Débat sur le troisième sexe à l’école

En préambule :

Comme chacun sait, je suis ouvert à presque tous les fétichismes, je joue parfois avec des TV ou trans, des gays et des lesbiennes. Je ne suis donc pas dans la transphobie avec ce sujet.

Au contraire ! Lorsqu’il y a eu des dérapages sur Fessestivites, je suis toujours intervenu pour défendre le respect de la sexualité et du genre de chacun.

La dysphorie de genre chez les enfants existe réellement. Je vous invite à lire cet article grandement documenté. (En anglais mais avec un traducteur cela fonctionne)
http://www.popflock.com/learn?s=Gender_dysphoria_in_children

Revenons-en à l’école et l’éducation nationale. Est-ce son rôle de gérer la dysphorie de genre ?

Le Bulletin officiel de l'éducation nationale du 30 septembre 2021 indique :

- L'accueil des élèves transgenres ou en questionnement sur leur identité de genre ne peut se dérouler dans de bonnes conditions que si chaque école, collège et lycée s'efforce de créer un environnement bienveillant pour tous, que des élèves transgenres y soient scolarisés ou non, en ne tolérant notamment aucune injure transphobe. Cette politique de prévention de la transphobie doit s'inscrire dans une dynamique collective, transversale et dans le cadre de la lutte contre toutes les v i o l e n c e s de genre et formes de discrimination.

- L'établissement peut autoriser l'élève à utiliser les toilettes et vestiaires conformes à son identité de genre, en veillant, quand l'élève concerné est identifié par ses pairs comme étant transgenre, à accompagner la situation ;

Le document est accessible ici :
https://www.education.gouv.fr/bo/21/Hebdo36/MENE2128373C.htm

Que pensez-vous des évolutions de l’éducation nationale à ce sujet ?
il y a 2 ans

Mon avis
Les jeunes sont en exploration de leur identité de genre. Comme je l’ai déjà indiqué, nous n’avons pas attendu 18 ans pour regarder dans notre culotte et faire nos premiers bisous. L’expression « touche pipi » existe aussi depuis des lustres, garçons et filles se sont parfois déjà touché(e)s entre eux / entres elles.

Selon les données les plus récentes, de 1,2 % à 2,7 % de la population adolescente s’identifie autrement que comme cisgenres (une personne cisgenre est une personne dont l’identité de genre correspond au sexe assigné à la naissance).

Que l’école face de l’information sur la transphobie ou l’homophobie je dis : OUI
Que l’école fasse de la sensibilisation je dis : OUI

MAIS avec ces évolutions avec accès aux toilettes des filles et autres ...... :
- N’est-ce pas aussi prendre le risque de perturber les pensées des jeunes se sentant bien dans leur genre ?

- Est-ce que le rôle de l’école n’est pas plutôt d’instruire ?
Cette dernière question est légitime, de moins en moins de jeunes savent compter et écrire !

Dans un monde aussi cruel et dur que le notre, j'ai peur pour les jeunes qui vont pouvoir extérioriser en parlant en classe et dans la cour de récréation de leur dysphorie de genre. Oui j'ai peur ! J'ai peur qu'ils deviennent des cibles à l'école et à la sortie de l'école. Combien de jeunes vont se faire traiter de "poule mouillée' et autres mots..... voir même agresser ?
il y a 2 ans

bonjour Webmaster
je suis en pleine accord avec vous et trouve que l'école est faite pour instruire et éduquer les enfants dans les matières indispensables pour leurs avenirs
lire, écrire, compter, connaitre l'histoire et la géo voici ce qui est important. sans oublier le civisme et l'acceptation de l'autre voici ce qui me semble être le rôle de l'école
mais vers quel société allons nous?? j'avoue mon inquiétude
laissons le temps aux enfant de forger leurs conviction et leurs caractère que chaque chose reste à sa place. l'intime, la famille le social et la scolarité chaque chose devrai avoir sa place et ne pas devenir un méli-mélo ou l'état ce mêle de tout..........sauf bien sûr si les parent son défaillant ou indigne
je précise que ceci n'est que mon avis
il y a 2 ans

Je suis du même avis, je n'ai rien contre les transgenre, bien aux contraire, mais je suis d'avis de laisser l'âme pure des enfants, qu'on forme les enseignants, pour qu'ils puissent répondre aux questions, pourquoi pas. Mais en faire un thème central, pourquoi pas invoquer, le dl, tbdl, et changer les sexes dés la naissance, après cela s'arrête ou?

