la perle rare part-2

Catégories : Femmes soumises SM camisole
Ce récit est la suite de : La perle rare part-1
il y a 12 ans

« - Allo ?

  • Bonjour Chloé, c’est Manuela.
  • Ah, salut (totalement déçue). Mais tu as changé de numéro ?
  • Et ben, bonjour l’accueil. Oui je l’ai changé il y a une heure, mais ça fait trois semaines que tu ne donnes plus de nouvelles et c’est comme ça que tu m’accueilles, tu es sur que ça va ?
  • Ouais, ouais. Ne t’inquiète pas pour moi. quoi de neuf ?
  • Rien, mais je suis inquiète pas toi, tu n’appel plus depuis l’autre jour ou tu m’as dit que tu voulais changer de vie. J’espère que tu ne me zappe pas.
  • Non, ne t’inquiète pas, je t’expliquerai.
  • Ok, ça marche. Tu passes ce soir si tu veux ?
  • Oui, ça me fera le plus grand bien.
  • A tout a l’heure.
  • Bisous. »

Après le coup de téléphone, Chloé s’absente le temps d’aller aux toilettes et à son retour, elle trouve un mot manuscrit sur sa table. Elle se retourne partout dans tous les sens, mais personne ne la regarde. Dès les premiers mots, elle sait qui est l’auteur et recommence a chercher Christian du regard, mais il n’est pas en vu. Pourtant il n’est pas loin, comment aurai t’il pu laisser un tel mot sur la table sinon ? que dit ce mot, Chloé le lit très attentivement le cœur battant a cent a l’heure.

« Petite soumise, Tu as trente minutes pour changer ta tenue qui est totalement indigne de ce que tu es. Tu mettras une jupe très courte, des petites chaussettes type collégienne (si tu n’en a pas, il y a un magasin sur la route qui mène chez toi qui vend des costumes. Tu prends le modèle référencé deux cent quarante huit. Je te rembourserai la tenue si besoins) tu mets des petites chaussures vernis noirs (talons optionnels), un décolleté ultra profond sans sous-vêtements haut ni bas. Ensuite tu reprends ta place ici même et tu commande un Coca sans glace et n’y touche pas. Tout retard ou refus signifiera nos adieux officiels. »

Chloé regarde sa montre et détale à une vitesse digne d’un sprinter. Elle n’a même pas le temps de réfléchir. Elle ne pense qu’à être à l’heure a ce rendez-vous. Douze minutes pour rentrer, il en faudra autant sinon plus pour repartir et il faut se changer en prime. Elle fouille toute sa garde robe et trouve LA jupe qui plaira a son Maître. Tiens ce dit-elle, je pense au mot Maître. Mais pas le temps de penser, elle poursuit avec le haut et opte pour la tenue écolière intégrale. Elle met les chaussettes puis les chaussures et au moment de sortir elle se dit « merde », je n’ai pas enlevé mes sous-vêtements. A la va vite, elle défait son string et elle dégrafe son soutien-gorge et elle les balance dans l’entrée par terre. Direction la terrasse et il ne lui reste que dix minutes tout rond. Jamais elle n’a couru aussi vite aussi longtemps. Arrivée à la terrasse, un nouveau mot l’attend.

« Ma petite soumise. Maintenant, c’est très clair dans ta tête que tu es à moi et tu n’as plus envie de me résister. Déjà, je te félicite de ton choix et je vais t’avouer que je saurais être sensible a tes larmes de tout a l’heure, signe d’une profonde détresse de me perdre avant de m’avoir eu. Tu as été fidèle à tous les rendez-vous durant tous ces samedis et je ne peux qu’être satisfait de toi. Maintenant, il est l’heure de montrer tes qualités d’obéissance. Rejoins-moi chez moi, mon adresse est sur ma carte que tu as en ta possession. Tu as quarante cinq minutes à pieds pour venir chez moi sonner à ma porte et te mettre a genoux. Tu sais que je t’observe en ce moment donc le compte à rebours commencera dès que tu te lèveras de ta chaise. Je te laisse donc le temps pour récupérerez et boire ce verre que tu vas commander.

