Les secrets de la chambre des filles 3

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Ce récit est la suite de : Les secrets de la chambre des filles 2
il y a 11 ans

Ma journée à la Fac se passe bien, j’en arrive à oublier mes aventures jusqu’au moment où je prends le chemin du retour pendant lequel je prends conscience qu’elles ne m’ont pas donné une de leur culotte comme elles se plaisent à me l’imposer. Lorsque j’entre dans l’appartement, elles ne sont pas là. Pour ne pas attirer leur courroux, avant de m’enfermer dans ma chambre pour bosser, je passe immédiatement la tenue féminine imposée car j’en ai assez de me faire engueuler ou tanner le cul.

Bien décidé à respecter les règles, vers 19h je passe en cuisine pour voir ce que je peux leur préparer. Au menu ce soir, salade et pates, c’est vite préparé surtout les pates en boite que je mets quand même dans un joli plat avec un peu de gruyère râpé dessus. Soudain, la porte d’entrée s’ouvre, je me concentre comme si je bossais quand elles débarquent dans la cuisine avec une fille que je ne connais pas. OUP ! Oups car je suis habillé en femme ! ! !

La fille, prénommée Carole me sourit mais ne fait aucune remarque sur ma tenue. Avec de magnifiques cheveux châtain clair son visage est très gracieux mais elle mesure 1m60 et doit peser 100 kilos. Je la salue et me jette sur ma sauce salade comme la misère sur le monde quand Julie entre dans la cuisine avec deux bouteilles de rosé qu’elle me colle dans les mains en me prévenant que j’ai intérêt à être à la hauteur si je veux pouvoir m’asseoir demain sur les bancs de la FAC.

Je débouche donc la première bouteille en attendant que l’on m’appelle pour faire le service, chose qui ne tarde pas…. Julie m’invite à prendre un verre avec elles et commence à vanter mes mérites de Larbine chose qui soudain me met hors de moi. Cette garce sent que je vais m’énerver et allume son putain d’ordinateur qui ne tarde pas à diffuser des photos de moi en culotte de femme, en couche et attaché sur la chaise. En faisant ça et en me regardant droit dans les yeux elle me rappelle silencieusement qu’elle me tient par les c…….

La discussion entre filles continue un moment, Julie me demande de faire le service en m’indiquant que nous allons partager le dîné avec Carole. Je m’exécute donc et, quand j’installe les assiettes, une fourchette tombe. Je la ramasse pour la remettre sur la table ce qui n’est pas du goût de Julie qui me rappelle les principes de l’hygiène avec un index pointé sur moi qui ne me dit rien qui vaille….. Je vais donc chercher une fourchette propre, à mon retour les trois filles sont assises sur le clic-clac.

  • Allonge-toi sur nos genoux, tu vas recevoir une fessée pour manque d’hygiène. Me dit Julie en me toisant du regard d’un air de dire, « tu n’as pas intérêt à résister ».

J’essaye par principe de négocier, mais comprends à son regard foudroyant qu’il est préférable que je m’allonge sur leurs genoux. Carole étant assis au milieux de mes cousines, une fois allongé sur elle mon postérieur lui est on ne peut plus offert. Et là, se met à pousser des ailes dans le dos de cette salope de Laura qui jusqu’à présent était restée assez neutre ! Elle relève ma robe et baisse ma culotte en commentant mon fessier blanc « qui ne va pas tarder à prendre de la couleur ». Elle l’invite même à le palper pour en apprécier la fermeté !

Je suis mors de honte et inquiet car tout cela sent l’embrouille. La fessée ne tarde pas, elle n’est pas très sévère mais soutenue, surement, avec six mains, les claques sont assez répétitives et rapides car elles en arrivent à trouver un rythme commun. La fin de ma fessée est confiée à Carole, Julie me tenant les bras et Laura les jambes. Petite mais musclée, elle ne se prive pas des sensations que procure ce genre de chose et me tanne le cul en m’arrachant de réels cris de douleur. Lorsqu’elle s’arrête enfin, Julie m’impose de les remercier et de baiser les mains de Carole, qui me les tend volontiers.

Le repas se déroule ensuite sans encombre, par contre les filles se laissent aller sur le rosé, la deuxième bouteille y passe en un rien de temps. Sous un prétexte bidon, Laura se prend elle aussi une fessée, ce qui me fait du spectacle et plaisir vu qu’elle ne m’a pas épargné. A la fin de sa fessée, Julie l’oblige à lui embrasser les pieds, de là où je suis assis, je ne loupe rien de son fessier bien rougi et de ce qu’il y a au creux de ses cuisses. Carole s’en aperçoit, m’incendie et demande si elle peut me corriger pour voyeurisme aggravé. La petite grosse m’attrape par la main, me couche sur ses genoux et entreprend de me fesser pour la seconde fois de bon cœur en tirant sur ma culotte comme si elle voulait en faire un string. Ma fessée terminée, Carole m’impose de faire comme Julie l’a fait avec Laura, lui embrasser les pieds pour la remercier. Et là, cette salope fait durer le plaisir en se déchaussant pour que je puisse apprécier…..