Mais j'ai une question, pour les personnes transgenre, qu'elle est votre avis.
il y a 2 ans

Le caractère de notre époque est je pense la confusion.

Ainsi l'on confond droit, désir, fantasme,... Les concepts de discrimination et différenciation s'entre-mèlent.

S'agissant des impôts par exemple l'abus s'appelle optimisation.
Et ce n'est pas simplement une question de sémantique.

Mon avis est que la directive remontée par webmaster colle parfaitement avec l'ambiance contemporaine.
il y a 2 ans

Bonjour à tous
Je crois que je ne suis actuellement pas totalement de votre avis, sur ce sujet très sensible actuellement, en pleine évolution, donc sur lequel tous les avis sont possibles, et permis.
Quand on a vu le documentaire "petite fille" de Sébastien Lifschitz (que je vous recommande vivement), on ne peut que constater que le plus gros frein à l'épanouissement d'un enfant souffrant de (ou éprouvant, tout simplement) la dysphorie de genre ... c'est justement l'école !
D'où peut-être une saine réaction de l'institution en prenant des mesures drastiques (?)

Pour moi, le problème est tout à fait comparable à la révolution gay des années 70-80.
J'ai grandi en province dans les années 60-70, donc juste avant cette révolution. J'ai très longtemps refoulé mon homosexualité (jusqu'à 27 28 ans), fini par me considérer comme bisexuel très longtemps (50 ans), avant de me définir plus comme gay avec une attirance pour les hommes dominants, et une envie régulière de me travestir pour les séduire et éprouver ma féminité. Personnellement, si l'entourage ne m'avait pas "inculqué" très jeune que c'est mal, voire honteux, d'éprouver une attirance pour le même sexe, j'aurais sûrement eu une vie meilleure. A l'époque l'entourage c'était seulement les copains garçons, car ni les parents ni l'école n'abordait le sujet : c'était un "non sujet". En revanche pour les copains, c'était un vrai sujet : on ne pouvait se construire en tant que garçon qu'en se disant "qu'on a du poil aux c.", "qu'on n'est pas des pédés", et "qu'on doit tirer les filles".

Je pense que l'école ne cherche pas autre chose que faire de la question du genre un vrai sujet, comme la question de l'orientation sexuelle, et permettre à ces enfants qui se sentent "différents" de s'accepter tels qu'ils sont, au vu et au su de leurs copains et copines autant que de leurs enseignants. Faire en sorte que ces enfants ne se cachent pas, ne refoulent pas leur identité. Bien sûr, aujourd'hui trop d'enfants différents sont très vite harcelés pour certaines différences. Mais au fond pourquoi le seraient-ils plus pour cette raison que pour n'importe quelle autre différence ?

Là ou je vous rejoindrais certainement c'est que tout cela semble se passer sans gradation et sans expérimentation. Mais qu'en est il exactement ? Est ce que chaque établissement doit appliquer ces "directives" partout, sans aucune nuance et sans aucune progressivité ?
il y a 2 ans

Bonsoir isabel38 et merci de votre réponse. Tous les avis sont les bienvenus.

La problématique que j'évoque dans ce sujet, ne porte pas sur la sensibilisation. Là je suis 100 % d'accord avec vous ! Elle porte sur """" la mise en pratique"""" (mots pas adaptés) que je vais essayer de mieux traduire.

En parler OUI, expliquer OUI (si tenté que le personnel enseignant soit formé + pas homophobe, hélas il y en a....)

