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Ce récit est la suite de : La clef USB (8)
il y a 1 an
Le début de cette saga est ICI
Au téléphone, il n’a pas hésité une seule seconde. Bien sûr qu’il pouvait se libérer ! Bien sûr.
- Demain, ce serait possible ?
Ça l’était, oui.
- Mais si tu m’expliquais…
- C’est pour la vidéo. Celle où c’est moi qui suis dessus, tu sais bien. Celle que tu disais qu’il fallait qu’on la refasse.
- J’ai jamais dit une chose pareille !
- Non, mais t’as prétendu que c’était du gâchis. Que c’était trop immobile. Qu’on voyait pas bien. Ce qui revient au même. Et ce qu’est vrai. Ça saute aux yeux. Alors j’ai pensé que le mieux, c’était encore qu’on la refasse.
- Voilà une idée comment elle est bonne !
- Oui, hein ! Du coup, je suis allé tâter le terrain chez Damien. À qui j’ai laissé croire que tu m’avais mis le couteau sous la gorge. C’était ça ou tu balançais tout à Kevin.
- Quel monstre je fais ! Et il a pas vraiment élevé d’objection, j’imagine…
- Oh, pour ça, non ! Il est ravi en fait. Parce qu’il le dit pas, il en parle pas, mais, comme je le vois beaucoup moins en ce moment, que j’ai un peu pris mes distances, il est clair qu’il se pose des questions par rapport à nous, qu’il se demande s’il est pas en train de se passer quelque chose. Et il est jaloux. Alors qu’on le fasse devant toi, lui et moi, je suis sûr qu’il prend ça un peu comme une victoire. Comme s’il te disait : « C’est avec moi qu’elle baise, cette nana ! Avec moi ! Moi ! Pas avec toi ! Regarde ! Mais regarde ! Il y a que ça que tu peux faire. Regarder. Il y a qu’à ça que t’as droit ! »
- Et toi ?
- Quoi, moi ?
- C’est la première fois que tu vas le faire « en vrai » avec lui devant moi. Ça te fait quoi ?
- Oh, tu sais bien…
- Ben non, justement !
- Tu parles ! Tu m’as regardée. On m’a regardée ensemble. Tu m’as filmée. Alors t’as bien vu, non ?
- J’ai bien vu quoi ?
- Que ce qui me fait de l’effet, c’est de te faire de l’effet. Plus je t’en fais à toi et plus ça m’en fait à moi.
- Et plus ça t’en fait à toi et plus ça m’en fait à moi. À l’infini. On devrait passer une bonne journée demain alors. Une très très bonne journée.
Ils se sont mesurés tous les deux du regard.
- Salut !
- Salut !
Ne pas perdre de temps. Ne pas laisser le malaise s’installer. Et elle a fondu droit sur Damien.
- Qu’est-ce tu disais l’autre jour ? Que j’ai plus envie de toi, c’est ça ?
- Ben, faut reconnaître…
- N’importe quoi ! Tu vas voir si j’ai pas envie de toi ! Tu vas voir !
Tout en se déshabillant. Un petit coup d’œil vers Antoine. Il filmait. Il filmait déjà. Ses vêtements éparpillés n’importe comment, aux quatre coins de la pièce.
- Tu vas voir ! Ah, tu vas voir ce que tu vas voir !
Elle a poussé Damien vers le lit. L’y a fait tomber à la renverse. Elle a fourragé dans son pantalon.
- Où il est, le morceau ? Qu’on le mette à l’aise. Et à l’air. Ah, le voilà ! Il est déjà opérationnel, on dirait… Et pas qu’un peu ! Eh ben, allez, alors !
Elle s’est penchée sur sa queue. Elle en a décapuchonné le bout. Antoine. Tout près. À filmer. Et à bander. Une rafale de petits baisers dessus. Elle l’a saisi entre ses dents. Un coup de langue. Un autre. Avant de le grimper. De se laisser aller de tout son poids contre lui. Sur lui. De s’emparer de lui. De l’enfouir en elle. De le garder en elle. D’abord sans bouger. Sans rien faire. Il était derrière, Antoine. Hors de son champ de vision. Il filmait, sûrement. Bien sûr qu’il filmait. Elle s’est refermée sur la queue de Damien. Elle l’a enserrée. Et elle a entrepris un lent mouvement de va-et-vient dessus. Il a posé les mains sur ses fesses. Il les a malaxées. Alors plus vite. De plus en plus vite. Impatiente, haletante, elle s’est empressée vers son plaisir. Il était tout près maintenant Antoine, là, à côté. Il filmait. Elle s’est tournée vers lui, elle a gémi. Intense. Elle a crié. Elle a hurlé.
2-
Le lendemain, il était là à la première heure.
- Alors ?
- Alors, quoi ?
- Ses commentaires, à Damien, quand j’ai été parti ?
