Premières expériences et engrenages : Chapitre 108 : Jour J

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Ce récit est la suite de : Premières expériences et engrenages : Chapitre 107 : Le cadeau
il y a 1 an

Chapitre 108 : Jour J

Je voulais profiter de l’occasion unique d’avoir une relation avec une maîtresse et j’avais déjà profité de Diane, mon choix se portera donc sur la dernière. En ce qui concernait la second personne, ou plutôt la première, je me faisais une joie de ne pas prendre Nathalie sachant que cela la rendrait plus sadique encore. Je connaissais déjà intimement Lydia et la vendeuse rousse et je préférais choisir quelqu’un de nouveau et que je ne reverrais probablement plus. En cas de maladresse ou d’échec, je n’aurai plus à croiser son regard.

  • Ce sera Myriam et Tata Marguerite.

Myriam était une de deux autres jeunes vendeuses. Fine, petite, beaucoup plus que Sandrine la rousse, elle était brune aux cheveux sombres. Sa peau n’était pas juste bronzée. Elle avait assurément des parents d’origine et de couleurs différentes. Mais ce n’était pas sa couleur de peau que j’avais apprécié le plus dans le magasin. Sa poitrine ferme, petite, tendue à l’auréole discrète mais au téton turgescent, redressé, victorieux m’avait attirée bien plus.

  • Dans cet ordre, compléta Maîtresse Diane.

  • Oui. De quelle chambre puis-je disposer ? tentai-je, espérant nonobstant mais vainement d’une intimité puérile.

  • Le salon est suffisamment grand. Si tu t’inquiètes, nous n’allons pas attendre tous autour et te regarder en commentant. Nous allons aussi profiter les unes les autres, dit Maitresse Diane.

  • Ou les uns les autres, dit le valet asiatique en regardant son homologue nordique.

Nous étions une vingtaine à nous regrouper par deux, trois ou plus dans ce qui sera, d’ici quelques minutes, une orgie, une partouze, un libre échangisme de corps et de pratiques en tout genre. Si Maîtresse Diane pensait que cela me faciliterait la tâche, je crois qu’elle se trompait. Myriam venait vers moi avec un sourire presque timide, si, la veille, je ne l’avais vu aux mains de Ladyscar se contorsionner en jouissant dans des susurrements à peine masqués.

Elle portait juste une robe légère échancrée, courte à moitié transparente avec sa peau si foncée et un string noir qui ressortait encore plus au travers.

Arrivée à côté de moi, elle enleva la robe d’un mouvement simple, fluide, naturel, me dévoilant une grande partie de son corps.

  • Alors, c’est avec moi que tu veux le faire pour la première fois.

Elle avait une voix douce et suave agrémentée d’une touche d’exotisme jailli d’un accent qui sentait les embruns. Quand elle m’embrassa, je sus que j’avais fait le bon choix. Je me laissais faire. Elle me guida vers le sofa, la place de choix au milieu des chaises, des canapés et des matelas qui avaient été apportés. J’étais au centre de la pièce, le clou du spectacle, même si comme Diane l’avait dit, on s’occupait déjà de moins en moins de moi.

Elle m’allongea, enleva sa culotte et s’étendis sur moi, me chevaucha plus précisément, au niveau du haut des cuisses. Rien que sa nudité, son attitude, sa sensualité avait conduit mon sexe à se redresser. Ses mains me caressaient le corps. Elle se déhanchait avec lenteur, frottant ses cuisses contre les miennes. Sa poitrine se mouvait devant mes yeux dans une danse lascive, durcissant un peu plus ma verge. Elle glissa ses doigts, les ramenant à nos sexes et nous masturbait an alternance, puis simultanément.

Pendant que je sentais l’excitation monter en elle, lui laissant le temps de se mettre en condition, je regardai autour de moi. Les groupes étaient formés. Valérie proche de moi était prise en sandwich entre Dario et Ahmed et leur sexe était déjà en train de la combler tandis que leurs caresses et leurs baisers la rendaient folle. Que j’aurai voulu être l’un d’eux. Non ! J’aurai voulu être les deux à la fois pour la combler ainsi.

