Premières expériences et engrenages : Chapitre 103 : Maitre Lucifer

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Ce récit est la suite de : Premières expériences et engrenages : Chapitre 102 : La présentation du nouveau
il y a 1 an

Chapitre 103 : Maitre Lucifer

Alors que nous accédions à son logis, l’homme se glissa derrière moi et me frappa les fesses, ou plutôt la couche, tellement cette dernière était épaisse. Je sentis le liquide s’étaler sur ma peau, la laissant légèrement humide. Je trouvais la sensation désagréable. Je voulais parler, mais ma tétine gonflée, remplie de liquide féminin, attaché par des velcros, ne me laissait que le choix du silence.

J’eusse voulu me dégager, mais j’évitai avant tout les mouvements brusques qui pourraient dégénérer un peu plus ma situation. Il guida mes maîtresses jusqu’à un grand salon, plus imposant en taille et en décoration que celui de Diane.

Comme je m’y attendais, il n’était pas seul. Une demi-douzaine de personnes étaient présentes. Mon regard fut immédiatement attiré par un parc à bébé géant où deux hommes et une femme y étaient enfermés. Tous les trois portaient de grandes couches culottes comme celle que l’on m’avait enfilée et déambulaient au milieu de jouet, de mobiles et de peluches. Ne portant que cela, mon regard fut immédiatement attiré par les seins nus de la femme, plus jeune que les deux hommes, et qui s’avérait la seule des trois à me regarder.

Outre notre hôte, deux hommes et deux femmes étaient présents autour de la table. Le repas semblait bien avancé et les invités avaient le regard froid, glacial, sans compassion ni prédation, indifférent dans le sens le plus mécanique du terme. Je ne me sentais pas le bienvenu, loin de là.

  • Vous êtes en retard. Nous ne vous avons pas attendues, dit Maitre Lucifer qui nous avait reçus à la porte. Vous connaissez déjà tout le monde, dit-il aux maîtresses sans tenir compte de moi.

Sa dernière phrase n’était pas une question et le ton employait exsudait une certaine nervosité, cachant probablement un énervement. Si son titre pouvait impressionner, l’homme ne me plut pas dès le premier abord. Non que je fusse qualifié pour juger les gens, et le sentiment trompeur que Basile m’avait fait ressentir me le confirmait, mais je distinguais un décideur, dictateur, imposant sa propre volonté et n’admettant aucune contestation. Un peu comme Maîtresse Diane, mais d’une intensité écœurante. Ce type de personne, dont l’argument principal et souvent unique était celui de sa position hiérarchique, je voulais les éviter avant tout autre. J’aime la discussion, la dialectique, la controverse, et ce n’eût pas été possible avec ce genre de personnage.

  • Laissez-nous le temps de le mettre dans le parc, s’imposa Maîtresse Diane, qui semblait la seule des quatre à ne pas être écrasée sous le joug de cet homme.

Lady Christine qui prenait plaisir à mon contact, me dirigeait, me manipulait, me touchait, m’amena jusqu’à la porte de la gigantesque cage ouverte, de plusieurs mètres carrés, et en ouvrit la porte avec un mouvement au niveau de la clinche qui ne s’avérait pas si simple. Une sécurité enfant, pensai-je, masquant mon sourire naturel. Le temps de me rappeler que, dans ma position de bébé et avec la tétine me cachant la moitié du visage, je ne voyais que Ladyscar qui aurait pu y déceler quelques stigmates de sarcasmes.

J’entrai m’associer aux trois autres adultes déguisés avant que Christine ne refermât la porte et ne rejoignit ses consœurs autour de la table. Déjà l’un des hommes se levait et emportait les plats avant qu’elles n’y goûtent, ajoutant de la tension.

Je baissai la tête en signe de salut, ma tétine m’empêchant toujours de parler. Seule la femme me répondit très discrètement. Elle s’assit par terre, m’incitant à faire de même autour d’un jouet.