En cas de retard, tu subiras ta première punition. NE ME DÉÇOIS PAS POUR TA PREMIÈRE ! »

« Merde la carte » ce dit Chloé en se remémorant l’avoir jeté dans sa corbeille de bureau il y a trop longtemps déjà pour qu’elle ne soit pas parti au tri sélectif. Sans perdre de temps, elle file chez elle pour retrouver cette carte si elle est encore la. A bout de souffle, elle fouille sa poubelle vidée a même le sol, mais rien, elle n’est plus la. Elle essaye bien de se souvenir de l’adresse mais c’est plutôt vague. Malgré tout, le temps qui lui reste l’oblige à tenter le coup au culot. Car vingt minutes c’est court surtout si il en faut quinze pour y aller. Tout en marchant, elle réfléchie a cette adresse.

De vagues souvenirs sur le numéro la hantent. En revanche, elle est quasiment sur de la rue. Plus que trois minutes et il faut trouver la bonne maison. Mais a la vue des superbes maisons qu’il y a ici, elle se dit que ce n’est pas possible qu’il habite dans ce coin la qu’elle s’est sûrement trompée et qu’elle s’est a nouveau perdue. Le chrono tourne et les dernières secondes sont des supplices. Elle reste prostrée au milieu de la rue et voit les quarante cinq minutes accordé se terminer sans avoir réussis à trouver l’adresse. Trois maisons plus loin sur sa gauche, une porte s’ouvre et Christian apparait le visage fermé et visiblement prêt à dicter sa première punition.

« - Aux pieds soumise.

  • (en s’approchant du perron de la maison) Oui.
  • (une fois la demoiselle devant lui, il lui donne une magistrale gifle) OUI QUI ?
  • Oui Maître.
  • Bien, n’oublie jamais ce mot. Il t’accompagnera toute ta vie !
  • Oui Maître, je ne l’oublierais jamais, c’est promis.
  • Maintenant entre, tu es ici chez moi, mais il ne tiens qu’a toi que ça ne devienne chez toi. Ma toute première proposition tiens plus que jamais. Je veux t’offrir une nouvelle vie. Cette vie est d’être ma soumise, de bien obéir a tous mes ordres sans réfléchir ni poser de questions. Et aussi d’être a la fois, ma femme dans la vie de tous les jours, ma femme de ménage, ma masseuse, ma poubelle a sperme et un objet de décoration quand je le déciderais et bien plus encore. Si tu y vois une objection, tu es libre de partir de chez moi maintenant et a jamais. Si tu restes, tu seras punie pour ton retard et punie pour avoir jeté ma carte, car c’est bien ce que tu as fais ?
  • (tête basse) oui Maître.
  • Mais vu que c’est à cause de la carte jetée que tu es en retard, tu n’auras qu’une punition.
  • Merci Maître
  • Alors, tu restes ou tu pars ?
  • Je….je…
  • Allez décides toi.
  • Je….Je reste Maître
  • Très bon choix soumise ! »

Christian agrippe Chloé par les cheveux et l’entraine ainsi à l’intérieur puis vers une pièce qui lui fait froid dans le dos dès qu’elle y entre. Dans cette pièce, il y a pleins de poulies, de tables diverses, de cordes qui pendent d’on ne sais ou et des tables avec une multitude d’objets de supplice de types fouets, cravaches, cannes et bien d’autres encore. Chloé tente même de reculer a la vue de tout ça, mais Christian ne l’entend pas de cette oreille et accentue son tiraillement sur les magnifiques cheveux de sa soumise. Au milieu de la pièce, se trouve une petite cage d’un mètre de haut par un mètre de large sur un mètre de profondeur. Devant cette cage, Il oblige la demoiselle à se dévêtir intégralement, puis il lui met un bâillon-boule, lui menotte les mains dans le dos et la met dans la cage qu’il ferme a clé.

