Premières expériences et engrenages : Chapitre 102 : La présentation du nouveau

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Ce récit est la suite de : Premières expériences et engrenages : Chapitre 101 : En grenouillère
il y a 1 an

Chapitre 102 : La présentation du nouveau

  • La mauvaise nouvelle est, bien entendu, le contenu que tu devras absorber si tu décides de l’avaler, poursuivit Ladyscar.

  • Tu as deviné ce que c’est ? me demanda Tata Marguerite.

Non, répondis-je à nouveau de la tête, sans trop forcer le mouvement, de peur que cela n’active involontairement son fonctionnement.

  • Nous l’avons remplie hier en boîte avec les filles, poursuivit Maîtresse Diane. Elles ont toutes mis un peu de leur jus, avec le plaisir de savoir que ce serait pour pourrir la bouche d’un gros bébé de dix-huit ans. Et comme c’était loin d’être plein, nous avons rajouté d’autres sécrétions.

Quelles secrétions ? voulus-je demander. Non. Il était mieux que je ne le sache pas. Mais si, me souffla Lassie. Elle était encore bien là cette fois, surveillant et modifiant mes réactions naturelles, trouvant que j’avais été un peu trop cocooné depuis mon réveil. Elle en voulait plus. Elle voulait ressentir la marque du cuir et la pointe du métal sur ma peau. Elle voulait souffrir, elle voulait que je souffre.

  • Tu veux savoir ? me demanda Lady Christine cette fois.

Non, pensai-je. Oui, fit Lassie de la tête.

  • L’une d’elle y a mis sa transpiration, elle s’est essuyée puis a essoré la serviette, mais la plupart furent plus classique. Certaines ont craché dedans, plusieurs ont pissé. C’est ce qui donne celle belle couleur dorée. L’une d’elle a même mis un produit médicamenteux.

Mon regard devenait affolé, au grand bonheur de mes maitresses.

  • C’est un laxatif liquide très puissant. Elles savaient à quoi nous allions jouer avec toi. Je te jure qu’il n’y aura pas que du thé et de l’huile tout à l’heure dans ta couche.

J’essayai de retenir que cela ferait partie des expériences que je ne voulais pas renouveler, comme certaines autres passées, quand Ladyscar me le demanderait. Lesquelles ? me demanda Lassie sans ironie. J’essayai de me rappeler ce que je n’avais pas apprécié. Mon dieu, rien ne me revenait ! Si Ladyscar décidait de me poser maintenant la question je ne trouverai rien à défaire pour la réalisation d’un même weekend ! Non ! Ce n’était pas possible !

Je ne comprenais pas en revanche l’intérêt du plug si le but était finalement que je chie et déverse mon liquide dans cette couche. Sans compter que je doutasse de sa capacité. Prévoyaient-elles me l’enlever ? Mais dans ce cas, elles devraient retirer la couche ? Je débutai, je ne comprenais pas.

En attendant, la saveur dégagée par la tétine était péniblement supportable et, à la différence avec ce que ma bouche avait déjà expérimentée, l’avaler ne servait à rien. Cela revenait, systématiquement, avec ce procédé de diffusion. Peut-être finalement que la vider une bonne fois pour toutes serait le plus supportable ? me disais-je, n’osant pourtant franchir le pas et accélérer le déferlement de ces exsudats.

  • Nous avons tout ? demanda Maîtresse Diane.

  • J’ai le paquet de couche de rechange informa Tata Marguerite.

  • Et moi le biberon, dit Lady Christine en me dévoilant un biberon géant de la taille d’une grande bouteille d’eau minérale qui devait bien faire deux litres.

  • Il est chaud, lui dit-elle, en le touchant.

  • Il aura le temps de refroidir, le temps qu’on arrive chez lui.

  • Oumpf, émis-je.

  • Chez qui va-t-on ? cherchait à traduire Ladyscar.

Oui, dis-je de la tête. En fait, si ! Je savais ce que je détestais. C’est d’être bâillonné, muselé. Outre que cela fleurtait avec ma phobie, je ne pouvais pas déverser mes sarcasmes, quand ceux-là me venaient. Cela me frustrait plus encore que la cage de chasteté dont j’appréciai en ce moment l’absence.

