Premières expériences et engrenages : Chapitre 9 Partage

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il y a 1 an

Le début de cette saga est ICI

Chapitre 9 : Partage

Les ordres étaient plus simples mais restaient nombreux. Successivement je jouai avec les pinces, frappai sur mes boules, rallumai ma bougie, brossai mes couilles avec la brosse en plastique qui apparaissait sur mon écran, exécutant, un à un, leurs ordres, sans conviction et en bandant plus que modérément. J’attendais ma maitresse et sa clé salvatrice.

  • Enlève ton masque, m’écrit un dominant Américain.

Il avait pris le temps de traduire son ordre en français. Il voulait s’assurer qu’il avait été bien compris. J’avais même oublié que je le portais. Cela me rassurait de l’avoir maintenant. Je me disais que ce que je faisais maintenant, ce n’était pas moi mais le garçon à la cagoule. Cela relativisait la situation dans laquelle je me trouvais, bien que cela ne résolvait pas mon problème de clé.

  • Enlève ton masque, réécrit-il en ajoutant en anglais qu’il préviendrait Ladyscar de ma désobéissance flagrante à ses ordres, que je ne méritais pas la clé tant que je n’étais pas un bon soumis.

Je réfléchissais aux options qu’il me restait. Je pouvais éteindre l’ordinateur. Je pouvais m’exécuter ou défendre ma cause à ma maitresse. Pouvais-je couper le cadenas ? Il existait de gigantesques pinces-monseigneurs, mais je n’avais pas d’outil chez moi et cela scellerai ma relation avec Ladyscar. Il faudrait que je sorte avec pour en acheter une dans un magasin. Pourrai-je la manipuler seul ? Je n’avais aucun ami auquel j’avais suffisamment confiance pour réaliser cela. Des images sadiques venaient à moi. Je m’imaginais que le métal de la cage activerait le système anti-vol du magasin, qu’un surveillant grand noir et musclé me fouillerait jusqu’à découvrir cette cage dans l’arrière-boutique du magasin. Que ce dernier serait sadique et jouerait de sa position. Des fantasmes homosexuels se succédaient maintenant aux hypothèses.

  • Non ! répondis-je, en priant que ce fût la bonne décision.

  • Ta maitresse le saura. Tu auras la punition que tu mérites et ne doute pas que celle-ci commencera par l’enlèvement devant tous de ce masque ! Sur quels sites voudras-tu retrouver les photos de toi, demanda-t-il à présent, me confortant de ne pas m’être exécuté.

Je retournai lire les autres messages mais ils manquaient d’imagination. Les mêmes ordres revenaient. Néanmoins je n’avais pas le choix. Swinguer avec la bouteille que j’avais dû me rattacher, renverser de la cire sur ma poitrine, enlever et remettre les pinces. Ma souffrance, si elle se prolongeait, ne s’accrut pas comme je le désirais vers l’exaltation et l’éjaculation. De toute façon, je ne pouvais plus.

Quoique je ne savais pas. Je sentais mon sexe contracté dans la cage, mais celle-ci comme je devais le découvrir plus tard était grande et offrait une certaine liberté. Il s’agissait d’un jouet pour débutant. La surface en arceau de la cage permettait néanmoins d’exciter la peau de mon sexe, comme l’un des pseudos masculins qui me suivait depuis le début me le fit découvrir. Avec ma brosse à cheveux, je frottai vigoureusement dessus. J’appréciai l’irritation que je ressentais.

On me demanda si j’avais du Tabasco ou de l’huile pimentée. Je répondis que non. J’étais étudiant, je ne mangeais pas ici. J’avais décidé que je n’avais pas d’autres jouets à leur présenter mais j’avais sous-estimé le machiavélisme d’une demi-douzaine de dominateurs pervers et sadiques, pour certains amateurs, mais dont l’expérience total dépassait les trois cents ans envers un jeune homme nu, à leurs bottes, qui venait à peine d’atteindre sa majorité. J’avais l’impression d’être comme une jeune souris au milieu d’une meute de chat. A terme je me ferai dévorer.

  • La tringle à rideau derrière toi, me demanda en français un nouveau venu.

Je me retournai et cette fois, je ne pouvais pas contester. La caméra orientée vers la fenêtre et le grand rideau opaque que je n’avais pas oublié de fermer. La tringle apparaissait dans l’angle de la caméra. Je me levai pour la détacher. J’essayai sans succès d’être autorisé temporairement à enlever la bouteille qui étirait mes couilles, au moins le temps de l’opération, mais ce fut un refus ferme, multiple et sadique que je reçus. Je sentais même une certaine jouissance de mes tortionnaires à chaque fois que je me rabaissais à demander une adaptation de ma peine, à chaque fois refusée.

Je déplaçai une chaise pour m’élever suffisamment afin d’enlever le crochet. La bouteille m’élança ; Le plug anal se déplaça, s’enfonçant, comme si c’était encore possible, un peu plus ; Je fus déséquilibré ; Je faillis tomber n’osant me reposer sur le rideau qui pourrait se détacher. Je posai la main sur le mur, déplaçant la tringle. Le rideau trembla et s’entrouvrit durant l’opération mais personne ne se trouvait derrière. J’espérais que d’aussi près, et avec la lumière en contre-jour, la fonction occultante du rideau était toujours efficace. Je pensais surtout à la bouteille d’eau suggestive qui se balançait à mon entre-jambe.

Alors que je ne croyais pas apprécier le voyeurisme, cela m’excitait néanmoins. Je revis en moi l’image du même gardien de sécurité imaginaire du magasin de bricolage, passant de l’autre côté du rideau, qui avec un grand sourire me demandait de lui ouvrir la porte. Je bandais. Etais-je bi ?

Cela m’avait vraiment fait ressentir des frissons, plus que les quelques coups de tringle que je m’administrai, peu après, sans grande conviction, sur mes fesses et sur mon torse. Le plug, les pinces et surtout la bouteille me tourmentaient de plus en plus fréquemment et avec plus d’intensité. L’extase, debout sur ma chaise, à la plausible vu de passants, était passée, j’avais débandé, j’avais mal. Cela faisait une heure qu’elle était partie. La mauvaise volonté que j’avais à exécuter les ordres, de déplacer ma caméra dans des angles inadaptés, avaient fait fuir la plupart des visionnaires et seuls quelques maitres plus motivés que les autres continuaient.

Le martinet et la tringle frappaient, laissant quelques traces rouges ; Une deuxième bouteille avait été attachée ; J’avais dû tirer sans les déclipser les grosses pinces à linges cinq fois consécutivement de mes tétons. Mes couilles et les poils pubiens autour de mon sexe étaient recouverts de cire et je savais que leur enlèvement ne serait pas facile. Mon corps était maintenant recouvert de stigmates lorsque ma maitresse revint enfin.

Lire la suite : Premières expériences et engrenages : Chapitre 10 Premières règles
Il devait y avoir bien de la surenchère dans les propositions.
Peut-être que l'autobiographe aura omis parmi les demandes certaines pratiques autant dans leur réalisation que dans ses souvenirs
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