Catégories : Diaper boy / Little boy Homme soumis, Femdom Domination féminine Enema Lavement / Médical
Ce récit est la suite de : Premières expériences et engrenages : Chapitre 100 : La suite des confidences
il y a 1 an
Chapitre 101 : En grenouillère
Elle me le décrit. Nous continuâmes à parler un peu, jusqu’à ce que les maîtresses, une par une, descendissent.
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Alors mon gros bébé, tu es prêt pour aller déjeuner ? dit Ladyscar, la première arrivée.
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A-reu, lui répondis-je en mettant mon pouce dans la bouche, une bravade supplémentaire.
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Tiens ! Mets plutôt ça ! me dit-elle en me tendant une tétine.
Je mis l’objet dans la bouche puis je secouai la tête négativement devant son humour. J’étais vraiment ridicule. Je l’enlevai alors et la reposai sur la commode. Je n’allai pas sortir comme cela ?
Je réagis comme si cela avait été la goutte qui fit déborder le vase ou, dans ce cas, la couche-culotte. Mais, en réalité, je sentis le choix réfléchi de Lassie qui recherchait la punition supplémentaire.
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Non j’ne veux pas, Na, répliquai-je, jouant le bébé récalcitrant.
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Mets-là ! Tu veux vraiment être un méchant petit garçon ? me demanda Lady Christine qui, descendant, rejoignait ma maîtresse.
Je lus dans ses yeux le sadisme comme renvoyé en écho des protestations de Lassie.
- Na, relançai-je, beaucoup moins sur de moi, mais au grand bonheur de ma seconde personnalité.
Nous allons pouvoir jouer, entendis-je sa voix suave directement à l’intérieur de mon esprit, espérant quelques bons coups de cravache ou de fouet.
Alors que Lady Christine se proposait de me la remettre en l’enduisant au préalable de quelques produits qu’elles discutaient encore, Tata marguerite, encore dans l’escalier, envisagea une autre solution.
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Mettons-lui directement l’autre.
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Ben, va me chercher la tétine des récalcitrants et la bouteille de liquide à côté, confirma Maîtresse Diane qui arrivait la dernière.
J’aimais quand elles se mettaient à quatre, en quatre, pour moi. Ben, encore présent et discret dans le couloir, à attendre ses ordres, s’éloigna comme un bon serviteur. Je l’entendis utiliser les escaliers du sous-sol.
- Quelles sont les règles du jeu ? leur demandai-je, alors que je me laissai attaché les poignets.
Les mains dans le dos, ma maîtresse les avait fixées grâce aux cordes fermant le dos de la grenouillère.
- Pour ce midi, tu seras notre bébé, me dit Lady Christine. Nous allons sortir chez des amis qui ont le même penchant et tu devras te comporter comme un vrai bébé durant tout ce temps.
Je crus sentir la prononciation du mot « ami » comme accroché, délivré d’une intonation différente, fausse.
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Cela fait partie des pratiques BDSM ?
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Non, répondit Lady Christine. C’est un autre membre de cette grande famille de jeux de domination. Globalement, tu ne peux rien faire sans nous, tu dois attendre notre bon vouloir pour tes besoins primaires, manger, te changer les couches, jouer, prendre un bain, sortir du lit.
Je trouvais d’abord ce membre de la famille plus limité, en comparaison avec la torture, puis je pensais à toute l’humiliation qui pouvait en découdre, d’une sortie en public par exemple. Je me rassurai en considérant que je n’aurai que peu à la pratiquer, si cela restait, comme elle me l’avait indiqué, juste pour un déjeuner entre participants de la même passion. Je regrettai de ne pas avoir profité ce matin de mon temps libre pour aller grignoter à la cuisine, puis mon ventre rempli se rappela à moi. Cela s’avérait au fond une bonne idée d’avoir sauté ce petit-déjeuner. D’abord, je n’avais pas faim. Avec tout le sperme que tu t’es enfilé, tu as mangé suffisamment, me dit Lassie de retour, plus proche de moi que jamais.
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Les mains attachées sont incluses dans la pratique ?
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Non. Soit l’enfant joue le jeu, car il est déjà bien dressé, mais ce n’est pas ton cas. Il peut être drogué, mais nous ne pratiquons pas de telles pratiques. On peut également lui fixer des moufles qui diminuent ses actions, mais connaissant tes goûts pour être attaché de force, nous avons choisi les liens.