  • On va chez Lucifer, me répondit Ladyscar.

  • Oumpf, émis-je à nouveau lésé par le manque d’information.

  • Maître Lucifer ? Il dirige une congrégation de BDSM. Il a beaucoup d’adeptes, beaucoup d’amis, indiqua Tata Marguerite.

  • Une bonne trentaine, tout au plus, contrebalança Maîtresse Diane, comme jalouse.

  • C’est déjà beaucoup pour la ville et sa métropole, confirma Ladyscar.

  • C’est probablement le plus grand groupe de la région, conclut Lady Christine.

  • Allons-y ! dit Maîtresse Diane. Nous sommes de nouveau très en retard et je doute qu’il apprécie qu’on lui manque ainsi de respect.

Nous descendîmes les marches du perron. Dario, au volant de la grosse voiture, nous attendait le moteur allumé. Lydia ne venant pas, nous prîmes les mêmes places que lors de la sortie au restaurant. Mais un problème intervint dès que je m’assis.

Le plug ne remplissait plus sa fonction, dans les deux sens de l’usage du verbe. Il fuyait. Du liquide s’écoulait par l’intérieur de ce dernier et se répandait, hors de mon cul, commençant à remplir ma couche. Avec la bouche obstruée, je ne pouvais expliquer la situation à mes maîtresses. Alors, malgré mes mains également attachées, difficilement, je me redressai, finissant courbé dans la voiture. Je maintenais ma stabilité, bloquant mon corps dans une position aberrante, entre mes pieds et ma nuque, cette dernière prenant appui sous le toit de la voiture.

  • Cela fuit quand tu t’assois, me dit Ladyscar. C’est normal. Le plug que l’on t’a mis est un peu spécial. Il est creux et en deux parties, maintenues entre elles par un ressort. En position de repos, les deux parties obstruent le conduit situé au milieu et le jouet est étanche. Si tu t’assois, les deux parties coulissent entre elle et le chapeau se soulevant, le liquide peut alors emprunter la canalisation et se vider de toi. Tu as vu ce que cela donne ?

Oui, voulus-je confirmer de la tête sans succès, alors que refusant de m’asseoir, je gardai cette position inconfortable.

  • Nous n’en avons pas pour longtemps, ajouta-t-elle, tandis que Tata Marguerite et Lady Christine en profitèrent pour glisser une main sous mes fesses, m’aidant à maintenir le plug au repos.

  • Conduis prudemment ! dit Maîtresse Diane à Dario. Il n’a pas sa ceinture.

J’avais plein de question que ma tétine géante m’interdisait de poser. Maître Lucifer. Le nom n’était pas attrayant. Peu féru de film d’horreur, j’avais toujours eu le sang glacé quand on me parlait de diable ou de démon. Qu’était-il ? Sadique, homosexuel, attiré uniquement par les perversions de lavement ou de retour à l’enfance ? Qu’aimait-il ? Comment devais-je me comporter et à quoi devais-je m’attendre ?

Nous ne mîmes même pas dix minutes pour rejoindre une bâtisse du centre-ville. Un hôtel particulier, entouré d’un mur de près de trois mètres, suffisamment ancien pour ne pas à avoir eu besoin d’une autorisation municipale. On ne distinguait le pavillon qu’au travers d’un portail en fer forgé à la peinture verte et défraichie. Le terrain peu étendu sur le devant de la maison laissait entrevoir un arrière plus convenable en légère pente descendante.

Un homme nous attendait sur le seuil, alors que Dario s’introduisait avec la voiture au-delà du portail automatique, maintenant ouvert. Le costume qu’il portait me le fit prendre d’abord pour un serviteur, un majordome, avant que je ne lusse dans son regard ce que j’avais trouvé chez mes dominatrices quand je les avais rencontrées pour la première fois : une lueur de prédation agrémentée d’un soupçon de sadisme.

  • Alors c’est votre bébé ? demanda-t-il, tandis que nous descendions. Il est mignon.
Lire la suite : Premières expériences et engrenages : Chapitre 103 : Maitre Lucifer
J'adore votre récit 😋 sur les couches..! Avec la grenouillette c'est vraiment super sympa 👍. !
Prochain chapitre https://fessestivites.com/recit/199489
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