Lucie découvre la vie, l’ABDL et le BDSM 3

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Ce récit est la suite de : Lucie découvre la vie, l’ABDL et le BDSM 2 sur 3
il y a 1 an

Le début de cette histoire est ici

CHAPITRE SIX Le grand dévergondage

L’idée de prendre Lucie par derrière et de s’amuser à d’autres choses que de la régression titille Jean. C’est dans ce but et pour préparer « mentalement » le petit orifice qu’il achète des sextoys et des plugs, puis un rosebud sur ABCplaisir. En effet, pour sa Little, le plaisir anal viendra plus facilement en gommant sa peur d’avoir mal et en la dilatant un peu. Bien décidé à tromper l’ennemi « peur », le premier accessoire qu’il lui dévoile est présenté comme un bijou anal. Le mot « bijou » enchante Lucie, c’est son premier cadeau avec une jolie pierre rouge. Sa destination par contre, la perturbe un peu même s’il est petit.

Grand stratège du dévergondage, Jean commence par une petite fessée d’amour après avoir fait Lucie se vêtir avec une jupette courte et une nouvelle culotte appelée string. La ficelle passant entre les fesses amuse la Little trouvant cela drôle. La soirée commence par un dîner sympathique bien arrosé, ne buvant que rarement, la petite sera moins tendue. A la fin du repas, Jean lui annonce qu’elle va être punie pour lui avoir servi son café trop tard, en lui faisant un clin d’œil et des bisous soufflés dans sa main. Comprenant qu’il ne s’agit pas d’une punition, Lucie joue le jeu de la chipie.

Attrapée à bras le corps, elle ne tarde pas à se retrouver allongée sur les genoux du méchant Daddy. Donnée jupette relevée, la fessée est plaisante aux yeux du fesseur s’amusant parfois à tirer sur la ficelle du string. Lorsque l’épiderme de la petite commence à être bien rouge, il lui griffe affectueusement les fesses avant de les écarter pour lubrifier la petite grotte qu’il compte bien combler. Le rosebud sorti de sa poche séjourne un instant dans sa bouche pour être réchauffé et lui aussi lubrifié. Les vingt-huit millimètres de diamètre du bijou anal passent aisément la petite porte malgré les réfutations de sa propriétaire. Quelques claques sur les fesses contribuent ensuite à la décontraction de la zone à présent décorée. A la suite de quoi, Lucie est ensuite redressée pour être assise sur les genoux de son fesseur, pour des câlins de consolation.

Les bisous et caresses de Jean s’enchaînent avec des caresses sur le devant du string. Autant dire que la Little gourmande ne s’en plaint pas, bien au contraire, elle facilite l’accès de la main perverse à sa tendre intimité en écartant les cuisses. Portée jusqu’à la chambre et « jetée » dans le lit, elle connaît la suite des hostilités. Lorsqu’elle lui demande de retirer le rosebud, Jean refuse catégoriquement. En guise de dialogue social, il lui retire le string et plonge la tête en avant entre les gambettes pour une dégustation du jeune minou qu’aucun poil ne cache. En même temps qu’il titille la petite perle, il s’amuse à jouer avec le rosebud. Lucie ne réfute plus, elle s’offre même aux attouchements et bisous ciblés jusqu’à son premier orgasme partagé avec le bijou encaissant sans mal, les contractions du petit cul.

La suite est bien plus classique, l’homme méchant et pervers s’allonge entre les jambes s’écartant naturellement d’une pauvre jeune femme. Comblée devant par un membre vigoureux et derrière par un intrus passif s’associant un peu aux pénétrations par la proximité, la petite ne tarde pas à gémir de plaisir puis à griffer les draps innocents. Pour ne pas gâcher le petit lait de son Daddy, la Little a pris l’habitude de se précipiter au biberon pour le collecter lors de l’orgasme de Jean. A chaque fois, elle s’en sustente en tenant le membre dans sa petite main, pour apprécier pleinement les contractions de son prince charmant.

  • Tu vois que par derrière on prend aussi du plaisir ! Lui indique Jean lorsqu’ils entreprennent le câlin du dodo.

  • « Moui » lui répond Lucie provocatrice. Mais est-ce qu’on peut le retirer maintenant ?

