Le cercle BDSM 1

Compte anonymisé
il y a 12 ans

Nous sommes au château de mal pertuis. Vieille battisse du 15 eme siècle en granit rose, sentinelle posée au sommet d'un pic rocheux qui surveille les villages endormis de la plaine. Invités de la princesse jensen. Postulant au cercle très fermé de la princesse.

Nous sommes dans une des chambres du château. Des blocs de granits gris-rose, pas de tenture au murs. Une fenêtre close de barreau d'acier fait face a la porte par laquelle nous avons pénétré maitresse Sophie et moi.

Une vaste cheminée ou rougeoie quelque braises a notre droite, un grand lit a baldaquin tendue de velours cramoisi a son opposé. Une armoire de mariage d'inspiration chinoise, laqué rouge, une psychée et une chaise encadre le lit et anime ce décor austère. La nuit vient, le ciel roule des nuages sombres annonciateur d'une tempête propice a cette soirée d'épreuve. Maitresse frissonne. La chambre est humide et froide

« Ranime le feu, j'ai froid....Range nos affaires et déshabille toi »

Elle porte un regard circulaire sur la pièce, son haut plafond au poutres noircies et se dirige vers un petit cabinet de toilette attenant a la pièce.

« Dépêches toi, tu prépares ma tenue je t'apprêterai ensuite pour la soirée »

Elle disparaît dans l'alcôve. Obéissant je ranime le feu empilant quelques buches bien sèche, rapidement de grandes flammes se dressent, chassant l'humidité, réchauffant la pièce. Je range nos affaires, me déshabille lorsque elle se présente. Belle, blanche et nue.

Sa peau est parsemé de taches de rousseur, ses cheveux roux relevés en un chignon à la récamier, mélange de douceur, d'ingénuité, sauvage fille aux regard de fer qui fait baissé le mien.

De sa démarche impériale, les ongles peints en rouge, elle vient se poster prés de la cheminée, les flammes lèchent son corps dénudé et le feu pâlit à sa beauté, elle semble absorber sa lumière. Ses seins dressées aux tétons peints du même rouge semblent me transpercer, me dire :

« je n'aurai pas de pitié ».

Un sourire perce à ces lèvres, elle sait l'emprise, elle voit mon désir, que d'un mot, un signe je serais à ses pieds, prêt à lécher son sexe doré, à subir tout ses outrages. Belle, blanche et nue. Elle fait un léger signe de la tête et se retourne.

Je lui apporte une légère chemise en soie sauvage blanche et l'en vêtit, pendant qu'elle la boutonne, je couvre sa taille d'un corset serre-taille en satin violet avec une jupe en dentelles ouverte devant et derrière, je l'ajuste a genoux prenant soin en serrant les lacets de ne pas la blesser. Je puis contempler son sublime fessier, humer son parfum capiteux, mais ne puis y toucher.

Ensuite viennent ses bas, le pied appuyé sur mon épaule, qu'elle glisse le long de ses jambes pilier de sa sublime porte. Un string noir. Des bottines noires lacées a la cheville. Elle enfile un long manteau de cuir noir qui s'ouvre a chacun de ces pas dévoilant ses jambes magnifiques. Elle me regarde, d'un mouvement des doigts, elle m'ordonne de me relever.

Je la contemple .Ange devenue succube, ces quelques effets subliment sa beauté. Éperdue d'amour, le ventre tordue, le cœur battant la chamade, mon corps ne me réponds presque plus et je dois faire un effort pour ne pas m'affaisser tant mes jambes tremblent. Sure de son effet, le regard moqueur, elle se tourne vers moi.

« A toi, maintenant »

Elle s'approche du lit en un bruissement de cuir et de satin, se saisit de mon corset en cuir.

« prends la chaise, appuis toi sur elle »

Un genoux appuyé contre mes reins elle resserre le corset autour de ma taille serrant le laçage a m'en couper le souffle, le cuir mord ma peau affine ma taille et fait ressortir mon torse.

« Retourne toi et assied toi »

Elle saisit sa trousse à maquillage et de gestes assurés me peint des traits androgynes, teint blanc, yeux noirs, et bouche outrageusement maquillé en rouge baisé.

« Lève toi »

Du même rouge à lèvre, elle peint mes tétons, y accroche une paire de pinces à seins reliées par une chaîne en argent. Puis elle saisit un collier de cuir qui m'enserre le cou m'étrangle et me maintient la tête, d'où part deux chaines une vers la base de mon sexe, qu'elle emprisonne, phallus et testicules, dans corset composé de fines chainettes lui gardant sa turgescence naturelle. L'autre chaine flotte dans mon dos.

J'enfile de longues cuissardes s'arrêtant à mi cuisse qu'elle maintient d'un fin lacet, d'un ongle elle agace mon sexe. Mes mains emprisonnés par des fers sont relies dans mon dos a la chaine qui court le long de ma colonne vertébrale.

« Penche toi sur le lit »

Offert, prisonnier, elle enduit mon anus de gel et y introduit d'abord un doigt puis un second me dilatant, elle se saisit d'un plug, elle le fait pénétrer dans mon intimité, je gémis sous ce v i o l consenti.