Là où je bloque c'est de donner la possibilité aux jeunes ayant un souci de dysphorie de genre d'aller dans les toilettes / dortoirs des filles, de leur ouvrir la porte sur ces choses là si tôt.
- Lorsque les ""durs""" en prendront connaissance, les problèmes commenceront pour celui ou celle qui a des soucis de dysphorie de genre. (Le pauvre ! ""Le"" car chez les filles cela passe un peu mieux)
- Ceux et celles qui se cherchent simplement, (comme tous les ados) ne seront-ils pas perturbés / influencés / projetés dans des idées qui ne sont pas les leurs / entraînés dans une fausse voie qui risque de leur pourrir la vie ?

PRÉCISIONS : J'ai été enseignant 10 ans, mon ex aussi, je peux vous dire que les jeunes à l'école peuvent être cruels et que ces jeunes sont TRÈS influençables.
il y a 2 ans

Merci de ces précisions, je comprends mieux vos réticences, qui portent sur le passage de la théorie à la pratique.
N'ayant aucune expériences des ados et de l'enseignement, je n'ai pas d'avis sur la question. Sur tous ces sujets sociétaux récents (questions de genre, communautarisme, décolonisation, wokisme...) les acteurs tombent vite dans l'excès et la radicalité, et c'est un problème en effet. A l'inverse la réaction à toute évolution et la crispation dur des "valeurs traditionnelles" est malheureusement un problème encore plus grave (cf Zemmour).
Je ne sais pas que cela va donner, et je suis comme vous sans doute pour une "voie du milieu".
Je pense aussi que "le pire n'est jamais certain", sans être naïf pour autant !
Merci pour cet échange !
Isabel
PS : si j'avais 20 ans maintenant je choisirais certainement la "non binarité" (voire une transition) parmi toutes les options possibles ... je n'ai pas eu la chance de vivre cette période, et maintenant je me définis comme homme gay peu viril, soumis, très cérébral, aimant se travestir à l'occasion pour vivre au mieux une sexualité non conventionnelle en attirant les mâles dominateurs. Si vous êtes bien Maitre TSM, je vous suis depuis longtemps (merci pour tout ce que vous avez fait sur la toile !) et j'aurais plaisir un jour à vous rencontrer :-)
il y a 2 ans

Si je peux apporter un avis sur un sujet qui me touche de très près pour avoir des Ami-e-s trans dans les deux genres, Femmes assignées garçon à la naissance et Hommes assignés filles à la naissance.

Pour vous donner une idée pour le changement d'État civil qui se fait au Tribunal de Grande Instance, il faut PROUVER, que l'on est connu-e dans le genre que l'on ""revendique"" (C'est à dire paq celui de la naissance ) dans notre milieu familial, amical, professionnel. Entre autres choses bien sûr.

Comment un-e enfant trans, qui généralement prend conscience de sa différence entre 5 et 7 ans, parfois un peu plus tard, mais déjà 5 ou 7 iels ont conscience de ne pas être comme on les appelle, peut se construire si on accepte qu'iel s'identifie trans mais qu'on lui interdit l'accès aux toilettes et aux vestiaires de son genre ressenti ???

Certains abrutis vont dire oui une fille trans a une b** et peut violer les filles. Ou un garçon trans peut se faire violer.
Réponse à ce genre d'abrutis : non, parce qu'une fille trans est une fille et que ce truc entre les jambes est une excroissance qui lui fait horreur et que tous les moyens seront bons pour la cacher quitte à se mutiler pour la faire disparaître. Donc non elle ne s'en servira pas autrement que pour pisser.
Et un garçon trans qui se ferait violer, là encore, même si cela pourrait être plus probable, il n'en est rien.

Les enfants ont besoin de se construire et de se sentir en sécurité quel que soit leur genre.
Le problème est souvent que les filles trans sont perçues comme des tapettes, des pédales, ou des gays qui poussent le vice à se faire couper la b*** (propos réels de gays manifestent transphobes) et sont plus souvent victimes d'agressions de pseudos mâles en manque de confiance qui se rassurent sur leur """virilité""" en s'en prenant à des personnes vulnérables.
C'est tellement plus simple que de se confronter à plus fort que soi.🤬
Par contre un garçon trans sera perçu comme un garçon manqué, mais ça c'est moins "grave" puisque c'est bien d'être un garçon, ça rassure, c'est dur, fier...

