Premières expériences et engrenages : Chapitre 80 : Première domination

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Ce récit est la suite de : Premières expériences et engrenages : Chapitre 79 : La servante est au courant
il y a 1 an

Chapitre 80 : Première domination

Des spasmes la secouèrent et quelques secondes plus tard, du liquide fut projeté de son sexe.

  • Répète ! insistai-je, en me rendant compte de la marge qu’il me restait sur le plaisir ou la douleur que je pouvais lui infliger.

  • Libérez-moi, Maîtresse, demanda-t-elle cette fois en pleurant.

  • C’est mieux dis-je en rediminuant d’un cran cette même mollette.

  • Merci, bafouilla-t-elle.

Oserai-je ?

  • Merci, Maître, la récriminai-je, la remontant de deux supplémentaires.

  • Merci, Maître, hurla-t-elle cette fois.

Je la redescendis d’un, la laissant ainsi à quatre.

  • Plus bas maître, encore plus bas, s’il vous plait.

  • Que me donneras-tu en échange ?

  • Que voulez-vous ? Maître ? ajouta-t-elle à temps.

Je ne m’étais pas posé la question. Elle avait apprécié, quand bloqué aux fenêtres, les valets profitaient de moi. Les impulsions électriques qu’elle subissait me rappelaient celle que m’infligeaient mes maîtresses. Tous ces hommes autour de moi l’excitaient. J’avais une idée. Cela plairait probablement à Maîtresse Diane.

  • Tu trouvais que certain des valets n’étaient pas uniquement homosexuels, à la façon qu’ils avaient de te regarder. Je veux savoir lesquels.

  • José le mexicain, commença-t-elle par lister.

  • Celui-là, j’en étais sûr, commenta Maîtresse Diane.

  • Dario, Ahmed, Wallace, et Sébastien, Maître, ajouta-t-elle. Je ne pense pas que les trois derniers soient attirés par les femmes, Maître.

  • Alors voilà ! dis-je. Si tu ne veux pas que je monte au-dessus du niveau sept ce soir sur aucune des molettes, tu devras satisfaire ces cinq hommes en même temps après notre séance, proposai-je.

  • Demain, me corrigea Maitresse Diane. Ils sont déjà partis et rentrés chez eux.

  • Demain alors. Es-tu d’accord pour les satisfaire ou veux-tu goûter de la mollette au niveau dix ? demandai-je.

Comme elle hésitait, je commençai à incrémenter toutes les mollettes d’un cran.

  • Je suis d’accord pour les satisfaire, répondit-elle hurlante, alors que je laissais les mollettes toutes à cinq. Je suis d’accord, répéta-t-elle, attendant que je réduise le niveau des impulsions.

  • J’aurai bien baissé les niveaux, mais il semblerait que tu ais encore oublié mon titre.

  • Maître ! dit-elle trop tardivement.

  • C’est bien que tu t’en rappelles, mais c’est plus important que tu n’oublies pas de le dire, insistai-je.

Les Maîtresses appréciaient. C’était essentiellement mon but. Je voulais leur prouver que je pouvais aussi leur servir de partenaire. Je voulais me rendre indispensable, plus performant, meilleur que tous les soumis qu’elles avaient eus. Ce qui arrivait à Lisa m’importait moins, même si c’était lié.

Au niveau cinq, la puissance était trop élevée pour la laisser dans un état stable. La jouissance montait en elle et redescendait comme une courbe sinusoïdale débouchant la plupart du temps sur un orgasme. Je contemplais sans changer pour l’instant les paramètres. Je voulais garder les deux dernières incrémentations des mollettes pour un moment plus critique, car les quatre maîtresses commençaient à s’égayer sur elle.

J’observais et j’apprenais, cette fois avec plus d’attention, car moins impliqué à jouir de mes propres plaisirs ou de mes propres douleurs. Lady Christine rajouta deux poids aux pinces labiales, accentuant l’étirement. Tata Marguerite maniait sa cravache retrouvée sur des parties aléatoires du corps de Lisa. Maîtresse Diane s’attardait sur les seins de la pauvre servante, tirant sur les pinces à tétons. C’était son truc, me dis-je me rappelant de la séance dans la boutique de lingerie. Il était important que je connusse leurs spécialités, leurs divertissements, leurs passions. Diane avait une attraction presque fétichiste pour la poitrine féminine. Elle aimait la masser, la mordre, la sucer.

