Alors ? Oui ? Elles vous les ont enfermées ?

À quoi bon nier ? Elles savaient.

Et ils ont reconnu. D’une toute petite voix. Tête basse.

  • En fait, c’est un peu comme si vous étiez castrés, quoi !

Baptiste a protesté.

  • Pas vraiment, non.
  • Ben, si ! Ça revient au même. Vous pouvez pas.
  • Pour le moment.
  • Alors ça, c’est elles qui décideront.

Lionel a voulu protester.

  • Ah, mais non ! Non. Pas du tout.

Elle a haussé les épaules.

-Bien sûr que si !

L’autre a mis son grain de sel.

  • En attendant, qu’est-ce que je trouve ça reposant, moi, des mecs réduits à l’impuissance comme ça ! Au moins t’es tranquille qu’ils vont pas essayer de te draguer et de t’entraîner dans leur lit. Et justement on se demandait… Pourquoi elles vont ont encagés, vous deux ? Parce que vous les avez faites cocues ?
  • Pas du tout, non !
  • Parce qu’elles avaient peur que vous le fassiez alors ?
  • Non plus…
  • Ben, pourquoi ? Expliquez…
  • C’est-à-dire… On n’est pas en couples avec elles en fait. C’est juste des copines.
  • Qui vous barricadent la queue ? Drôles de copines.
  • Non, mais ce qu’il y a, c’est qu’un soir Silvia les a sorties de son placard, ces trucs. Et que, pour déconner, on a voulu les essayer…
  • Et ça vous a tellement plu que vous les avez gardés.
  • C’est pas ça, non !
  • Bien sûr que si ! La preuve ! Vous les avez encore… Oh, mais faut pas avoir honte, hein ! Il y en a pas beaucoup qui le reconnaissent, mais au fond ils sont tous comme ça, les mecs. Ils rêvent d’une nana qui prend le pas sur eux. Qui contrôle leur sexualité comme elle l’entend. Pour vous, c’est un plaisir rare. Extrêmement subtil. Vous n’êtes plus à vous. Vous appartenez. Vous nous appartenez. Complètement. Et pour nous… Dommage que trop peu de femmes comprennent ça. Elles y trouveraient, elles aussi, leur compte. Et plus que leur compte. Bon, mais ravies d’avoir fait votre connaissance…

Elles se sont levées.

  • Peut-être à un de ces jours, qui sait ?

Et elles passé la porte. Fait quelques pas sur le trottoir. Sont presque aussitôt revenues. Nous ont agité les clefs sous le nez.

  • Ah, oui, à propos. On les a. Elles nous les avaient données. Pour vous laisser prendre votre plaisir si on estimait que vous l’aviez mérité. Mais vous l’avez pas mérité.

Garance a surenchéri.

  • Ah, non, alors ! Sûr que vous l’avez pas mérité.

Et elles sont parties. Pour de bon cette fois. Dans un grand éclat de rire.

Il s’est encore passé une journée. Une autre.

  • Elles vont quand même pas nous laisser éternellement comme ça ? Coincés dans ces machins.
  • Qu’est-ce que tu veux que je te dise ? À chaque fois je tombe sur la messagerie. Je peux pas non plus les harceler sans arrêt. Ça nous retomberait sur le coin de la figure.

Et puis le mercredi enfin…

  • C’est Silvia… Ben alors, qu’est-ce vous faites ? C’est quoi cette façon de nous laisser sans nouvelles ?

Elle avait l’air furieuse.

  • Hein ? Mais pas du tout. Pas du tout. On a…
  • Ah, commence pas à nier l’évidence, s’il te plaît. J’ai horreur de ça. Amenez-vous plutôt ! On vous attend.

Ils se sont précipités.

  • Tu crois que…

  • Mais j’en sais rien ! J’en sais rien. Qu’est-ce que tu veux que j’en sache ?

  • Entrez !

Le ton était glacial.

  • Bon… Alors… Vous nous dites ?

Elles étaient assises, côte à côte, bras croisés sur le canapé. Qu’on leur dise ? Mais qu’on leur dise quoi ?

  • À ce qu’il paraît que vous vous êtes comportés, avec nos copines, d’une façon absolument inqualifiable.
  • Nous ? Mais pas du tout enfin !
  • C’est ça ! Traitez-les de menteuses tant que vous y êtes !
  • Mais non, mais…
  • Allez ! Fichez-moi le camp. Vous m’agacez, tiens !
  • Oui, mais… les cages ?
  • On verra ça plus tard, les cages. Fichez-moi le camp, j’vous dis ! Allez, ouste !

Ils n’ont pas demandé leur reste.

Elles les ont rappelés le lendemain. Absolument charmantes, cette fois. Elles les ont accueillis avec de grands sourires. Les ont installés sur le canapé. Côte à côte. Et Léopoldine est allée prendre une douche.

  • Depuis ce matin, j’en rêve…

Elle a laissé toute grande ouverte la porte de la salle de bains. D’où ils étaient, ils ne pouvaient absolument rien voir. Seulement entendre. Le ruissellement de l’eau sur son corps. Entendre et imaginer. Baptiste a fermé les yeux.

  • Tu veux que je te délivre ?

Il les a rouverts. Silvia était penchée sur lui. Oh, oui, qu’il voulait ! Oh, oui. Elle l’a fait. Il s’est empoigné et s’est élancé, avec l’image de Léopoldine sous la douche, à la conquête de son plaisir. Qui a surgi presque aussitôt. Silvia a ri.

  • Ça pressait, dis donc !

Elle a aussi libéré Lionel. Qui a grondé son bonheur en jouissant.

  • Oh, c’est bon ! Que c’est bon !

Léopoldine a fait son apparition sur le pas de la porte, enroulée dans une grande serviette blanche.

  • Alors ?
  • Oh, ben alors, tu te doutes… Ils se sont comportés comme de vrais petits cochons qu’ils sont tous les deux. Bon, mais allez, on remballe !

Baptiste a fait signe que non. Il voulait pas. Ça suffisait comme ça. C’était fini. Il la voulait plus, la cage. Elle lui a jeté un regard surpris. Un peu peiné.

  • T’as pas envie de me voir toute nue ?

Oh, si ! Si ! Bien sûr que si qu’il avait envie.

  • Eh ben, alors !
  • Ce sera quand ?
  • Un jour. Bientôt. Mais avant, il faut accepter d’en passer gentiment par là.

Elle a approché la cage. Et il s’est laissé faire.

  • Toi aussi ! À ton tour.

Lionel aussi.

Je pensai que ce serait en 2 parties ^^ en espérant que la suite soit aussi agréable à lire, merci pour l histoire!
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