Premières expériences et engrenages : Chapitre 85 : Une fellation désirée

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Ce récit est la suite de : Premières expériences et engrenages : Chapitre 84 : Franchir le Rubicon
il y a 1 an

Chapitre 85 : Une fellation désirée

  • A demain, me dit Ladyscar, et amuse-toi bien.

Elle partit en silence tandis que je la regardais de dos jusqu’à ce que la porte se referme derrière elle.

  • J’ai bouleversé vos projets, m’excusai-je par mon ton auprès de Basile.

  • Enjolivé, me répondit-il, m’ouvrant la porte vers la salle principale.

Le vestiaire était finalement bien éclairé en comparaison avec la grande salle. Lorsque la porte s’ouvrit, la noirceur qu’elle apportait pénétra en moi, laissant toute la place à Lassie.

  • Allons-y, répéta-t-elle ainsi ce que j’avais dit un peu plus tôt, entérinant la transition vers ma seconde personnalité.

Comme un ordre donné à mes jambes, celles-ci se mirent en marche derrière Basile. Son ami finissait la marche derrière moi comme un serre-file assurant que je ne me sauverais pas. J’eus besoin de quelques dizaines de secondes pour que mes yeux s’habituent à cette luminosité ténue.

Une piste de danse se dessinait devant moi, proportionnellement petite en rapprochement avec la taille de la salle totale et de l’expérience que j’avais d’autres boîtes de nuit. La grande majorité de l’espace occupé par la salle principale était consacré à de petit salons, composés de fauteuils ou de canapés, orchestrés autour d’une table basse. Des emplacements de deux, trois places ou plus recouvraient le sol incliné en hauteur vers l’extérieur, restituant un aspect d’amphithéâtre à l’ensemble.

De nombreux pylônes en brisaient la vue d’ensemble invitant, en complicité avec des miroirs muraux, et selon l’angle de regard, à croire la pièce infinie. Une table et quatre places assises, aux abords de la piste, au centre de la salle, en contre-bas, était vide. Un carton de réservation était posé en évidence avant qu’un serveur ne l’enlevât à l’arrivée de Basile et de nous, ses deux soumis. Nous nous y dirigeâmes donc et prîmes place. Basile m’invitant sur le canapé à côté de lui, délaissant son ami sur ma gauche.

La plupart des gens étaient habillés correctement, même plus à la mode que moi, enfin quand je portais quelque chose. Certains avaient des tenues exotiques, des couleurs originales, des tenues de cuir, voire des parties du corps dénudés. Mais aucun, à part moi, n’était totalement dénudé. Les regards convergèrent vers ma personne alors que je m’asseyais sur le canapé de tissu dont la propreté pouvait laisser à désirer.

  • Je risque d’être l’attraction de la soirée, dis-je à Basile.

  • Et encore ! La plupart n’ont pas vu les messages que tes maîtresses ont laissés sur tes fesses, dit-il en m’invitant à se rapprocher de lui alors que je n’occupais que le coin du siège.

  • Qu’est-il noté ? demandai-je.

  • Elles ne te l’ont pas dit ? Ce n’est pas à moi de le faire. Il y a des miroirs au fond de la salle, m’indiqua-t-il.

Je les avais déjà repéré. Croyant à une demande de sa part, je me levai dans le but de m’y diriger et de regarder de plus près.

  • A ta place, je n’irai pas tout de suite.

J’observai, plus attentivement, dans la direction. Une grande table et de nombreux fauteuils accueillaient un groupe impressionnant d’une quinzaine d’hommes. Le coin était sombre et l’on voyait de l’animation. Ils faisaient l’amour. Ils se caressaient, s’embrassaient sans retenues. L’un d’eux pratiquait même une fellation à la vue de tous.

  • Il y a aussi des salons privés, plus chaud encore, à l’arrière, m’informa-t-il, où l’on pratique cette activité comme bien d’autres plus croustillantes.

  • C’est là que je devrais aller ?

  • Non tu resteras toujours dans la grande salle.

  • Pourquoi ?

  • Parce que c’est ce qui est écrit sur tes fesses, avoua-t-il enfin.

  • Grande salle ? m’étonnai-je.

  • Presque. Il est marqué « A baiser, protégé, uniquement en public ». C’est le but du message.

  • Être certain de m’humilier ?

  • Elles voulaient être certaines que tu sois protégé.

  • Protégé de quoi ?

  • Des pratiques des salons privées.

  • Des pratiques que je ne pourrai souffrir ? s’étonnait Lassie qui s’était maintenant libérée.

  • Possible. Je ne sais pas ce qu’elles attendent de toi.

  • Du sexe, violent, forcé, fellation et enculage, proposa Lassie sans gêne.

  • Cela, nous pouvons le pratiquer ici, dit-il en me montrant un homme beaucoup plus vieux que moi monter sur une estrade.

Il y avait une barre verticale fixée à ses deux bouts, de pole dance, si je ne me trompais pas. L’homme peu émérite se déshabilla dans un simulacre de strip-tease sous les applaudissements mesurés et les quolibets plus exotiques du public et des danseurs, avant de s’essayer à une danse lascive, tout aussi maladroite.

  • Tu peux faire mieux.

  • Il est vieux, mais je ne suis pas sportif pour autant, répondis-je modestement, persuadé qu’il avait raison.

Même si je n’étais plus déguisé comme une fille, les parts androgynes de mon corps et maintenant de mon esprit savaient pertinemment comment exciter ces mâles.