Avec mon plug, je ne pouvais l’accompagner. Pourtant avec mes jambes arquées par la couche, et cette grenouillère dont la matière électrostatique me transmettait à chaque frottement quelques chatouillis électrique, j’aurais bien eu envie de me reposer un peu. A la place, je m’appuyai sur la barre supérieure du parc après en avoir vérifié sa stabilité et sa solidité.

L’huile agissait comme un laxatif et, outre le litre et demi de liquide dans le corps, il me semblait que du solide, issu de mon conduit digestif, venait s’y ajouter. Mon ventre douloureux et grommelant en devenait une des conséquences. Selon le principe du plug, je pourrai me vider comme bon me semble mais j’attendrais le moment précédant celui où elles décideraient de me changer. Malgré la douleur je préférais savoir la mixture dans mon ventre que dans ma couche, convaincu pourtant que si ma santé comptait plus que mon humiliation, j’aurai déjà dégagé ce mélange de mon corps.

Mes maîtresses en étaient au fromage, ce qui finalement m’arrangeait. Toutes les chaises du même côté de la table leur permettaient de nous surveiller. L’inverse était vrai. Les deux femmes étaient chacune la mère d’un des deux bébés masculins alors que l’un des hommes, le plus jeune, s’avérait le père de la femme déguisée en bébé et qui semblait plus consciente de son statut que ses deux camarades de parc. Les parents alternaient les commentaires entre eux et des petits mots attentionnés à leur chérubin. Je profitai de ce temps pour une analyse plus complète de ce jeu nouveau pour moi. Je n’arrivais pas à distinguer leurs échanges à cause du babillage des autres enfants. Ladyscar et Lucifer étaient côte à côte et n’arrêtaient pas de discuter entre eux, tout en me regardant.

Le dessert fut servi, et je dégageai mon attention de mes camarades pour continuer à observer nos convives. L’un des hommes du parc, profitant de mon inattention, ne trouva rien de plus amusant que de chercher à voler ma tétine qui par sa taille ferait l’envie de tous les bébés.

Mal lui en pris ! Après s’être approché de moi sans que je ne soupçonne la moindre intention agressive à mon égard, il plongea la main dessus et l’attrapa.

Il appuya sur la poire de caoutchouc si fort, tout en la tirant, que celle-ci projeta le reste de liquide ainsi que l’air contenu à travers la valve dans la boule située dans ma bouche. Celle-ci trop gonflé arracha le tissu poreux à l’intérieur de ma bouche, déversant le liquide précité de sécrétion féminine, jointes de laxatif.

Faillant étouffer, je ne pus m’empêcher de réagir violemment.

Mains attachées dans le dos, je ne trouvai rien de mieux, dans la panique, de lui infliger un coup de tête, lui éclatant le nez.

Tous les parents se levèrent d’un bon, tandis que l’homme que je venais de frapper, un peu plus petit que moi, mais du double de mon poids, s’écroula, le nez en sang. Il tomba sans se retenir sur sa couche.

La pression infligée à sa protection était trop forte. La couche s’éclata sur les côtés, le contenu, marron, plus liquide que celle d’un adulte, ressemblant fort à celle d’un bébé, d’un bébé géant, en fut éjecté. Il fut projeté à plusieurs mètres de là, un peu partout, tachant parc, jouet, parquet et pire.

Le second homme en fut couvert de ses bras nus à ses jambes. Il en recracha sa tétine et se mit à hurler devant ces excréments qui n’étaient pas les siens, à pleurer comme un bébé, à la sonorité plus grave mais surtout aux décibels amplifiés. Les parents couraient, se bousculant vers l’entrée du parc. Seule la femme en couche, presque amusée, n’ajoutait rien à ce chaos, se blottissant dans un coin resté libre et propre, comme dans l’attente de connaître la suite de cette incident.

Lire la suite : Premières expériences et engrenages : Chapitre 104 : Départ imprévu
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