« - Tu passeras ta nuit ici comme ça. Je t’apporterai un verre d’eau et du pain pour seul repas. Tel est ta première punition. Dans cette pièce, la lumière s’allume avec un détecteur de mouvements ultra sensible et ça déclenche les cameras qui sont aux quatre coins de la pièce. Je garderais un œil sur toi comme ça. A tout a l’heure Chloé. »

Suite aux paroles de son Maître, Chloé se souvient qu’elle a rendez-vous avec Manuela ce soir et qu’elle ne peut pas ne pas y aller. Elle tente de le dire a son Maître, mais rien n’y fait. Il fait le sourd. Chloé pleure à nouveau et elle se dit qu’elle doit vraiment être malade pour avoir accepté ça. Mais la situation dans laquelle elle se trouve la trouble fortement. C’est comme dans certaines vidéos qu’elle a vue sur le net et maintenant, c’est elle qui vie ça. Avec tout ce qu’elle a vu, elle craint le pire, mais son entre-jambe lui indique aussi qu’elle en a envie. Le temps passe et elle commence à perdre la notion de l’heure.

Il n’y a pas une seule horloge dans cette pièce et pas une seule fenêtre non plus pour voir s’il fait encore jour. Elle finit par s’endormir mais au moindre mouvement, les fortes lumières se rallume l’empêchant d’avoir un vrai sommeil. Tout a coup, elle est réveillée par de l’eau glacée. C’est Christian qui l’arrose avec un pichet et elle ne l’a pas entendue rentrer dans la pièce. Au pied de la cage, ce trouve le verre d’eau promis et le morceau de pain. Il lui retire son bâillon et elle en profite pour demander à Christian de la libérer pour son rendez-vous du soir.

« - Pauvre idiote, Tu as finie ta nuit. Il est sept heures trente et nous sommes dimanche matin. Manuela a bien téléphoné au moins dix fois si ce n’est pas plus. Mais j’ai laissé ton portable se vider de sa batterie. Comme tu dormais très bien, je suis allé chez toi prendre tes affaires qui m’intéressent et le reste je l’ai déchiré et je l’ai jeté.

  • Mais vous êtes…
  • TAIS-TOI !! Tu n’es pas autorisée à me couper la parole. Tu es venue de ton plein gré et tu as accepté ma proposition. Maintenant je suis ton Maître et tu as intérêt à ne jamais l’oublier. Pendant un mois, tu vas apprendre tous les jours ta nouvelle vie. Tu vas découvrir MES RÈGLES. Au moindre écart de ta part, tu seras punie. Tu as un potentiel énorme, alors sert-en. Malgré tout, si tu crois que tu t’es trompée, Je ne te retiens pas. Mais attention, toutes sortie est sans retour possible. Maintenant, sors de la cage et allonge toi sur la table à gauche et mets tes jambes dans les étrillés. »

Chloé connait ce genre de table. Elle en a vu chez sa gynéco et elle redoute de montrer son intimité à cet homme, mais elle n’est pas venue ici par hasard. Elle savait bien que ça allait arriver un jour. Elle espère juste qu’il ne sera pas brutal pour leur première relation sexuelle et qu’elle prendra du plaisir. Une fois installée sur la table, Christian lui attache les mains, le cou, le bassin puis les chevilles a la table de façon très franche. Prise d’angoisse, elle se laisse guidée par cet homme qu’elle a encore du mal a totalement considérer comme son Maître. Toujours de façon très calme et posé, il prépare une petite table à coté d’eux et l’angoisse de la jeune fille monte d’un cran. Elle ne peut rien voir de ce qu’il l’attend et elle a franchement peur. Elle tremble tellement que Christian lui dit :

« - Heureusement que tu es totalement attachée, car tu trembles tellement que je pourrai te couper sur tes lèvres intimes. »

Ces paroles affolent définitivement Chloé qui commence à crier avant même d’être touchée. Toujours avec ce calme « So British » Il commence à poser un peu de mousse qui arrache un cri strident chez la soumise. C’est a ce moment précis que Christian dit a la demoiselle ce qu’il va faire.