  • Quoi, je t’offre un bijou et tu veux déjà t’en débarrasser ?

  • Mais non Daddy, c’est juste qu’il me gêne un peu !

  • C’est normal, il faut le temps pour que tu t’y habitues. Allez, tais-toi et dors.

……………….

Le lendemain soir, Jean décide de combler les deux orifices et de la mettre en couche en la serrant au maximum. C’est ainsi équipée et en body, qu’elle doit assurer le service de table. A chaque pas qu’elle fait, son intimité est donc chahutée. Par principe, elle râle un peu, même si cela ne lui déplait pas tant que ça. A la fin du repas, Jean la fait s’asseoir à cheval sur une de ses jambes. Le petit gode se loge profondément dans le temple de la fécondité pendant qu’entre les fesses, le rosebud suit le mouvement.

Bien décidé à la dévergonder chaque jour un peu plus, tout en lui faisant des bisous et en titillant les tétons dardant à travers le body, il lui demande de faire des mouvements de reins. Si bien que la Little en arrive à se masturber en faisant simplement « à dada ».

  • Allez ma puce, fais-toi plaisir sur ton Daddy, et si en même temps tu as envie de faire un petit pipi, surtout laisse-toi aller, cela sera que meilleurs.

Ayant plus envie de jouir que de faire pipi, mangée de bisous et harcelée de câlins, Lucie se concentre sur ces sensations nouvelles. Lorsque la jouissance pointe son nez, le mot « pudeur » ne fait plus partie de son langage. Elle se frotte à présent comme une furie sur la jambe de Jean ravi de voir sa petite s’éclater. A la fin du premier orgasme de Lucie, elle finit par lâcher sa vessie ce qui en déclenche un second accompagné de petits cris mélodieux.

  • Oh que c’est bon tout ça Daddy. Je t’aime comme j’aime tout ce que tu m’apprends en amour. Lui murmure Lucie avant de dévorer sa bouche de bisous fous.

  • Et moi, j’aime te guider, j’aime te voir heureuse, j’aime te voir prendre du plaisir. Tu es trop belle dans ces moments là, que je remercie les dieux de t’avoir mise sur mon chemin. Question ma puce, tu ne comptes quand même pas me laisser dans cet état ? Lui demande Jean en lui faisant voir la bosse sur le devant de son pantalon.

Comprenant le message subliminal représenté par une « saucisse » compressée et emprisonnée par des vêtements, Lucie s’agenouille pour libérer la malheureuse. Bondissant soudainement de sa prison de tissu, elle est happée par une bouche de gloutonne amoureuse jusqu’à sa libération totale.

Libérée de sextoys, Lucie garde sa couche pour le dodo, elle a réellement pris goût à dormir ainsi avec cette « chose » douce entre les jambes. A cela se rajoute le plaisir de s’y abandonner et de ne pas avoir à se lever pour aller aux toilettes.

…………………

  • Ce soir, je mangerai bien un poulet farci ! Lui indique Jean après avoir quitté Fessestivites et en la mettant sur un site internet avec des recettes.

Même si elle a vu qu’il visionnait des photos et vidéos de sodomie, cet humour lui échappant, Lucie ne fait pas le rapport avec les envies culinaires et toutes autres de son Daddy. Elle note consciencieusement la recette pour cuisiner un poulet. Le soir même, après le repas Jean lui sort le grand jeu en commençant par une douche à deux, pendant laquelle il prend soin de l’exciter. Devenue très gourmande, Lucie collabore grandement.

  • Ma puce, ce soir nous allons faire un nouveau jeu. Je vais t’attacher et te faire des choses pour te faire découvrir d’autres plaisirs.

Ayant comme souvenirs qu’à chaque fois qu’il l’attache, elle jouit beaucoup, la Little collabore bien volontiers en se mettant toute seule bras et jambes en croix sur le lit. « Je suis toute à toi, mon méchant prince » lui dit-elle en lui envoyant des bisous. La différence avec ses autres petits bondages effectués précédemment, porte sur le fait qu’il lui attache les chevilles à la tête du lit. L’intimité de Lucie ne peut pas être plus offerte. Il lui met un bandeau sur les yeux en lui disant que c’est pour une surprise et qu’elle ne doit pas tricher.