Mes goûts avaient peut-être changé, surtout depuis la longue nuit d’hier.
Non. C’est meilleur, me rappela Lassie goulument. Tu peux te lâcher plus rapidement.
Et toi prendre ma place, lui répondis-je. Je la vis même me sourire à ma réplique, alors qu’elle n’avait pas de corps. Si maintenant, elle en avait un. Je visualisai la sissy que j’avais découverte dans le miroir. Celle qui arrivait presque à m’exciter : moi, déguisée comme les maîtresses l’avaient désirée. Pourrais-je tombé amoureux de mon moi féminin ? Était-ce du narcissisme ?
Ben revenait avec une tétine géante, à la taille d’un adulte, peut-être même plus disproportionnée encore. La partie intérieure se composait d’une grosse boule, mais au lieu d’être du caoutchouc, elle était en une sorte de tissu. La partie externe était une sorte de poire transparente et creuse possédant un bouchon qui permettait son remplissage.
Lady Christine me mit la partie intérieure dans la bouche et l’attacha à l’aide d’une sorte de harnais à l’arrière de ma tête au moyen des velcro, prenant sans distinction mes cheveux avec. Immédiatement dans la bouche, je sentis la différence avec l’autre que je regrettais déjà. Petite au goût de fruit, j’aurais presque pu la garder toute la journée si ce n’était son côté ridicule et humiliant, surtout habillé dans une grenouillère. La nouvelle était d’une taille différente. Elle m’écartait la bouche et paraissait pouvoir encore se gonfler. Son goût me rappelait celui de semences corporelles. Sa texture, avec ce tissu, était désagréable dans la bouche, plus encore que son goût à l’intimité féminine.
- C’est une fabrication artisanale, me dit Tata Marguerite, fière d’elle.
Nul doute qu’elle en était la conceptrice, si ce n’est la réalisatrice. Si la fonction semblait respectée, je doutais, le tissu entre mes dents qu’elle résisterait longtemps en termes de qualité. Mes maîtresses m’obligèrent à me mettre sur les genoux puis à m’asseoir sur mes talons. A bonne hauteur, maintenant, Lady Christine ouvrit le bouchon et, à l’aide d’une seringue Maitresse Diane commença à injecter un liquide à l’intérieur de la poire, sous le regard enchanté de sa créatrice.
Le liquide ne m’inspirait pas confiance. Il était de couleur jaunâtre et flottait dedans des formes plus visqueuses. Une fois à travers le prisme de la poire translucide, elle en devenait même répulsive. Mes yeux se croisèrent pour en déterminer consistance et mixture.
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Oh, regarde comme il est mignon, il louche sur sa tétine, dit Maîtresse Diane, sarcastique.
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S’il savait ce que contient le liquide, rajoutait sadiquement Lady Christine.
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Il faut le lui dire. Après tout, il est bien qu’il sache que la nuit dernière, nous ne l’avons pas abandonné, que nous avons pensé à lui, ajouta Tata Marguerite.
Le produit commençait à s’écouler dans la partie externe. Quand celle-ci fut remplie, elle referma le bouchon et pressa doucement sur la poire. Alors, par une valve séparant les deux parties, la mixture se répandit dans la poche gonflable, à l’intérieur de ma bouche agrandie. Quand elle relâcha la poire le liquide ne revint pas. La valve n’avait qu’un sens. De l’air s’insinua à la jonction du bouchon, émettant un sifflement identifiable, jusqu’à en remplir la poire.
Maintenant, vide de liquide, elles réitérèrent deux fois l’opération. Le ballon intérieur, gonflé de liquide, emplissait douloureusement ma bouche. La bouteille, d’où elle tirait ce liquide, était maintenant vide. Tout était dans cette grande poche dans ma bouche.
- La poche te fait mal ? me demanda Ladyscar.
Oui, répondis-je, opinant délicatement de la tête.
- Alors j’ai une bonne et une mauvaise nouvelle. La bonne est qu’elle est poreuse. Si tu presses délicatement, un peu de liquide s’en échappera, et ainsi après l’avoir avalé tu pourras la dégonfler. Tu souffriras moins.
Je voulais vérifier, mais j’attendais la mauvaise. Je commençais à trop bien connaître leurs jeux pervers, pour savoir que cela ne serait pas si simple.
plutôt tentant , je veux la même tétine | |
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