Pour les autres catégories d'abrutis qui pensent que à 5 ou 7 ans, ça va passer, c'est une passade que ça va passer.... quand un enfant se déguise une fois de temps en temps pour rigoler, effectivement c'est juste pour jouer.
Mais quand une enfant demande une robe de princesse pour noël et qu'elle reçoit la tenue de cow boy, qu'elle cherche à se maquiller, qu'elle cherche manifestement à adopter les codes de l'autre genre dans la durée et pire... en se cachant parce qu'elle a compris la violence et le rejet auxquels elle s'expose si elle se dévoile, soyez assurés que ce N'EST PAS UNE PASSADE.
Tôt ou tard un coming out se genre explosera.
Le terme n'est pas choisi au hasard, si l'entourage n'a rien vu ou n'a rien voulu voir en amont les effets seront ceux d'une bombe.

La personne se retrouvera toute seule du jour au lendemain, avec pour seul horizon la certitude qu'elle va en chier mais que son choix est juste.

Toute cette violence peut être évitée, en partie, en amont en laissant la personne utiliser les vestiaires et les toilettes qu'elle considère comme normaux pour elle.
il y a 1 an

Bonjour. concernant nos enfants (enfants, ados, adulescents) il y a des constats indéniables :
- la vérité sort de la bouche des enfants ==> difficile de leur mentir ou de leur cacher des choses qu'ils finissent tôt ou tard par savoir par eux-mêmes.
- C'est dans les cours de récré que tout "se joue" ==> c'est l'endroit par excellence où les enfants sont entre eux, ils y apprennent à faire leurs griffes, sans le contrôle des parents ni des enseignants (oublions les CPE).
- L'enfant vit avec son temps, peu lui importe "la frise historique", les victoires napoléoniennes et autres dates à retenir ==> concernant la mise en place de la plupart des programmes scolaires, il serait peut-être temps qu'on demande l'avis aux enfants (de manière à plus les intéresser et donc plus les impliquer...
- Aujourd'hui, place à l'e-sport, même le rap commence à être dépassé, ils continuent tout de même à l'écouter car pas de genre musical nouveau à l'horizon ==> La France et d'autres pays occidentaux font figures de "vieux jeu". Regardons ce qui se passe en Asie, notamment en Corée du Sud : il s'y trouvent les meilleures équipes e-sport du moment (des vrais athlètes).
- l'enfant est connecté et ne voit que par le numérique ==> c'est leur génération, on ne peut pas en faire partie et ils nous battent à plate couture (quand je vois mon fils au clavier; il va à une VITESSE ! effrayant...).

Tout çà pour dire que nous les adultes, nous sommes de plus en plus mal placés pour parler de l'évolution de l'éducation nationale. Aux yeux d'un enfant, il y a longtemps qu'elle est devenue obsolète.
Soit dit en passant, les profs ne font que subir puisqu'on les somme de s'en tenir aux programmes.

Pour résumer, l'enfant a la capacité de choisir, laissons-le assumer ses choix, y compris le choix de l'orientation sexuelle.
il y a 1 an

Attention ENDURA de ne pas confondre orientation sexuelle et genre.

L'orientation sexuelle est de savoir si, par exemple, on aime les femmes ou les hommes.

Le genre est de savoir si on se sent femme ou homme.

Vous par exemple qui êtes une femme, qui êtes née fille et qui avez grandi comme telle, sans vous poser la question de savoir si effectivement vous étiez fille ou garçon puisque pour vous être une fille est une évidence, vous êtes une femme cis genre.

Si maintenant vous aviez cette même certitude d'être une fille mais que tout le monde vous considère comme un garçon parce que vous auriez eu la malchance d'avoir un truc chelou entre les jambes, vous auriez une petite idée de ce qu'est la transidentité.

Cependant cela ne reflète en rien votre orientation sexuelle.
Une personne trans peut très bien être hétéro ou homo, comme une personne cis.

