Figging

Le figging consiste à insérer une racine de gingembre, ou du poivre, dans l'anus. La sensation de brulure m’apporte un intense plaisir, je souhaite à mes lecteurs de le partager.
Choisir une belle racine de gingembre au supermarché, c’est comme choisir une grosse aubergine pour me dilater le fion, cela fait déjà partie du plaisir, je m’y attarde longuement, espérant qu’une vendeuse ou un autre client comprenne l’usage que je vais en faire. Ce n’est pas du tout impossible : dans mon histoire Élection présidentielle, j’imaginais le maire avec un plug au cul, j’ai su depuis qu’un maire allait présider le conseil municipal avec un plug dans le fondement. Mais revenons au figging.
Une fois la racine pelée, je creuse avec précaution une concavité aux deux tiers de la racine, tout autour, ce qui permet de maintenir la racine en place. Pour moi, pas besoin de lubrifier le trou de balle, le gingembre entre facilement à l'intérieur de mon troufignon. Au début le gingembre est froid, mais la sensation change vite, je sens la chaleur monter, quelques minutes après la chaleur du gingembre m’inonde le ventre, mais ce n’est pas une vraie brûlure, c’est froid, mais pas comme de la glace, plus aigu que cela, plutôt comme une sensation d’azote liquide, assez intense, mais la sensation s’éteint au bout d’environ vingt minutes et j’ai besoin de me fouetter les fesses à la cravache pour avoir une sensation forte et que mon cul reste sensible pendant des heures.
J’ai bien entendu fait goûter Marie aux joies du figging au gingembre, elle a bien aimé à condition que, en même temps, ma langue s’active sur sa rosette.
Le figging au poivre, c’est plus sérieux. J’utilise du poivre noir moulu, mélangé à de la vaseline pour qu’il pénètre bien dans le tuyau de ma rondelle. J’ai commencé avec une pincée, maintenant je m’en enfile beaucoup plus, autant que de vaseline ; la brulure est immédiate, elle dure plus ou moins longtemps selon la quantité de poivre que je me suis injecté, j’en suis à plusieurs heures ; au début je me tords sur mon lit pendant un moment au grand amusement de Marie que cela n’a pas convaincue d’en faire autant : elle m’a laissé lui ramoner l’œillet avec mon doigt enduit d’un peu de poivre dans de la vaseline, avec deux ou trois autres doigts dans sa chatte et ma langue dans son anus, mais pas un vrai figging dense et profond. Elle a voulu ensuite ma bite dans son cul pour que mon gland profite du traitement ; ce fut jouissif pour nous deux, ce l’aurait évidemment été moins avec davantage de poivre. J’ai aussi, sans prévenir, titillé le clito de Marie avec un doigt poivré ; elle a bondi et j’ai dû longuement jouer de la langue pour la calmer.
il y a 8 ans

Publicité en cours de chargement