« Tu sens comme je suis en toi et combien tu m'appartiens »

En effet je sens le plug qui me remplit de sa présence, appuyant sur ma vessie et rendant mon érection plus dure, soumis a son plaisir, les chainettes de mon corset peniens mordant la chair de celui-ci au fur et a mesure que mon érection grandit, doublant mon plaisir et mon appartenance a ma maitresse.

Elle plante ses ongles dans mon dos me griffant avec férocité. Elle fixe à mon plug une queue de cheval longue et rêche.

« Te voilà prêt »

Elle me conduit devant la psyché.

« Fait un tour sur toi même »

Mon reflet me renvoi cet être créer par elle. Cuissardes, corset, maquillage outrancier font de moi un être androgyne, élancé atteignant presque les deux mètres au port hautain a la verge dressée, les chaines et mes deux queues rappelle mon animalité. Dans le lointain un glas sonne.

« il est l'heure, on nous attends »

Elle prend une chaine, l'attache à mon cou, passe un bandeau en soie sur mes yeux, elle me bâillonne, j'entends le froissement de la cape de soie noire dont elle me couvre le corps, enveloppe ma tête dans la capuche attenante, referme la cape par les fermoirs doré, ainsi couvert de la tête au pied une douce tiédeur m'envahit. Je suis à elle.

« A genoux toi»

Je lui obéi, elle vient devant moi, je l'entends et je sens son parfum puissant, enveloppant, saturant.

«  cette soirée est très importante pour moi, pour toi. »

« Je t'ai choisi parmi mes nombreux autres sujets, d'autres sont venus avant toi et non pas réussi cette épreuve, je leur ai rendu leur liberté et maintenant ils errent âme en peine. »

« il n'y a pas de seconde chance » « Ce cercle est très fermé, réussir ces épreuves, te fera parvenir dans un monde que peu d'hommes ont la chance de connaitre et je serais fière de toi » « Si je t'ai emmenée, c'est que je t'aime et je te crois prêt a dépasser tes limites, a toi de me prouver ton amour, ne me déçoit pas. » « Relève toi, nous y allons »

Elle saisit ma laisse, je courbe l'échine sous la traction de celle-ci et nous nous dirigeons le long des corridors du château de mal pertuis, attentif à ces moindres ordres me guidant dans mon aveugle soumission, frémissant, l'ouïe et l'odorat en éveil, angoissé dans l'attente de cet inconnu vers lequel ma maitresse me dirige de son pas assuré.

Nous n'avons pas marché depuis longtemps mais je suis déjà épuisé, je n'aurais jamais pensé me sentir aussi démuni, humilié à devoir suivre ma maitresse privé de la vue. J'essaye d'avoir quelques points de repères par l'ouïe mais à part le bruit de nos pas, rien.

« stop » me dit-elle

Un grincement, une porte qui s'ouvre ? Un léger courant d'air.

« vient » ma laisse se tend, me tire vers le bas « baisse ta tête, plus bas, avance » elle me tire « tu peux te redresser maintenant »

Au loin j'entends des voix, des rires étouffés, des voix féminines?

Un autre grincement, une autre porte, nous entrons dans une pièce qui doit être fortement éclairé même au travers du bandeau qui couvre les yeux je perçois la différence d'avec le couloir, de même je suis assaillis par des mélanges de parfums, d'odeurs de mets, de rires féminins accompagnés de tintement de verres ? Une voie maniérée s'écrie.

« ah voilà, Sophie et son soumis. Nous n'attendions plus que toi , ma chérie. Attache le avec les autres et viens te rafraichir, tu dois avoir soif, le champagne et délicieux »

Ma maitresse pousse un petit rire.

« Tu ne change pas Martie » « Dis moi je vois que tu les aimes toujours aussi grand »

La voie maniérée se rapproche de moi, je ne peux définir son appartenance, une femme un homme?

« Je peux lui enlever sa cape, serena » «  je t'en prie martie »

Le, la dénommé martie?, se tien devant moi je suis envelopper de son parfum, entêtant, étouffant, il, elle défait ma cape, me la retire.

« ouh serena tu t'es surpassé, cette foi oh, la belle queue, regarder les filles, comme il a la bite turgescente»

Une main chaude avec des ongles pointues se plante dans mon bras

« tournes toi »

la voie maniérée a changer de ton elle est devenue cassante, claquante comme un coup de fouet

« obéi lui » me dit maitresse Sophie

je pivote

« regardez, les filles »

Il, elle soulève ma queue,l'agite, tire dessus. Je sens le plug à laquelle elle est attachée remuer dans mon fondement , j'entends des rires, quelqu'un poussent un hennissement.

« Martie, laisses le, tu auras le temps de t'amuser avec lui »

«  Tu as raison serena, chaque chose en son temps »

« suis moi esclave » la voie et redevenue cassante, la laisse se tend et me tire brutalement en arrière manquant de me faire tomber.

Il, elle me pousse dos a un mur glacé, j'en frissonne, une barre de fer vient me bloquer les bras une autre les chevilles. Un ongle se plante sous mes testicules et s'enfonce, je gémis.

« Je m'occuperais personnellement de toi se soir »

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