Le cercle BDSM 1.2

Catégories : Homme soumis, Femdom Domination féminine
Ce récit est la suite de : Le cercle BDSM 1
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il y a 13 ans

Yeux bandé, attaché, ne pouvant me fier qu’à mon odorat et à mon ouïe j’essaye de découvrir mon environnement proche, je capte une multitude de bruits, cris, rires mais je n’arrive pas à reconnaître ce qui se dit, le brouhaha est trop fort.

Les minutes passent, je sens une odeur aigre de sueur qui me vient de ma droite, un autre esclave ? Les jambes commences à me faire souffrir, les talons de mes cuissardes surtout me traverses les reins et mon cou engourdi, je me concentre pour oublier la douleur, les ankyloses, je pense à ma maitresse. Les heures passent les cris et les rires continuent, je faiblis, la sueur coule de mon front me brulant les yeux, la barre de fer me meurtri le dos, me tire les bras en arrière, mes cuisses ont de plus en plus de mal à me soutenir, à côté de moi j’entends de nombreux gémissements.

Une cloche sonne tout à coup, le silence se fait, une voie douce retenti.

« Mesdames, messieurs nous passons à table, aller chercher vos esclaves »

Le parfum de ma maitresse, elle est près de moi

« Tu sues »

Elle me tamponne le visage avec un mouchoir

« Je t’ai observé de loin, tu t’es bien comporté, tu n’as pas gémi, tous l’ont remarqué, je suis fière de toi, ils auront d’autant plus de plaisir à te faire crier, tu fais sensation, je compte sur toi, mon esclave »

Elle pose ses lèvres sur ma bouche entrouvre mes lèvres, je lui présente ma langue comme elle m’a appris à le faire et elle m'en mord le bout pendant que ces ongles me griffe l’arrière du cou d’une main et de l’autre elle titille mes seins. Elle retire les barres de fer qui m’entrave.

« Vient »

Elle m’emmène par ma laisse. Quel bonheur de pouvoir me mouvoir, de soulager mes muscles. Nous marchons peu de temps.

« Arrête-toi, mets-toi à genoux »

Je m’exécute, elle me retire mon bâillon et le bandeau qui couvrait mes yeux. Je suis face à une table qui a été dressé, un énorme chandelier éclaire la table, les couverts en argents, ma maitresse se tient debout à côté de moi. Elle me saisit les cheveux et appui sur mon crâne de ces ongles pointus et me fait baisser la tête

« Accroupi toi, garde les yeux baissé, obéi-moi tous le long du repas»

Elle s’installe sur un fauteuil, dont les pieds dorés sont constitué de quatre pattes de tigre, je sens son parfum, elle est à côté de moi, je l’aime, mon cœur saigne tellement j’ai envie de baiser ces petites bottines noires qui sont juste sous mon nez et dont je sens l’odeur du cuir.

La pointe d’une de celles-ci se tend vers mes lèvres, elle a lu dans mes pensées, elle connait mes pensées, mes désirs.

«Un baiser, pas plus »

Empli de bonheur j’embrasse son divin pied.

Les autres invités se sont installés, malgré le peu de champ de vision que ma position m’autorise j’ai pu observer par intermittence la salle, il y a cinq tables rondes qui doivent contenir cinq maitres avec, à leur pied leur esclave, j’ai pu entre-apercevoir d’autres soumis ou plutôt des « êtres », un proche de moi recouvert de la tête au pied d’un pull-over en mohair, a notre table une belle femme blonde, grande, le corps ceinturé de cordelettes, seule ces jambes restant libre de leur mouvement. La soumise du fameux Martie

Une clochette retenti :

« Mesdames, messieurs, pour continuer cette soirée nous allons manger une fondue savoyarde, plat qui nous réchauffera en cette nuit plutôt frisquette et qui nous permettra d’agrémenter notre repas d’un jeu fort innocent dont voici les règles :

Le maitre qui fera tomber un crouton de pain dans le poêlon verra une épreuve imposer à son esclave dont le thème sera tiré au sort via les paniers qui se trouvent sur vos tables, vous tirerez au sort le, les maitres ou maitresses qui exerceront la punition si besoin est. Il peut y avoir plusieurs punis en même temps à une même table bien sûr. Comme nos conversations ne concerne pas vos objets sexuels, mettez leur les bouchons d’oreilles qui sont à droite de vos assiettes, Amusez-vous bien»

Maitresse Serena me tire chaque oreille en arrière et y introduit les bouchons, je suis coupé de mon environnement auditif, ma vision ce limite au pied de ma maitresse, la nappe de la table, seul mon odorat m’apporte quelques renseignements, les effluves de fromage fondu, ils ont commencé à manger, mon estomac se tord, cela fait plusieurs heures que je ne me suis pas sustenté.

Maitresse Serena me tire les cheveux, me faisant relever la tête, elle introduit un bout de pain dans ma bouche, elle lit dans mes pensées vous dis-je. Je mâche celui-ci avec délice.

D’un coup ma chaîne se tend, je suis tiré sous la table, j’avance à quatre pattes, vers celui qui tend la chaîne, je vois des chaussures Caterpillar en cuir, des mollets puissants, une jupe Écossaise, une main relève le tartan révélant un sexe excisé, une autre main saisit mes cheveux sous la table et m’amène entre les jambes du maitre, maitresse Serena a du faire tomber un crouton de pain et je subis ma première punition, il introduit son sexe dans ma bouche, durcit rapidement, la main imprime un mouvement de va et vient à ma tête, son sexe m’emplit la bouche, vient buter au fond de ma gorge, je ravale le réflexe de vomir.