Maîtresse Diane, appuyée contre le mur subissait les assauts de José, le valet mexicain à la queue démesurée qu’elle convoitait depuis hier. La queue, plus que le valet ! Des soubresauts dans les bras de cet adepte de la musculation qui ne devait comprendre l’extase que par la puissance et l’endurance, qualités que semblait appréciées notre hôtesse.

Lady Christine avait choisi Wallace comme co-conspirateur dans le but d’attendrir la peau de Sandrine la rousse dans une position qui n’était pas sans me rappeler celle d’hier près des cabines d’essayage. L’irlandais, a genoux, comblait des doigts et de la langue la sexualité de la malheureuse. La toison de celle-ci se confondant avec la chevelure de ce dernier.

Les soumis, y compris Pixie, géraient le service fournissant boissons et jouets aux couples et autres groupes formés qui les réclamaient. Ils participeraient, à n’en pas douter à déséquilibrer certaines allégories qui se dessinaient, au fur et à mesure, autour de moi.

Basile avait jeté son dévolu sur l’antillais, l’un des trois à n’avoir aucune attirance pour les femmes selon Lisa. Les deux autres valets, l’asiatique et le blond du nord, purement homosexuels étaient comme seul au milieu des autres couples. Ils étaient, à n’en pas douter ensemble, cela se voyait hier déjà. Certains gestes, attitudes, regards ne trompaient pas.

Lydia était partie avec la troisième des vendeuses de l’autre côté de la pièce, derrière le dossier du sofa, endroit que je ne pouvais distinguer, ainsi que Tata marguerite, Sébastien et Lisa, dont je ne comprenais pas la connivence des deux derniers, au vu de ce qu’il lui avait fait subir ce matin.

Jugeant que je m’étais assez rincé l’œil et que je ne m’occupais pas assez d’elle, Myriam me tourna la tête d’un geste brusque, me l’orientant vers son corps et fit mine, se sentant suffisamment prête, de me chevaucher. Mon sexe se dressait difficilement. L’humidité de sa chatte ouverte, n’exerçait aucune pression suffisante sur ce dernier, lorsqu’elle se glissa autour de ma verge.

  • Cela ne va pas ? me dit-elle.

Sa voix, son attitude. Elle était pourtant merveilleuse. Était-ce tout ce monde autour de moi ? Non. Il y en avait bien plus cette nuit dans la boîte gay. Le lavement et le biberon devait en être la raison. Ou tout simplement le weekend, car je me sentais fatigué, léthargique. Je n’arrivais pas à me concentrer.

Myriam se releva et me glissa un préservatif, comme si cela changerait grand-chose pour ma première fois. Elle m’enfourna de nouveau.

Je me démenai pour me hâter de faire ma petite affaire, mais le sofa s’avérait finalement inconfortable, trop mou, comme ma queue. Il m’empêchait de prendre appui, de m’activer comme je le voulais. De plus dans cette position, c’était Myriam qui dirigeait. Et si elle m’excitait, ses mouvements langoureux étaient insuffisants pour me donner l’extase, même pour me garder dans une excitation. Je la maintins dur à peine une minute avant qu’elle ne retombe comme un soufflet sorti du four.

Lisa s’approcha depuis l’arrière de la pièce et se pencha à mon oreille, me souffla quelques mots.

  • Alors on se sent éreinté par la tâche, dit-elle en maintenant mes épaules.

C’est vrai que je voulais changer de position, mais le simple poids de Myriam m’en empêchait. Le weekend avait été long et je n’avais pas beaucoup dormi cette nuit. Je voulais faire la sieste, me reposer.

Pourtant c’était la première fois que je pénétrai une femme. Cela aurait dû me faire plus d’effets. C’était incompréhensible. Ce n’était pas normal. Ce n’était pas naturel.

Je le lus dans le regard de Lisa.

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