  • Tout cela est très excitant et me donne des envies. Déclare Julie faisant voir son entrecuisse à Laura qui ne tarde pas à s’y précipiter pour lui bouffer la chatte sans aucune gêne.

Malgré ma honte et mes fessées, j’avoue que la situation commence à me plaire, si bien que quand Julie m’ordonne de brouter le minou de Carole, je ne me fais pas trop prier en espérant que nous passions ensuite à des choses plus « viriles » dans ce monde très féminin. Son sexe s’englue très vite, ce n’est pas une chatte mais un marécage dans lequel je me noie avec plaisir si bien que quand Carole lui demande à Julie si elle lui prête son soumis, Julie lui donne carte blanche en lui proposant ma chambre qu’elle lui désigne d’un doigt.

Tiré par la main comme un bébé par Carole, me voilà parti pour quelques plaisirs. Jeté sur le lit, entre les mains de cette mante religieuse je me fais carrément bouffer le sexe pendant qu’elle m’offre le sien. Elle m’abandonne un instant pour aller chercher une boite de préservatifs dans son sac et m’en enfile un à son retour avant de me chevaucher comme une malade en se caressant le clito. Ces gémissements bruyants ne tardent pas à accompagner les miens plus discrets puis à m’envoyer au septième ciel. Et là, la petite grosse continue puis enrage parce que mon sexe se ramollit. Ni une ni deux, elle arrache quasiment le préservatif et se remet à me bouffer le sexe pour le remettre en forme.

Au bout d’un moment, ma verge se déploie à nouveau, comme précédemment, Carole lui met son capuchon et se met à me chevaucher comme si elle faisait une course à hippodromes du Monteil. Mon plaisir ne tarde pas à montrer son nez une seconde fois et une seconde fois, quelques minutes plus tard, mon sexe redevient mou chose qui ne lui convient pas. Elle essaie à nouveau de lui redonner vigueur mais en vain et décide après quelques minutes d’acharnement d’enjamber mon visage pour me faire brouter son minou dès plus « baveux » Devant mes réfutations et ma résistance, Carole appelle Julie qui entre dans ma chambre rapidement avec la cravache à la main. J’abdique aussitôt sous la surveillance de Julie et Laura amusée qui ne manquent pas de commenter en indiquant à Carole qu’elle ne doit pas hésiter à utiliser la manière forte.

Deux heures ! Une dans son marécage, une partie en elle car j’ai fini par retrouver une petite forme pour la satisfaire, enfin presque, car la chose faite, elle m’a à nouveau couché entre ses cuisses pour que je la lèche au point de m’endormir sur son abricot. Elle s’est levée au bout d’un moment pour aller éteindre la lumière et squatter mon lit. Au petit matin, une douce sensation au niveau du sexe me réveille de la plus agréable des façons, Carole me taille une pipe sauf que cette pipe est finalement motivée par une envie de chevauchée fantastique !!!!!!!!

L’adorable mante religieuse me croque carrément mais entre ses bras, je commence à fondre comme neige au soleil, sa bouche dévore la mienne comme personne ne m’a encore embrassé. J’ai l’impression de fondre dans les bras de cette femme ronde et c’est assez magique. Carole se lève, m’embrasse une dernière fois avant de s’habiller à l’arrache pour quitter la maison sur la pointe des pieds. Après le café, une bonne douche me fait du bien, j’enfile mes vêtements civils pour éviter la chemise de nuit que m’imposent les filles, je leur dirai que je dois partir de bonne heure.

Je sors également sur la pointe des pieds, pour aller reprendre un café au bar, évitant ainsi la petite culotte de Julie. Hé hé …. Pendant mon café en terrasse, je médite sur cette rencontre qui en principe aurait du la détourner de moi vu que j’étais fringué en fille. Et là, au contraire, elle est restée pour profiter de moi. Quelque chose m’échappe.

C’est la première fois que je sors, enfin façon de parler, avec une femme forte, j’avoue que sa façon d’être, son sourire et sa gourmandise au lit génèrent quelque chose en moi. Ma journée à la Fac se passe normalement, hormis un énorme coup de pompe avant le repas. A la sortie de la cantine, je croise Julie et Laura qui m’interpellent et me prennent à part.

  • Tu portes quoi comme sous-vêtement ?

  • Heu …. les miens, vous dormiez, je ne voulais pas vous réveiller.

  • Ok… puisque tu t’es réveillé avant nous et que tu étais libre, il ne t’est pas venu l’idée de nous apporter le café au lit ?

  • Heu …. je ne voulais pas vous réveiller.

Ok …. La salle de bain trempée, c’est aussi pour ne pas nous réveiller ?

  • Heu ….

  • Ce soir tu as rendez-vous avec la canne, puis Monsieur étalon, je vais te faire voir moi qui porte le pantalon chez moi. Bonne après-midi Larbine.

 

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