Après s’être mis nu, Jean s’installe avec un rouleau d’essuie tout, du lubrifiant et des sexoys devant l’intimité de sa belle ignorant toujours ses projets. A l’aide du magic wand massager puis d’un gode fin, il entreprend de la « chauffer » sans jamais la faire jouir. Le gode pour l’instant ne visite que le temple de la fécondité. En la faisant ainsi languir, Jean se fait traiter de sadique. Ce n’est que lorsqu’il lubrifie la petite rose étoilée, qu’elle commence à comprendre les projets de son prince soudainement moins charmant.

Avec la complicité du magic wand massager et la position se prêtant à la spéléologie anale, l’étroit conduit ne peut résister à l’envahisseur bien lubrifié. Le sentant ouvert à la discussion, Jean retire le sextoy qu’il remplace par sa verge bandée à rompre. Par principe, Lucie couine un peu. « Pousse des fesses comme quand tu vas aux toilettes et tu n’auras pas mal » lui indique jean sans relâcher la pression contre la petite porte devenue rebelle. Le traître pose soudain le magic wand massager sur le clitoris émergeant toujours de son écrin. Déconcentrée dans sa résistance, Lucie se décontracte un instant, instant fatal à son pucelage anal, la verge s’engouffre soudain dans la caverne.

Lucie pousse des cris, dit que cela fait mal, Jean se retire pour revenir à la charge après avoir joué du Magic wand massager. Cette fois, Lucie ne crie plus, elle serre les dents. Couverte de bisous et profondément empalée, elle ne peut échapper aux mains devenues très tactiles sur sa poitrine avec comme but, de l’exciter encore. Le principal du « travail » étant fait, l’orifice n’ayant plus qu’à être « taraudé » en douceur, Jean entreprend des mouvements doux. Au bout d’un moment, Lucie desserre les dents pour se mettre à gémir. Profitant de cet abandon, il accélère ses mouvements et libère les jambes de sa belle. Quelques minutes plus tard, c’est elle qui les enroule autour du corps de son « v i o l e u r ».

Si Lucie aime faire l’amour, elle ne s’était encore jamais sentie possédée à ce point là. A présent totalement décontractée, en se cambrant, elle cherche à se donner totalement aux asseaux du mâle pourfendeur. Elle se met soudain à crier sans discontinuer mais sans jamais crier « stop ». Littéralement défoncée, elle ne peut que subir le plaisir qu’il lui donne en prenant le sien. La fusion des corps totale se fait lorsque, profondément enfoncé en elle, Jean se libère dans l’étroit conduit pris de convulsion comme sa propriétaire.

C’est lorsque tout s’arrête et qu’ils restent lovés dans cette position, que Lucie se met à pleurer à chaudes larmes. Ces pleurs ne sont pas de désespoir ou de douleur, ce sont des larmes de bonheur, tout simplement de trop de sensations.

Sans lui dévoiler qu’il est possible qu’elle ait de petites pertes anales, pour cause de jouissance masculine très généreuses, Jean la met en couche et la prépare avec amour pour une nuit de bébé. Il lui donne même sa tétine avant d’éteindre la lumière et de la prendre dans ses bras pour un gros dodo.

CHAPITRE SEPT : L’entreprise, les week-ends à thème et les jeux coquins.

Si la vie de couple est monotone pour certain couple, entre les soucis de l’entreprise, le décès du père de Jean et leurs envies d’explorer les fétichismes et leurs nuances, nos tourtereaux ne s’ennuient pas. A cela se rajoute que, si Jean est un gros coquin, Lucie n’est pas en reste question sexualité. Elle est devenue particulièrement gourmande, et c’est la gourmandise de son rayon de soleil qui évite à son Daddy de sombrer dans la dépression.

Lors du décès du père de Jean, avec lequel il n’y avait plus d’affinités depuis bien longtemps, l’héritage d’une immense propriété viticole dans le sud de la France a été pour lui, la possibilité de rebondir, de se faire une autre vie professionnelle.