Je suis son objet de plaisir, son sexe a une odeur de musc, je ne sais combien de temps dure ces va et vient, ils s’accélèrent et il jouit au plus profond de ma gorge me forçant à avaler sa semence, la main qui me tenait par les cheveux me soulève la tête, je reçois une gifle sur la joue, je suis repousser en arrière, ma laisse se tend me ramenant à ma maitresse.

Celle-ci me caresse la joue de ces doigts, je reçois se signe de connivence avec ferveur et lui embrasse la main, elle me fait passer un verre d’eau qui me permet de me désaltéré et de me laver la bouche. Le temps passe et de nouveau ma maitresse me relève en m’attrapant par les cheveux. Je suis amenée par ma maitresse devant la femme blonde, elle est aussi grande que moi, elle a des yeux bleus qui me regard furtivement, elle est tenue en laisse par le fameux Martie.

Ma maitresse enlève ma cape et défait les chaines emprisonnant mes mains dans mon dos. Je dois lever les bras au-dessus de ma tête, l’esclave blonde en fait autant.

Maitre ou maitresse Martie et ma maitresse nous attache les poignets à une chaine pendant du plafond et relier a un palan. Nous sommes l’esclave blonde et moi-même poussé l’un contre l’autre étant de la même taille nos visages sont face à face. Nos maitres nous ont retiré les bouchons de nos oreilles, dans la salle peu de bruit, tous les invités sont attentifs aux préparatifs que nous subissons.

A l’aide d’une corde rêche nous sommes attaché l’un contre l’autre,chacune de ses cuisses lié a mes cuisses saucissonné, maitresse Serena fait passer mon sexe entre les cuisses de la soumise. Nos fessiers puis nos torses sont attachés l’un à l’autre, je sens les seins de ma partenaire qui s’écrase contre ma poitrine.

Ce sont enfin nos têtes qui sont bloquées à angle légèrement opposé l’une de l’autre de façon à ce que nous ne puissions échapper à un baiser incestueux, lèvres collés l’une contre l’autre.

« Ouvrez vos bouches et embrassez-vous esclaves » cri Martie avec ironie « vous allez vous donner du plaisir, si vous le pouvez dans cette position »

Nous obéissons et la corde qui enserre nos têtes se resserrent un peu plus, nos langues se mêlent et nous ne pouvons plus respirer que par le nez. Je ne me suis jamais senti dans une position aussi humiliante et existante, surtout d’être lié à une femme que je ne connais pas, d’échanger nos sécrétions d’ailleurs je bande fort et ma partenaire doit sentir entre ces jambes mon sexe qui appui contre son con en essayant de se dresser.

Les chaines au-dessus de nous se tendent et nous sommes soulevés au-dessus de la table. J’entends des petits cris admiratifs et je vois des maitres et des maitresses qui applaudissent. Tout mon poids tire sur mes bras, heureusement pas longtemps.

On nous repose au milieu de la table nous restons en tension la pointe de nos pieds appuyant juste sur le plateau de la table soulageant nos bras. Les cinq maitres de notre table se lèvent. Ils ont, qui des tapettes, qui des fouets, des martinets à chacun sa spécialité.

La chaine qui nous maintient suspendu se met à tourner nous obligeant à nous dandiner pour suivre sa rotation. Ma partenaires pousse un petit cri de surprise que j’ai plus senti qu’entendu tant nos bouches sont serrées l’une à l’autre, collées. Et notre punition commence :

Tour à tour au moment où nos fessiers leur faisant face, s’offre à leur vindicte, nos maitres et maitresses exercent leur prérogative. Les coups s’enchainent laissant peu de répits entre chaque coup et je ressens tant ceux que je reçois que ceux de ma partenaire par les saccades qui nous anime.

Mes fesses rougeoies, je suis profondément excité tant par les coups et la douleur que par ma partenaire, par mon sexe gonflé qui ne peut éructer dans sa prison de chaines, elle aussi est très existé je sens qu’elle mouille de plus en plus au fil des minutes et nos soubresauts sous les coups exacerbe nos sexes, nos bouches se cherchent, s’en mêlent.

Je sens et je vois la tension chez nos maitres. Je sens chez ma partenaire un orgasme qui est en train de monter et moi j’ai l’esprit en feu de son excitation et de la mienne que je ne peux satisfaire mon gland emprisonner dans sa gangue d’inox, elle me mord les lèvres et m’inonde de sa semence tellement sa jouissance et forte.

Les coups ont cessés, deux Maitres sont montés sur la table, l’un d‘eux, Martie et derrière moi. Il passe sa main entre mes cuisses, recueille la mouillure de ma partenaire.

« Elle mouille beaucoup ma femme fontaine hein mon chérie »

Il retire mon Plug anal d’un coup sec, m’enduit le fondement de la sécrétion de sa soumise.

«Vous êtes prêt mon cher » dit-il à l’autre maitre

« Oui Martie »

« Banco »

A suivre…..

J'ai fait une très bonne lecture..une suite SVP..!
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