Premières expériences et engrenages : Chapitre 16 Bâillonné

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Ce récit est la suite de : Premières expériences et engrenages : Chapitre 15 Maitresse et novices
il y a 1 an

Le début de cette saga est ICI Chapitre 16 : Bâillonné

  • Je suis toute humide, me chuchota Nathalie, suffisamment fort pour être perçue néanmoins par mes autres dominatrices.

  • Si tu veux alterner la douleur avec l’humiliation, tu peux t’essuyer dans ta culotte et lui mettre dans la bouche, proposa alors Ladyscar.

  • Non. Je n’aime pas cela, répondis-je, en m’arrêtant brusquement dans mon argumentation.

Inutile de leur rappeler que j’étais masochiste et que je préférais la douleur. J’en avais mon compte pour ce soir, surtout avec l’impossibilité de me branler. Cela faisait un certain temps que j’avais compris que la clé n’était pas ici et que ce ne serait pas ce soir que je serai libéré.

  • As-tu déjà essayé ? me rétorqua Ladyscar, en sachant que non.

Un silence s’installa, admettant mon inexpérience.

  • Ce n’est pas gentil, dit Valérie. Quand on est un petit garçon, il faut toujours goûter avant de dire non. Et même essayer plusieurs fois, les goûts peuvent changer.

Elle s’essuya deux doigts sur mon nez. L’odeur était étrange. Je ne l’avais jamais sentie avant. Elle introduisit ensuite ses doigts dans ma bouche. Instinctivement, je les lui suçais. Ce n’était pas mauvais, juste spécial. Nathalie n’était pas la seule à être excitée.

  • Si c’est votre première fois, les filles, faites bien attention à ce qu’il ne vomisse pas et ne s’étouffe pas dedans. L’étouffement par bâillon est le premier danger à éviter avec celui de l’étranglement, mais nous ne l’essaierons pas aujourd’hui, ajouta-t-elle alors que mon cerveau refusait de prendre en compte les implications de ses dernières paroles et de l’utilisation du mot aujourd’hui.

Plusieurs fois par la suite, Ladyscar leur fournissait conseils, astuces personnelles mais surtout elle les informait des règles de sécurité. Elle formait, sur mon corps peu défendant, deux jeunes filles aux pratiques BDSM. Cela ne me plaisait pas. Je cherchais pourquoi. En fait, je trouvais qu’elle y prenait plus de plaisir qu’à me voir soumis pour elle. J’étais jaloux !

Au milieu de ce capharnaüm de sentiments, de hontes, de plaisirs, de douleurs, de la déception qu’elle ne soit pas venue, le sentiment majeur qui surnageait était ma jalousie ! Était-ce normal ? Étais-je normal ?

Pendant ce temps j’écoutais les gémissements de Nathalie qui se masturbait.

  • Enlève ton pantalon, lui proposa Valérie. Cela sera plus facile.

  • La caméra ne vous gêne pas ? demanda Ladyscar, avec une voix attentionnée que je ne lui connaissais pas jusqu’alors.

  • Vous enregistrez ?

  • Oui. Pour ma collection privée.

  • Elle vous fera du chantage après, me rebellai-je, plus pour me venger de l’attention que Ladyscar leur portait que dans leur réel intérêt.

Je m’étais désintéressé des conséquences pour Nathalie et Valérie. Après tout, il n’y avait pas de raison que je fusse le seul à m’être mis dans cette situation.

  • Je ne le ferai pas avec une femme. Il n’y a aucun problème que j’arrête l’enregistrement si vous voulez. Je peux aussi laisser enregistrer et vous envoyer le film. Vous me direz après.

Cette dernière phrase pencha la balance de son côté. Moi aussi j’aurai voulu avoir ce film pour me branler devant ces souvenirs. Je me doutais, sans qu’elles ne le disent, qu’elles pensaient comme moi.

  • Je suis une gynarchiste, s’expliqua maintenant Ladyscar. Je n’ai que des sentiments bien intentionnés pour les femmes, surtout celles qui ne veulent pas se laisser faire dans ce monde de mecs. Pour les autres, je n’ai juste que de la pitié.

Je ne connaissais pas ce mot, (gynarchiste pas pitié). Je voulus demander mais c’est au moment où j’ouvrai la bouche que la culotte, détrempée, fut introduite violemment dedans. J’aurai pu refermer la mâchoire sur les doigts de Nathalie, mais j’hésitai aux conséquences que cela entrainerait.

Le goût était différent, plus fort, mais moins amère. Je rejetai cette idée. Mon dieu, j’allais devenir, quoi… un cunilingologue ?

  • Mettez-lui le bâillon boule, pour éviter qu’il la recrache, conseilla Ladyscar. C’est cela, ajouta-t-elle, probablement devant la présentation d’un des objets sur la table.

Je supposai que c’était celui avec bandeau noir et la grosse boule rouge au milieu. Ainsi c’était un bâillon ! Cela me paraissait étrange à mettre dans le cul. J’avais essayé hier mais je n’avais pas réussi à l’introduire. Je ne voulais pas forcer tant que je ne savais pas à quoi servait la sangle.

Je l’avais essayé dans mon cul !

Je voulus hurler afin de les prévenir. La culotte dans la bouche et la main de Nathalie qui exerçait de la pression sur ma bouche, ne me firent émettre que quelques borborygmes. Tais-toi ou je te bouche le nez jusqu’à ce que tu arrêtes. J’arrêtai immédiatement. J’avais une peur panique de l’étouffement et je n’avais pas prévenu ma dominatrice. Nous n’avions pas tellement conversé sur les détails. J’espérai les aborder au fur et mesure qu’ils se présenteraient.

Je parlai cette fois doucement, mais toujours indistinctement. Mon calme eut raison de ce que ma colère ne m’avait pas apporté. Nathalie m’enleva sa culotte.

  • Tâche d’être concis et que ce soit important !

  • Deux choses à vous dire. La première j’ai une phobie de l’étouffement. Ne me bouchez pas le nez. La seconde est que je ne savais pas à quoi servait l’objet. Hier j’ai essayé de l’introduire dans mes fesses et je ne l’ai pas lavé après.

  • OK. Je ferai attention à ton nez. En ce qui concerne l’entretien de tes affaires, c’est à Ladyscar de décider, dit-elle.

À travers les nuances de sa voix, et les mouvements devant mon visage, je savais qu’elle essayait de l’influencer. Je l’entendis humer la boule.

  • Beurk, dit-elle.

  • Nathalie à raison. Ne pas nettoyer ses affaires mérite une punition sévère. Je ne voulais pas commencer cette activité aujourd’hui, mais un premier entrainement ne peut pas faire de mal, surtout avec des assistantes aussi zélées.

Avant même que Ladyscar n’eût fini, Nathalie m’enfonça la boule dans la bouche. Le goût était répugnant. A côté, la culotte était un plaisir, un privilège. Je me retins de vomir, mais pour la seconde fois de la soirée, des larmes coulèrent, plus nombreuses cette fois. Cela ne finira-t-il donc jamais.

Lire la suite : Premières expériences et engrenages : Chapitre 17 Toys
Très beau récit,.!
Très belle suite... j'ai hâte de continuer ma lecture
Il est loin d'être sorti d'affaire...
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