L’entreprise

Le Lucien se prenant pour un représentant syndical, sachant tout bien mieux que son patron, s’est vu proposer de racheter l’entreprise. Jean n’avait qu’une envie le pendre par les précieuses. Au lieu de ça, en lui vendant sa société, il l’a plongé dans l’équivalent d’une fosse à purin de soucis et de dettes. Vicieux et bien décidé à se débarrasser de sa société, pour faire passer le dossier crédit à la banque de son casse pieds de service, il lui a fait 30 % de crédit vendeur. « Si je te fais un tel crédit vendeur, c’est que je suis certain que tu vas te faire les couilles en or » lui a indiqué Jean pour le convaincre.

Le résultat de cette manipulation du communiste croyant être meilleur que tout le monde, amuse grandement Jean. Devenu patron, le Lucien s’est attribué un gros salaire et a augmenté tous les salariés.

 La première problématique, appelée « charges sociales », est que l’entreprise est en perte chaque mois.

 La deuxième problématique, est qu’en droit social, il n’est pas possible de revenir en arrière et de diminuer les salaires. Si bien qu’après ne pas avoir pu prendre son propre salaire, le fameux Lucien a du revendre sa Mercedes flambant neuve, puis déposer le bilan.

 La troisième problématique, est que pour faire passer le crédit, il a mis sa maison en garantie. La banque a entreprit les démarches pour l’expulser de son logis et le vendre. Si bien que le communiste convaincu de savoir mieux gérer que son patron, se retrouvera d’ici peu à la rue.

  • Il ne lui a pas fallu plus de six mois pour couler l’entreprise ! Indique Jean à Lucie. Après m’avoir traité d’exploiteur, cela lui donnera une belle leçon de vie à ce communiste « je sais tout ».

  • Tu aurais du lui donner de grosses fessées ! Lui répond Lucie en sirotant sa grenadine au biberon sur la terrasse de leur nouvelle maison.

Jean ayant repris l’immense propriété viticole dans le sud de la France, il dispose a présent de ce que l’on appelle un « Château », sorte de grande bâtisse ancienne entourée de vigne à perte de vue. Pour les salariés, il s’est arrangé pour les pousser à créer leurs entreprises en leur sous-traitant les missions.

  • Je vous loue le matériel agricole à bon prix en attendant que vous en achetiez de plus moderne et je vous paye 3000 euros par mois. Ainsi vous devenez des patrons et pourrez même faire des prestations chez les voisins pour gagner plus si vous le désirez. C’est quand même mieux que votre salaire actuel.

Les salariés pensant que c’était une aubaine ont suivi sa proposition. Si bien que Jean n’a plus qu’un régisseur. N’ayant plus de salariés, ses soucis ont grandement diminué. Et pour cause, quand la saison ou la météo sont mauvaises, ce sont les salariés devenus des patrons qui en souffrent. Il est vrai que sa présentation était alléchante !

Aujourd’hui, il travaille seul dans son atelier pour entretenir le matériel agricole loué. Si bien qu’il dispose de beaucoup de temps libre pour s’occuper de sa Little.

Les week-ends à thème et les jeux coquins.

Disposant de cinquante hectares de vigne et d’un bois, ils pratiquent l’ABDL en extérieur et même la chasse à la femme, un jeu qui amuse beaucoup Lucie. En effet, jamais le gibier ne jouit quand il est attrapé. Vêtue comme un lapin, la Little part quelques minutes avant lui dans le bois. Le chasseur, muni d’un fusil à fléchette et de cordes la piste pour en faire son « quatre heures ». En clair, lorsque le gibier est capturé, il se retrouve attaché et souvent consommé sur place.

C’est dans ce même bois, qu’en fonction de la saison, en couche puis pluguée devant et derrière avec un vibromasseur bloqué dans sa combinaison cadenassée, Lucie part à la chasse non pas aux champignons, mais aux clés de sa liberté. Elle a moins aimé le jour où le plug était un plug tunnel. N’ayant pas trouvé les clés, c’est avec les fesses bien crottées qu’elle est revenue au château pour sa pénitence : faire une fellation d’amour à son Daddy. La pénitence, n’en serait pas une si elle n’avait pas du la faire avec sa couche odorante et bien lourde !