« - Chloé, je vais te raser intégralement ton intimité et ce que je viens de poser sur ta toison n’est rien d’autre que de la mousse à raser. Maintenant, si tu cries ne serai-ce qu’une fois encore, je te corrige très sévèrement et tu retourne dans la cage jusqu'à demain soir. Je n’ai pas envie de te faire mal ou de te saigner. Je suis un Maître pas un inquisiteur. Tu es venue a moi car tu sais très bien que tu peux avoir confiance en moi, alors garde confiance. Je veux un corps parfait et non balafré ou avec pleins de poils horribles. Maintenant laisse moi te raser et tu pourras manger un peu sinon, c’est la cage et la diète jusqu'à demain soir. Tu m’as bien compris ?

  • Oui, c’est bien comprit.
  • Tu oublies quelque chose SOUMISE !
  • Pardon Maître. Oui, j’ai bien compris Maître. »

Christian rase donc Chloé et cette fois, elle sait qu’elle ne risquera jamais rien avec lui. Elle est si offerte que si il avait voulu en profiter, il l’aurait fait. Et puis, ses gestes sont si précis et si appliqués qu’elle est étonnée de sentir une telle maitrise, une telle douceur chez un homme. Jamais son copain, ah oui ce fameux copain, n’aurait été si tendre, doux, appliqué, attentionné, bref si bon dans l’art de toucher son corps. Copain, Ex-copain devrai-je dire car pour Chloé, ça ne fait plus aucun doute qu’elle va le larguer sans ménagement. Mais c’était déjà le cas plus ou moins, car elle lui a demandé un break et quand une fille demande un break, ça veut bien dire « dégage ». Mais elle a une idée en tête et elle veut étonner son Maître. Quand il a fini avec sa soumise, Christian la libère. Totalement libre de ses mouvement, sa première réaction est de toucher son pubis et de voir a quel point il a été doué pour la raser. Sa première réaction est de dire :

« - Wouaw, vous avez fait ça mieux que je ne l’ai jamais fait, Maître.

  • Je te remercie Chloé. Maintenant tourne toi, je vais t’offrir le signe de ma reconnaissance de ta soumission envers moi.

  • Puis-je savoir ce que c’est Maître ?

  • Tu poses beaucoup trop de questions soumise, mais comme tu débutes, je vais te montrer. Voici des colliers de soumis, je te laisse choisir celui que tu porteras en signe de mon appartenance. Ils sont basique et provisoire tant que tu ne seras pas confirmée.. Mais avant que tu le choisisses, je te préviens qu’une fois posé, tu le porteras jour et nuits ou que tu ailles et quoi que tu fasses. Maintenant, choisis ton collier, Chloé.

  • Maître, il y en a deux que je trouve un peu mieux que les autres. Puis-je les avoirs tous les deux ?

  • Non Chloé, un seul est le signe de ta soumission. Tu dois faire ton choix et dépêches toi, j’ai autre chose à faire.

  • Je vais prendre celui-ci Maître (elle désigne un collier métallique argenté relativement fin mais suffisamment épais pour avoir trois anneaux).

  • Tu es sur de toi ?

  • Oui Maître, je suis bien sur de moi Maître.

  • Très bien Chloé, par ce présent collier, tu deviens mon élève soumise officiel. A partir de maintenant, tu vas apprendre ta nouvelle vie pendant un bon mois. Tu vas en baver, mais ça, tu le sais déjà. Tu as choisis ta nouvelle vie et je vais tout faire pour te conforter dans ce choix qui n’est pas facile à faire. Tu ne devras pas t’en faire si c’est parfois dur à vivre, car tu auras des moments pénibles. Souvent, les moments difficiles sont suivis de moments très agréables à vivre et tu devras être digne de ces moments. J’ai vue que tu es vierge de l’anus.