Ladyscar, plus en retrait, m’observait de temps en temps, se réservant le clitoris. Elle opérait les mêmes gestes que moi, le poussant sur le plug mais le maintenant plus longtemps, plus durement. J’aimais voir souffrir Lisa. J’aimais encore plus quand elles la caressaient.

Je jouais maintenant comme sur une table de mixage, respectant le niveau sept que j’avais fixé. Aux commandes des mollettes, je l’amenai aux jouissances, aux orgasmes, à l’extase, conjointement avec mes maîtresses. Je regrettai juste l’absence de contacts tactiles, mais elles étaient déjà bien nombreuses, autour d’elle.

Le gode avait été mis dans la bouche pour recevoir le champagne doré de ces dames. A mi-séance, elles avaient ramassé leur verre et se découvrirent pour les remplir devant moi. Nu, sans cage, je leur fis démonstration de mon intérêt, plus lié à leur position et à leur tenue qu’à leur dons liquides, même si je devais me faire une raison. Cela m’excitait.

Elles transvasèrent ensuite, l’une après l’autre et par petite gorgée, le contenu des verres dans l’entonnoir coudé qu’elles avaient jouxté sur le gode. Je connaissais cette sensation. Je m’en rappelais parfaitement quand je vis le liquide disparaître dans la bouche.

Ma phobie de l’étouffement s’étendait jusqu’à Lisa et je baissai le niveau d’intensité des trois mollettes au minimum durant cette entracte. Je vis qu’elle le comprit et l’appréciait.

Puis la séance reprit, plus dure qu’au premier acte. Clitoris, lèvres, poitrine, rien ne lui fut laissé au repos. Je tournai les molettes sans plus d’intérêt, plus intéressé par le spectacle de lesbiennes dominatrices qui s’offrait à mes yeux. Je craignais d’éjaculer sans le vouloir, sans même me toucher. J’en étais presque à demander à ma maîtresse de me remettre ma cage. Que m’arrivait-il donc ?

Elles la détachèrent. Je crus que c’était terminé mais Ladyscar m’informa que c’était pour la circulation sanguine. Il ne fallait pas laisser une soumise trop longtemps dans une même position. Je me souvenais de l’état dans lequel j’étais sorti des fessées de Nathalie, du ballbusting et de la séance de la veille. Je comprenais

Allongée maintenant sur le dos sur la table où, ce matin encore, j’avais régalé les valets, mes maîtresses lui attachèrent les membres dans une nouvelle position incongrue mais dont je ne pouvais nier qu’elle mettait ses formes en valeurs. Des cordes en-dessous et au-dessus de sa poitrine, gonflait cette dernière, à n’en pas douter, au grand bonheur de Maîtresse Diane.

Les plugs avaient été réajustés à la hausse en les enfonçant d’un ou deux centimètres supplémentaires. Le sexe détrempé de Lisa en facilitait la manœuvre. Les pinces avaient été enlevées et les maîtresses usèrent uniquement de leurs mains pour choyer ce corps qui se tordait toujours aux évolutions des doigts sur les commandes.

Je tins ma promesse de ne pas dépasser le niveau sept, mais c’était bien suffisant. Tata repris sa cravache en main. Elle ne la quittait jamais. J’essayai de me rappeler si elle l’avait eu au restaurant, cachée sous sa robe. Cela ne m’aurait pas étonné. Non, elle l’aurait utilisée sur les vendeuses plus tard sinon, juste pour son plaisir.

Les caresses, les gifles, les coups de cravache se succédaient sur ce corps électrisé que nous finîmes par abandonner après un orgasme supérieur aux autres. Je coupais l’interrupteur après avoir remis les mollettes à un.

Quand elle fut détachée, elle ne tenait plus sur ses jambes. Ben et Nathan furent appeler pour la conduire à sa chambre.

  • Il est temps de se préparer pour ce soir, dit Maîtresse Diane alors que l’horloge indiquait vingt-deux heures.

  • Nous n’en avons pas fini pour aujourd’hui ? m’étonnais-je, un peu épuisé et qu’une bonne nuit réparatrice n’aurait pas déplut.

  • Nous sortons en boîte. Nous devons nous habiller, confirma Tata Marguerite.

  • Et moi, comment dois-je m’habiller ? demandai-je.

  • Toi ! Tu es bien comme tu es, répliqua Lady Christine.

Lire la suite : Premières expériences et engrenages : Chapitre 81 : Devine où on sort ce soir
la place de Lisa m aurais bien plu
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