Et d'ailleurs troisième sexe ne veut rien dire en soi.

Tiens question comme ça, les personnes intersexes... elles deviennent quoi dans cette histoire ?
Une personne qui a les gènes d'un genre et l'apparence de l'autre ou le mélange des deux, ou... il y a des milliers de combinaisons possibles !!
Comme une jeune fille super féminine qui a une vulve, un vagin mais pas d'utérus parce qu'elle a des chromosomes XY... sans aucune opération puisque elle est née comme ça !
Oui vous avez bien lu.
Non ce n'est pas un délire, à part celui de la Nature.
On a une vision trop binaire femme/homme alors que la Nature se tape une barre à créer des minis mondes de personnes Uniques.
il y a 1 an

Et toi Judeline ATTENTION à ne pas finir l'année dans l'eau du moulin 😈.
Bien sûr que non je ne confonds pas orientation et genre. D'ailleurs j'ajoute ça à mon poste précédent : "choix du genre". C
C'est vrai les autres ont raison : tu es UN RIEN provocante....
il y a 1 an

Heu... pourquoi parlez vous du moulin et de la fin de l'année ??
Seriez vous au nombre des invités ???
il y a 1 an

@Judeline : Hé hé hé ! A ton avis ?
il y a 1 an

Ah mon avis ???
Je dois commencer à flipper grave Madame ?
il y a 1 an

@Judeline, il n'est pas question d'utiliser le vocable "assigné" lors de la reconnaissance de l'enfant après la naissance.
Sauf dans de très rare cas le sexe est déterminé par la biologie.

Peu importe les choix qu'il fera lorsqu'il aura grandi (et je rappelle l'on est reconnu "capable" à l'age de 16 ans), dire que le bébé est une fille ou un garçon selon son sexe biologique.

Ignorer volontairement cela relève du sophisme.
il y a 1 an

Je ne suis pas d'accord.
"On ne nait pas femme, on le devient" disait Simone de Beauvoir.
Dans les pays nordiques et dans certaines civilisations, il est de coutume de laisser l'enfant choisir le genre dans lequel iel se sent bien.
Ca ne choque personne et ça se passe très bien.
Alors non le sexe de naissance ne veut rien dire. On a été assigné d'un genre jusqu'à ce qu'on décide de le garder ou pas.
il y a 1 an

@ isabel38 Oui j'utilise 2 profils. Webmaster quand je travaille TSM quand je surfe et partage ou discute pour mon plaisir. Merci pour vos compliments, cela fait plaisir.
@ Judeline Oui Endura et Ricki font partis des invités au jour de l'an au moulin du Gîte fétichistes.

REVENONS AU SUJET INITIAL
Personnellement, j'ai joué avec des gays, des lesbiennes, des trans opérés ou simples travestis, leurs genres ou orientations sexuelles ne m'a jamais posé de souci. Ce qui m'intéresse c'est ce qui est dans la tête de gens CAD, leur intelligence, leur ouverture d'esprit, le reste pour parler cru, je m'en tape. IDEM pour les fétichismes de chacun, du moment que les gens sont heureux avec leurs pratiques et s'épanouissent, c'est le principal. Ils peuvent même être fétichistes des sacs poubelle ! Si cela leur plait, ils auraient tord de s'en priver.

POURTANT Je continue de bloquer sur le wokisme et ce que fait l'éducation nationale à l'école avec les plus jeunes. DÉJÀ RIEN QUE LES DEUX MOTS ""Education Nationale"" sont inadaptés. L'école n'est pas là pour éduquer mais pour INSTRUIRE ! L'éducation c'est le rôle des parents ! Si mon ouverture d'esprit est de 360° tout ce qui touche aux enfants est pour moi un sujet sensible. Je plains les profs qui sont obligés de subir les nouvelles directives chaque années. Ma soeur, enseignante dans une école internationale et passionnées de pédagogie s'arrache les cheveux et y perd son latin. Si cela continue elle perdra sa passion pour ce métier.