  • Oui Maître, c’est le cas.

  • Alors tu vas perdre de pucelage prochainement. Tu devras être capable de te faire sodomiser a n’importe quel moment et par n’importe qui si je te l’ordonne.

  • Oui Maître.

  • Tu pratique la fellation ?

  • Oui Maître, je sais faire.

  • Et tu sais faire jouir un homme avec ta bouche ?

  • Je n’ai jamais eu l’occasion de le faire Maître.

  • Alors il faudra réussir, Tu dois pouvoir sucer, faire jouir et avaler le sperme comme une récompense de tes efforts.

  • Mais Maître,….

  • TAIS-TOI !! Tu avaleras sans discuter et si tu recraches, je te punirais très sévèrement. Tu dois tout mettre en œuvre pour que je sois fier de toi et avaler est un des points les plus essentiel de ta vie que tu débutes.

  • Bien Maître, je le ferai.

  • Je préfère ça Chloé. Tu vas pouvoir oublier ton ancienne vie, tu n’as plus besoin de rien car Je gagne suffisamment d’argent pour couvrir tes nouveaux besoins. Tu arrêtes tes études à effet immédiat. Tu pourras voir tes amis, mais uniquement les vrais amis et je serais la avec toi et tu leur diras ce que tu vie avec moi. C’est à toi de leur dire, comme c’est un honneur de m’avoir. Et bien évidemment, tu pourras toujours voir ta famille sans aucun problèmes, je ne suis pas un esclavagiste. Durant ton mois d’apprentissage, tu seras très limitée en sorties et en appels vers l’extérieur. Ça te laissera l’esprit totalement tourné vers ce que tu dois savoir pour avoir le privilège d’être à moi. Aujourd’hui, tu vas pouvoir passer cinq coup de fils a qui tu veux et pas un de plus. Tu leur diras que pendant un mois, tu seras très occupée et que tu n’auras pas le temps de les voir ni de donner de tes nouvelles. Ensuite, je te prendrais ton téléphone et je le rangerais dans le coffre de la maison. A la maison, ta tenue définitive et quelque soit le temps, la température et la présence ou non de monde, tu devras avoir uniquement ton collier et rien d’autre. Tu dois apprendre à vivre nue.

  • Bien Maître.

  • Tu es chargée de la cuisine, de la vaisselle, du ménage, du linge à laver, du repassage. Bref de l’entretien total et intégral de l’intérieur de la maison.

  • Puis-je poser une question ?

  • Je t’écoute.

  • Je ne sais pas cuisiner Maître.

  • Tu vas apprendre. J’ai déjà pris les devants pour ça. Tu vas avoir des cours de cuisine et une cuisinière professionnelle viendra t’aider pendant ton mois d’apprentissage. Elle sait déjà que tu es soumise et que tu seras nue. Tu as intérêt a très vite apprendre car passé ce mois, tu seras punie si je trouve tes repas mauvais. Le reste te sera expliqué en temps voulu. Bien, maintenant, voici ton portable, qui veux-tu appeler ?

  • Mon copain,…

  • Je croyais que c’était fini entre vous ?

  • Je vais vous montrez quelque chose Maître.

  • Attention Chloé, les prises d’initiatives sont rarement bonnes pour une soumise, tu as intérêt a ne pas te louper.

  • Je vous promets que vous ne serez pas déçu Maître.

  • Tu as fort intérêt car sinon, tu subiras ma première correction dont tu te souviendras très longtemps. »

Très sûre d’elle, Chloé lance l’appel à son copain et preuve de son assurance, elle met le haut-parleur, ce qui ne manque pas d’attiser la curiosité de Christian.

Lire la suite : la perle rare - Part 3
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