  • Es-tu prêt ? me demanda-t-il.

Je ne répondis pas, mais oui je l’étais. Je savais que plus douce serait la nuit si j’en ralentissait chaque étape, en laissant couler le temps.

  • Prenons déjà un verre, proposa-t-il.

  • Je ne pense pas avoir d’argent sur moi, commentai-je sarcastiquement.

  • Je te l’offre, répondit-il sans relever ma plaisanterie. Pixie, vas nous chercher trois verres de vin, demanda-t-il à son ami. Tu bois du vin ? vérifia-t-il.

  • Oui, lui répondis-je, mais rarement et en petite quantité.

  • Je crois que ce soir, tu en auras besoin d’un peu plus.

  • Pourquoi faite-vous cela, lui demandai-je, tandis que Pixie s’était levé pour commander ce vin.

  • Si je te le disais maintenant, tu ne me croirais pas, clôtura-t-il cette discussion. Choisi un homme que tu voudras sucer, me demanda-t-il soudainement.

  • Quoi ?

  • Je ne connais pas tes goûts ! Mais sobre et en début de soirée, il vaut mieux commencer par ce qui te plait non ?

  • Les gens vont me passer dessus les uns après les autres.

  • Pas avant quelques heures. Profite un peu avant !

Je regardai autour de moi. Si je choisissais quelqu’un, cela voulait dire que j’en avais envie. C’était cette étape que j’avais du mal à passer et je réfrénais les commentaires salaces de Lassie qu’elles portaient sur les hommes vers lesquels mon regard se tournait successivement. C’était moins gênant que l’on profite de moi, que je ne le désire.

  • Cela vous gêne si je réponds vous ou votre ami, me décidai-je enfin d’un accord commun avec Lassie.

Je voulais être rassuré ; Elle voulait les remercier.

  • Non. Tu peux choisir.

  • Vous, répondit-elle à ma place avec un peu trop d’empressement à mon goût

  • Vas-y alors ! Commence !

Je ne savais pas quoi faire, ni comment ? Non je savais, mais je ne voulais pas. En réalité je voulais, mais j’espérais toujours qu’il me force la main. Lassie prit finalement le contrôle et s’agenouilla à ses pieds. Elle lui écarta les jambes, d’un geste assuré et …. Je me trouvai à lui masser l’entrejambe. À travers son pantalon de toile, trop léger pour la période, je sentais sa verge quitter sa forme chrysalide. Je le massai plus durement, connaissant l’étape d’après, attendant qu’il se déshabille de lui-même. Mais il savait ce qu’il voulait.

  • Abaisse la fermeture éclair et ouvre le bouton, me demanda-t-il d’un ton plus sec, mais que je ne jugeai pas encore assez vindicatif pour être un ordre. Tu en as envie, n’est-ce pas ?

Mon dieu, que faisais-je là ? Je le regardais. Il fallait qu’il m’en donne l’ordre. Il fallait que ce soit lui. Alors que j’attendais, je me vis lui ouvrir la braguette, lui ouvrir le bouton. Lassie ne voulait plus attendre. Hypocrite, résonna dans ma tête, comme en écho, à chaque respiration. Elle baissa son caleçon, juste pour lui en extraire la bite et les boules que l’élastique de son vêtement serrait. La mettant en évidence devant moi à moins de dix centimètres. Elle était de bonne taille. Fallait-il que la mienne soit la plus petite de celles que je voyais depuis deux jours. J’en prenais complexe. Lassie y trouvait de la force. Ce n’est pas ton embryon de sexe qu’on recherche chez toi, me rappela Lassie, lui caressant le bout du gland, l’excitant un peu plus avant de se pencher et de le lui lécher, me démontrant par l’action ce qu’on attendait réellement de moi.

Ma langue parcourait la surface de son sexe, ses bosses et ses creux, descendant le long de son membre. Alors qu’une de mes mains la lui tenait droite, si besoin il y avait, l’autre se glissa sous ses boules et les lui massa. Ma bouche recouvrit maintenant la totalité de son gland. Je commençais un mouvement de va-et-vient, limité à la partie supérieure de son sexe. Il était chaud et, avec ma salive, lisse et humide.

Que faisais-je donc là ? Je laissai Lassie me guider dans cet imbroglio de sentiments et de sensations. Elle lui serra une peu plus fort le sexe et j’activais ma bouche. Je sentais qu’il grossissait, qu’il devenait plus dur en bouche, al-dente si j’osai. Mais je me retins.

Je maitrisais force et vitesse tel que j’aurai voulu qu’on me le fît. Je sentis qu’il était prêt à éjaculer. Je comprimai son sexe de ma main, voulant prolonger son orgasme, mais c’était trop tard. Son sperme envahit ma bouche se mêlant à ma salive, plusieurs fois. Quand je fus convaincu que c’était terminé, que sa verge avait retrouvé sa forme au repos, je la lui nettoyai de la langue et avalai le tout, comme mes maîtresses me l’avait appris le matin même.

Je la lui reglissai dans son caleçon, remontant et refermant son pantalon. Je me rassis sur le canapé à côté de lui, le séparant à nouveau de son Pixie qui, depuis quelques minutes déjà, nous avait ramené les verres de vin. Je pris le mien, but juste une gorgée pour me rafraichir la bouche, comme si de rien n’était, et dit posément.

  • Maintenant je suis prête.
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