Premières expériences et engrenages : Chapitre 17 Toys

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Ce récit est la suite de : Premières expériences et engrenages : Chapitre 16 Bâillonné
il y a 1 an

Le début de cette saga est ICI Chapitre 17 : Toys

  • C’est quoi demanda Nathalie, qui avait arrêté de jouer de la batterie sur mes boules.

  • Un plug anal. Cela se met dans le cul, répondit Ladyscar. Je sentis qu’elle cherchait à le rentrer de force, poussant plusieurs fois.

  • Ouvre ton cul, me lança Nathalie.

  • On le lubrifie pour que cela rentre plus facilement, lança ma maitresse.

  • Cela fait plus mal si on le lubrifie ?

  • Non, au contraire.

  • Alors c’est mieux comme çà, conclut-elle, l’enfonçant de manière plus progressive.

J’avais au moins gagné cela. J’en avais profité pour me détendre et le cône s’installa douloureusement à la place qu’il occupait encore sous peu. Valérie commença à accrocher des pinces sur mon corps, de façon aléatoire, tétons cuisses, couilles, lèvres. Je suis plutôt fin et maigre et souvent la pince ne se maintenait pas sur mon corps, s’échappant peu à peu, comme si on me l’ôtait sans la desserrer.

De temps en temps, elle tirait ou tordait celle qu’elle venait de fixer. J’entendais des « Oups », des « oh » comme si elle voulait me faire croire à une maladresse de sa part. Je m’imaginais son visage faussement contrit et cela m’excitait à nouveau. Des coups de martinet parvenaient maintenant sur mes fesses. Au début, ils ressemblaient à ceux que je m’étais infligé durant la session.

  • Ça fait mal ? me demanda Nathalie. Je peux taper plus fort.

Bâillonné, je ne pouvais répondre.

  • D’accord répondait-elle, comme si elle avait entendu un consentement.

  • Cela ne lui fait pas mal, même pour une lopette comme lui, intervint Ladyscar. Ne bloque pas ton geste. Frappe comme si tu voulais aller au-delà de son cul. Donne plus de force mais diminue la fréquence.

Ses conseils furent précieux et suivis. Je sentais maintenant les lanières de cuir cinglaient mon postérieur avec efficacité. Des contractions, involontaires et forcées des muscles des fesses, poussèrent un peu plus profondément le plug conique.

  • La brosse à cheveux, c’est pour quoi ? demanda Valérie.

Elle passa ses mains au milieu des pinces, les inclinant, les étirant et m’arrachant un cri étouffé.

  • Il l’utilise pour frotter son sexe. Tu dois pouvoir lui lustrer les couilles avec.

Sitôt proposé, sitôt exécuté ! Sans même enlever les pinces à linges, elle appuya la brosse entre elles et coiffait avec vigueur mes poils pubiens. Je voulais qu’on m’enlève cette cage pour que je puisse prendre le plaisir qui m’était dû. Je sentais que le liquide remontait dans ma verge et quelques gouttes de liquide s’en échappaient.

  • La bougie est prête, informa Ladyscar.

Elles avaient dû l’allumer en arrivant. Probablement Valérie, plus attentive aux messages et à la voix de Ladyscar. Nathalie, délaissant mes fesses s’attaque à mon dos avec la même virulence. Je tordais mes bras pour bloquer les coups au niveau de l’entame des lanières.

Pendant ce temps, Nathalie avait attrapé ma bite et mes couilles et déversait dessus la cire chaude qui coulait depuis le cratère de la bougie. Elle s’infiltrait en se refroidissant dans la cage.

  • Sur le gland, ordonna Ladyscar. C’est là que c’est le meilleur.

Valérie obéit et je sentis la chaleur envahir le bout de mon sexe. Etiré comme il l’était dans la cage soulevé et redressé par la main de Valérie, je sentis même le liquide chaud s’opposer à mon éjaculation et s’introduire dans mon urètre.

  • C’est chaud ? me murmura Valérie en se relevant, s’occupant maintenant de faire couler de la cire sur le haut de ma poitrine, la laissant glisser, entre les pinces, vers mes tétons.

  • Oui, grognai-je dans la culotte de sa copine.

  • Tu veux encore souffrir sous nos mains ? murmura-t-elle encore, étonnée.

  • Oui, maitresse, continuai-je, alors que les douleurs dorsales valaient maintenant celle de mon postérieur.

  • Pincer, frapper, brûler, que reste-t-il, demanda-t-elle en se retournant.

  • Humiliation, électricité, piqure, étirage, … commença à énumérer Ladyscar.

A ce dernier mot, Nathalie tira sur la corde reliant mes poignets au plafond, lui formant un angle, la raccourcissant. Une douleur dans mes épaules, tandis que mes poignets se relevaient, se rappela à moi dans une partie de mon corps que seule la morsure avait entamée.

  • Vous pouvez lui étirer les couilles. Il y a un pack d’eau de six bons litres dans son placard derrière.

J’entendis les pas de Nathalie s’éloigner.

  • Je les attache comment ? demanda Valérie.

Ladyscar expliqua à Valérie comment faire les nœuds. Elle ne les voulait pas coulants pour qu’ils ne se resserrent pas plus avec le poids.

  • Je n’ai trouvé qu’un pack de douze litres, dit Nathalie essoufflée en revenant du coin cuisine.

Je grognai dans mon bâillon. Le pack de six litres était devant. Je me rappelai bien l’y avoir ramené. Elle n’aurait pu atteindre celui de douze kilos sans avoir déplacé d’abord celui de six.

Elle avait menti ! Jamais je ne pourrai soulever douze kilos ! Cela allait m’arracher les couilles !

Lire la suite : Premières expériences et engrenages : Chapitre 18 Hors de contrôle
superbe suite, je ne suis pas déçu, mais impatient de lire la suite.
Bravo Merci de ce récit
On en veut encore 😛
J'essaierai de garder le rythme d'un par jour
Elles y prennent manifestement de plu en plus de plaisir.
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