Les secrets de la chambre des filles 4 et fin

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Ce récit est la suite de : Les secrets de la chambre des filles 3
il y a 11 ans

Auteur Ecrivaillon

Julie m’ayant dit « Ce soir tu as rendez-vous avec la canne, puis Monsieur étalon, je vais te faire voir moi qui porte le pantalon chez moi » mon après-midi fut dès plus perturbée. La canne et Mr Etalon ne me disaient rien de bon. Aussitôt rentrée, pour essayer de les amadouer, je me suis mis dans la tenue qu’elles désirent que je porte chez elles, robe, soutif et culotte et avant de foncer en cuisine pour essayer de leur préparer un p’tit repas sympa.

La porte s’ouvre, elles entrent et apprécient les parfums de la cuisine, Julie m’apporte une bouteille de champagne qu’elle m’ordonne de mettre au frigo avant d’aller travailler ses cours. Pendant mon repas qu’elles apprécient, elles ne me disent rien de particulier et me laissent sur mon inquiétude. La vaisselle terminée, lorsque je les rejoints au salon, elles ont tourné le clic-clac et sortie des cordes, les voir me glace le  s a n g  car je n’ai aucun doute sur leur utilité.

  • Penche-toi sur le canapé, nous avons des comptes à régler Larbine ! M’ordonne Julie en me poussant contre le dossier du clic-clac.

En un rien de temps, mes mains sont attachées sur le devant du clic-clac, ma culotte est retirée et mes jambes attachées écartées. Le ventre appuyé sur le dossier du clic-clac mes fesses sont on ne peut plus offertes à sa colère. Une trouille viscérale me vrille l’estomac mais elles prennent leur temps et m’indiquent que la bouteille de champagne c’est pour fêter un heureux évènement. Présentement, j’ai du mal à saisir ce qu’elles entendent par là ! ! !

Un toc toc à la porte me fait bondir, mais elles n’ont que faire de mes inquiétudes, Laura va ouvrir pendant que Julie s’installe dans le canapé. Carole entre dans l’appartement et semble informée de ce qu’il m’attend, ma position ne la surprend pas, j’ai même droit à grande claque sur les fesses.

  • Bien, puisque tout le monde est là, nous allons pouvoir passer aux choses sérieuses. Déclare Julie en se levant.

Laura et Carole prennent place sur le canapé, ma tête proche de leurs cuisses me permet presque de voir leurs dessous.

  • Alors comme ça on a été vilain ce matin, on va être puni ? Me demande Carole amusée en frottant mes cheveux.

  • Oui mais en même temps, il va voir qui porte le pantalon ici ! Clame Julie en revenant avec une canne anglaise qui me fait froid dans le dos.

  • Sortir sans porter ma culotte est sanctionné par 10 coups de canne. Pour que tu puisses apprécier plus encore ma culotte, j’ai porté aujourd’hui celle d’hier, elle va te servir de bâillon, ouvre la bouche ou je double la punition ! M’ordonne Julie en retirant son string qu’elle me colle dans la bouche.

Un sifflement suivi d’un trait de feu sur mes fesses me fait bondir dans mes liens. Un compte Julie avant de me laisser me reprendre et de porter le second coup aussi puissant. Si Laura et Carole n’étaient pas assises dans le canapé, je crois que je l’aurai soulevé. Impitoyable, cette salope de Julie porte les huit autres coups. Mes fesses s’embrasent littéralement, la douleur est abominable à la limite du supportable. J’ai l’impression qu’un nuage de moustiques ou de fourmis volantes s’attaquent à mes fesses alors que Julie les caresses comme pour apprécier le résultat de ce qu’elle vient de me faire.

  • Ne pas nous apporter le café au lit est sanctionné par 5 coups de canne et la dégustation de Monsieur Etalon. Clame Julie en me donnant cinq coups de canne très rapprochés qui m’arrachent des larmes.

Et là, Julie attrape un sac en plastique sur son bureau dont elle sort un gode ceinture qu’elle enfile sur sa jupe. Je recrache son string en lui disant que je ne suis pas PD, sa réponse est immédiate : « cela tombe bien, je ne suis pas un mec connard » ! Elle me présente le phallus en plastique à sucer en agitant sa canne anglaise à côté de mon visage, comme il ne s’agit que de sucer du plastique, j’abdique malgré l’immense honte me submergeant. Laura se lève et se place à côté de moi dans l’autre sens puis soulève sa jupe pour s’offrir au gode-ceinture de sa Maîtresse. Julie s’agenouille derrière elle sur le canapé, positionne son gode avant d’empaler Laura à priori ravie de s’offrir ainsi devant nous.

A la hauteur où se trouve mon visage, quasiment à côté des fesses de Laura, je ne loupe rien des mouvements du gode en elle. Carole se lève pour venir prendre place derrière moi, puis se frotter contre mes fesses encore brûlantes. Ses mains caresses mes hanches un instant avant de prendre possession de mon sexe qu’elle malaxe de bon cœur en se frottant contre moi. Ses attouchements et la vision si proche de deux lesbiennes en action finissent par déclencher en moi de bien troubles sensations. Mon sexe bande dur malgré ma position délicate et mes fesses brûlantes. Carole me rend dingue, c’est inexplicable mais je n’y peux rien.