- Oh, il y en a pas eu. Ou très peu. Mais il était ravi au fond. Parce qu’il n’est pas dupe : il s’est parfaitement rendu compte que, ces derniers temps, j’en étais beaucoup moins avec lui. Pour pas dire plus du tout. Alors que toi, t’aies des exigences auxquelles je ne peux pas me soustraire, que tu m’imposes, c’est du moins ce qu’il croit, de coucher avec lui, tu penses bien que ça l’arrange. Et pas qu’un peu ! Et il espère qu’une chose, c’est que ça recommence.
- Et ça recommencera. Ça recommencera forcément. Si on veut des vidéos de qualité…
- Ah, oui, à ce propos d’ailleurs, il m’a demandé une copie de celle d’hier.
- Ben, tiens !
- Mais j’ai pas trop envie.
- Parce que ?
- Je sais pas. Comme ça.
- T’es sûre de lui ?
- Dans quel sens ?
- Qui c’est, au départ, qu’a décidé d’en faire des vidéos de vos ébats ? C’est lui ou c’est toi ?
- C’est lui ! Moi, j’étais pas trop chaude. Mais il est revenu tellement souvent à la charge…
- Que t’as fini par céder. Et par y prendre goût. T’y trouvais aussi ton compte. Seulement ce qu’il y a, c’est que l’envie d’en faire profiter des copains à lui pourrait bien finir par l’attraper. S’il ne l’a pas déjà fait.
- J’y ai pensé, moi aussi. Mais je crois pas, non !
- Oh, alors ça !
- Comment j’aimerais pas ! Te dire que ça circule. Tu sais pas trop où. Tu sais pas trop comment. Rien que d’y penser…
- Oui, mais, d’un autre côté, te dire qu’il y a, quelque part, des inconnus qui t’admirent, qui te désirent, qui se donnent du plaisir en pensant à toi, en te contemplant, ça peut aussi avoir quelque chose d’extrêmement gratifiant, non ?
- Pas si je le sais pas. Pas si c’est derrière mon dos. Pas si je maîtrise rien du tout.
Il a souri. D’un petit sourire entendu.
- Quoi ? Qu’est-ce qu’il y a ? Qu’est-ce qui te fait rire ? Évidemment que j’ai un petit côté exhib. Je le sais bien. Je suis pas complètement idiote. Et je te dirais le contraire que tu ne me croirais pas. Seulement pas n’importe comment. Pas à n’importe quel prix. À quoi ça sert de leur faire de l’effet aux types si tu peux pas voir que tu leur en fais ? Ou du moins le savoir. Si tu peux pas en profiter ?
- Comme avec moi.
- Comme avec toi, oui. Du moins maintenant. Parce qu’au début, vu comment ça s’est passé…
- Et c’est seulement avec moi ?
- Oui. Enfin, non. Ça dépend. Disons que, quand une belle occasion se présente…
- Tu la laisses pas passer.
- Voilà, oui.
- Tu racontes ?
- T’es bien curieux !
- De tout ce qui te concerne, oui.
- Oh, ben c’était avec Melissa surtout que ça se passait, quand on était plus jeunes. Vers nos vingt ans, par là. On était très complices là-dessus toutes les deux. Le même immeuble on habitait. Mais pas au même étage. Alors c’était à tour de rôle. Une fois l’une, une fois l’autre. Je traînais dans ma chambre en petite tenue. Quelquefois même carrément à poil. Mais alors là, quand c’était ça, à poil, je faisais vite, je me contentais de traverser. Fallait pas exagérer non plus. Et elle, pendant ce temps-là, elle était à sa fenêtre. Et elle regardait comment ça réagissait en face. En général, ça boitait pas. Dans la minute qui suivait, t’en avais trois ou quatre à mater, plus ou moins planqués derrière leurs rideaux. À croire qu’ils étaient en permanence à l’affût. Qu’ils ne vivaient que pour ça. Ce qu’était le cas d’ailleurs, je suis sûre, pour certains. De tout t’avais. Des jeunes. Des vieux. Des tout seuls. Des mariés. Après, ben elle venait me raconter. Qui. Où. Bien en détail. On y passait des heures. Et pareil dans l’autre sens. Elle faisait le spectacle. Et moi, j’étais au rapport. Quels bons moments on a vécus ! Mais là où on a tout particulièrement apprécié, c’est l’année où on est allées passer le mois de juillet sur la côte atlantique. On avait loué un petit bungalow dont les stores ne descendaient pas jusqu’en bas. Évidemment ! Le propriétaire avait glissé des petits bouts de règles dans les rainures pour qu’ils s’arrêtent à quelques centimètres du bord. Et, le soir, il venait zieuter. Et nous, vu qu’on avait découvert le pot-aux-roses, on s’était adaptées. Il y en avait une qu’assurait le spectacle pendant que l’autre, planquée derrière la haie, le regardait se masturber à tout-va. Et je peux te dire qu’il y allait de bon cœur, ça ! C’est un de ces souvenirs, ce truc !
‒ Ça se voit ! Rien qu’à ta façon de raconter. T’y prends sacrément du plaisir. Bon, mais ça, c’était avant. Et maintenant ?
‒ Maintenant ? Oh, je suis sage. Très sage.
‒ Ben, voyons !
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