BILAN de ce qui s'appelle """ éducation nationale"".
Quand on voit que les 6èmes ne savent pas écrire correctement ni compter, on peut se demander si il est judicieux de perdre de précieuses heures de cours à parler des genres. Même au BAC, ils ne savent plus écrire correctement. CAD et bien réel, si quelqu'un veut escroquer un étudiant en lui rendant la monnaie, c'est ultra facile, 9 sur 10 ne savent pas compter sans calculette.
Les étudiants et jeunes adultes d'aujourd'hui, ne savent même plus calculer de tête le prix au kilo dans un supermarché si cela n'est pas écrit. C'est pourtant utile tous les jours ou presque pour s'acheter à manger.

Disney se plante lamentablement en bourse (et n'est pas la seule grande entreprise) avec le wokisme. Ils ont osé retoucher le contenu des livres d'histoires comme Blanche neige et les sept nains. Dans le nouveau film Blanche neige n'est plus blanche, les nains ne sont plus nains. Ils sont tous de couleur différentes. Là aussi, ne parlons pas de racisme débile, mais POURQUOI ne pas avoir écrit une autre histoire plutôt que de changer les belles histoires du passé ?

ALLEZ délirons : si j'écrivais une histoire avec Tina Turner qui deviendrait une chanteuse Allemande blonde aux yeux bleues, son chéri Mohamed Ali triple champion du monde de Boxe serait chinois, Bruce Lee serait une travesti français et leur ami. Satine, serait un noir africain faisant la quette dans la rue et serait pris en pitié par ce beau monde. Vous me diriez quoi ?
Que j'ai bu un coup de trop ou que je suis tombé sur la tête !
Le wokisme n'est-ce pas un peu ça tel que c'est géré aujourd'hui et parfois même abordé à l'école ?
il y a 1 an

Je suis d'accord avec toi TSM sur le fait que les gamins d'aujourd'hui sont pour la plupart, de vrais demeurés incultes, limite illettrés, alors pour ce qui est de savoir compter....
Mais je reste persuadée que l'éducation sur la tolérance, parce qu'il s'agit de ça en fait, permet d'éviter la connerie à venir et d'engendrer des violences dues à l'incompréhension et à l'idée d'une pseudo supériorité, basée exclusivement sur le physique.
On est dans un Monde d'image et d'apparence on en oublie le coeur et l'esprit, la volonté de la personne et sa détermination à être qui elle a envie d'être.

En quoi, le fait qu'une femme ou un homme trans pose problème à quelqu'un ?
Qu'est ce que ça peut leur foutre ?
Le problème c'est que le manque d'éducation créé des abrutis conditionnés par des pseudos religions et des discours de scientifiques qui tiennent pour vrai ce qui ne l'était pas il y a 20 ans et qu'ils considèreront comme faux dans 20 ans.

Quant à Disney, aucune n'est d'origine Disney, toutes sont des histoires existant depuis des lustres réadaptées façons Disney.
Car concrètement, aucune de ces histoires n'aurait été transposable en dessin animé si elles avaient été transcrites telles quelles.
Dans le dessin animé, Ariel de la petite Sirène a les cheveux rouges. Dans le film elle est noire, et alors ?
Dans le film Belle et la Bête, l'armoire habille 3 assaillants en femme. Deux se sauvent en hurlant, un autre se regarde avec plaisir.
Et alors ???
Les histoires ont toujours été transformées.

Après il y a, à mon avis, une différence entre réinterpréter une histoire existante, qui n'est qu'une histoire, et réinterpréter la vie d'une personne connue.
Changer Tina Turner en allemande blonde aux yeux bleus serait évidemment une aberration.
il y a 1 an

@Judeline, désolé j'insiste le fait d'être une fille ou un garçon est une question de biologie et non une affaire sociétale. S de Beauvoir, avec tout talent que lui reconnaît, s'est plantée en voulant faire dans l'idéologie.

On pourrait faire un débat, mais il se trouve qu'il n'y justement pas de débat sur ce qui relève de l'évidence.
il y a 1 an

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