Pour varier les plaisirs, ils s’organisent des week-ends à thème. Il faut dire que dans la rubrique idées de jeux de Fessestivites, où ils surfent tous les deux de plus en plus souvent, ils trouvent matière à s’amuser. Le gag est que la petite martyrisée dans sa famille d’accueil aurait tendance à devenir maso et soumise en plus d’être AB et DL. Il lui arrive même de proposer des idées perverses à Jean, un signe évident de grande souffrance….

Ils refont régulièrement des week-ends « régression totale ». Lucie apprécie plus le Dark Age play pendant lequel elle est victime d’un sadique amoureux puisqu’elle peut jouir. Les week-ends régression pure, pendant lesquels elle n’a pas accès aux toilettes et ne jouit pas l’amusent moins. Si ils l’amusent moins, Jean étant totalement disponible, elle est énormément câlinée ce qui compense les petits désagréments salissants.

Disposant de beaucoup plus de moyens financiers, Jean n’a pas été avare pour les tenues fétichistes ou conventionnelles. Si bien, qu’elle dispose d’une garde robe lui permettant de se vêtir en sissy, princesse de l’ancienne bourgeoisie, sauf que ces très belles robes cachent souvent une couche ou quelques accessoires coquins. Lucie a donc testé les tenues latex, importable l’été pour cause de chaleur, les corsets affinant sa taille.

Lucie a tenu a assurer l’entretien du château, cela lui fait une activité puis un rôle parfois très amusant. C’est l’occasion de pratiquer un des jeux qui les amusent beaucoup. C’est en tenue de soubrette qu’elle doit faire le ménage ou le service de table. Le châtelain étant pervers, il ne manque pas d’user de son droit de cuissage, soit pour la fesser longuement parfois jusqu’à l’orgasme, soit pour la « consommer » peut importe l’endroit.

Etant bien plus qu’un bricoleur de par son métier initial, Jean leur a fabriqué des carcans et une des pièces du château a été transformée en donjon. Il serait possible d’imaginer que Lucie y est martyrisée, mais il n’en est rien. Ceux qui pratiquent le BDSM pourraient vous expliquer qu’il s’agit de plaisirs différents que l’amour à la papa/maman. C’est dans ce lieu de perversion que Lucie pratique le selfbondage découvert sur Fessestivites. Elle s’y entrave dans des tenues ou positions très osées, après avoir déposé dans le château, des papiers indiquant que la proie est piégée. Lorsqu’il le découvre, Jean peut à loisir, la laisser mariner, la punir ou profiter d’elle à sa guise.

Lorsqu’ils ont découverts qu’un gîte fétichiste a ouvert ses portes en Espagne, ils n’ont eu qu’une envie : aller prendre des vacances dans ce pays pour y faire du tourisme mais aussi des choses….. Ce gîte bien réel, est équipé d’une nurserie pour adulte, d’un grand donjon et d’une chambre Love en son centre. Les photos font rêver les fétichistes de tous bords sachant qu’en prime, ils peuvent jouer également en extérieur.

EPILOGUE

La vie de nos tourtereaux est donc passée de la « misère » et des soucis au bonheur total. Une variable s’est presque imposée avec l’âge de Jean. Lorsqu’il a eu ses premières petites fuites urinaires, il disposait d’une nurse d’amour à la maison. Sauf que cette nurse a été formée, ou plutôt « déformée » par un Daddy pervers.

L’amour permettant de vivre ce qui est appelé « des excentricités » sans être jugé et sans pudeur, Lucie joue parfois la Maîtresse ou la nurse sadique avec son chéri qui le lui rend bien.

Fin

TSM

Cette histoire est totalement fictive. Par contre, les liens conduisent sur des sites bien réels et sûrs, (Sans arnaque). Le gîte fétichiste existe réellement. Il pourrait vous permettre de vivre vos envies dans un cadre sympathique si vous désirez vous offrir, des vacances coquines et touristiques.

J'adore 💖💖💖
Punaise j'adore cette histoire ! Je me suis surprise à rêver que j'étais Lucie... Ah si seulement...
On reconnaît le Style TSM, une plume de qualité, pour une idée des plus mignonne… avec une pointe de perversité ^^
Merci beaucoup pour cette sublime histoire qui donne envie et de l'espoir, on ne sait jamais ! Merci beaucoup.
Merci pour cette sublime histoire
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