Soudain, Laura se met à gémir comme une malade, Julie accélère ses mouvements en elle et lui donne de sérieux coups de rein qui la font beugler au sens propre du terme, tant sa jouissance est forte. Lorsqu’elle se retire, je pense la chose terminée mais Julie s’approche de moi et me présente à nouveau le gode-ceinture à sucer.

  • Lèche et goûte la chatte de ta cousine pour voir comment elle est bonne ! M’ordonne Julie déchaînée.

Le gode en bouche, qui va parfois jusqu’au fond de ma gorge et me provoque des hauts le cœur a effectivement un parfum féminin très prononcé. Tout cela me perturbe au plus haut point, tout comme d’être le jouet des filles. Julie défait son god-ceinture pour le donner à Carole qui l’enfile aussitôt en me regardant avec des yeux gourmands qui m’affolent.

  • Je vais te faire voir qui porte le pantalon chez moi, sauf que j’ai décidé de déléguer à ta nouvelle maîtresse. Elle accepte de te prendre chez elle sans participation financière pour sa colloc. Nous allons donc fêter deux choses ce soir, ton pucelage et ton départ. Si tu parles de cet arrangement et si tu refuses de lui offrir ton pucelage je te pourri aux yeux de toute la famille et de la FAC.

Malgré mes réfutations, Carole vient se frotter à moi avec le gode-ceinture, Laura fait des photos avant de revenir prendre place sur le canapé. Julie semble t-il experte en la matière, lui donne les conseils pour dépuceler un cul ! Elle s’occupe même de me lubrifier de fondement en y faisant entrer un doigt puis deux malgré l’étroitesse de mon anus.

  • On va t’aider, éclate-toi ! Me dit Laura en affichant son plus beau sourire.

  • M’aider à quoi, à me faire malmener, traiter comme un gay ?

  • Que de vilains mots, laisse-toi aller, ici tu es le seul mec et tu vas t’éclater. Me répond Julie.

Les filles se mettent à trois pour m’exciter et me rendre fou. Laura passe ses mains sous le chemisier et le soutif pour venir titiller mes tétons, Carole joue avec mon sexe qu’elle masturbe à merveille pendant que Julie vient frotter son intimité contre mon visage. Carole pose le gode ceinture sur ma petite rondelle affolée et suit à la lettre les indications de Julie. Le gode n’est pas gros mais quand il commence à s’insinuer en moi, j’ai l’impression que mon cul s’enflamme. Julie l’arrête aussitôt et lui conseille de me laisser m’habituer et m’ouvrir à lui tout en frottant son bas ventre nu et glabre contre mon visage. Petit à petit l’oiseau fait son nid….. et le gode finit par glisser en moi.

Penchée sur mon dos, en même temps qu’elle entreprend de lents mouvements dans mon anus toujours contracté, Carole joue avec mon sexe, Laura intensifie ses caresses. Je me perds, je ne sais plus où j’en suis, je ne sais plus si je dois me rebeller ou m’offrir, c’est atroce de ne plus savoir. Julie mets les gants en plastique servant pour la vaisselle puis vient à son tour jouer avec mon sexe entre les jambes de Carole qui commence à s’activer entre mes fesses. Entre leurs mains, je ne suis plus qu’un jouet, un jouet qu’on dépucelle et qui se perd dans ses sensations en se sentant « femme ». Julie demande à Carole de ne plus bouger avant d’entreprendre de me masturber vitesse grand V pendant que Laura change de position pour que mon nez plonge entre ses seins à travers son tee-shirt.

Soudain, ma tête devient chaude, ma vue se trouble, mes fesses s’ouvrent, mon sexe se met à tressauter et à cracher sa semence avec une telle puissance que cela fait presque mal. Guidée par Julie, Carole se retire de mes fesses avec lenteur avant de partir à la salle de bain laver le gode. Quand Julie libère mes jambes et Laura mes poignets, pendant un instant je reste en position, ce que je viens de vivre m’a tué, a tué tous mes préjugés.

Pour la première fois, Julie fait le service et ouvre la bouteille de champagne, pendant que Carole m’aide à me relever et à remettre ma culotte pour que je ne tache pas le canapé avec le lubrifiant.

POUR LA PREMIER FOIS

Pour la première fois, j’ai le droit de m’asseoir sur le canapé.

Pour la première fois, Julie est gentille avec moi, elle me tend même un verre de champagne en affichant son plus beau sourire.

Pour la première fois, je fonds en larme après avoir jouis.

Pour la première fois, un des mes fantasmes inavouables vient de se réaliser.

Pour la première fois, une femme pose un collier de chien à mon cou et y accroche une laisse,

Carole tient la laisse de mon collier et m’invite à me lever avec douceur pour prendre ma place puis elle me demande de m’asseoir à ses pieds avec un si beau sourire que je fonds de bonheur quand elle m’attire contre elle.

  • A ta nouvelle Maîtresse d’Amour ! Crie Julie en approchant son verre du mien.

Ecrivaillon

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