Premières expériences et engrenages : Chapitre 20 Une petite faim

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Ce récit est la suite de : Premières expériences et engrenages : Chapitre 19 Le jeu
il y a 1 an

Le début de cette saga est ICI Chapitre 20 : Une petite faim

Le lendemain, les idées plus claires, je décidai de retourner à l’école. Savoir que j’y retrouverai Nathalie et Valérie m’effrayait un peu. De ce que j’avais compris, il ne se passerait rien pendant les dix prochains jours. Sachant que je portais encore cette cage et qu’on ne m’enlèverait que quelques heures ce week-end, j’appréhendais ces journées.

J’avais cette fois attaché le bout de la cage et glissé la corde entre mes fesses pour l’attacher autour de ma taille. Si mon sexe et mes boules me faisait un peu mal, cela ne se verrai pas. Je découvris que je pouvais même faire passer mon service trois pièces derrière, ressemblant ainsi à une jeune fille. L’absence de pilosité et surtout ma poitrine qui avait gonflée sous les souffrances et les étirements, en renforçaient l’image. Je m’imaginais habillé en femme. Cela m’humiliait et m’excitait.

Le déplacement jusqu’à l’école avec cette corde était même un peu jouissif. J’avais l’impression d’obéir à un nouvel ordre d’une de mes maitresses.

La matinée redébutant par un cours de mathématique avec la même professeure (nous en avions neuf heures par semaine), je me glissais au second rang à une place que je savais inoccupée, à côté d’un garçon plutôt timide.

A l’arrière, Sébastien, le garçon qui sortait avec Valérie et qui s’était moqué de moi la veille voulut faire un rappel à ma mésaventure, mais ma tortionnaire l’en empêcha. Le cours se déroula normalement, s’enchaînant ainsi jusqu’à midi.

  • Tu m’invites à manger chez toi ? me demanda Nathalie en sortant de l’école en même temps que moi.

  • Je n’ai pas grand-chose à la maison, répondis-je vainement.

  • Je n’ai pas faim de nourriture, ajouta-t-elle, suffisamment fort pour être entendue.

Ne me voyant pas d’autres choix, je l’amenai chez moi. Valérie, bloqué avec Sébastien fit une moue désapprobatrice tandis que des amis à moi me regardaient avec un air entendu, appréciateur et grivois. S’ils savaient !

Arrivé chez moi, elle changea complétement de ton.

  • Déshabille-toi ! me dit-elle à peine entrée.

Je partis fermer le second rideau lorsqu’elle m’arrêta.

  • Laisse !

  • On voit à travers le rideau blanc. Il est transparent. Beaucoup de gens passent sur le trottoir. Nous avons été observés hier soir, voulus-je lui expliquer.

  • Si tu te permets de refuser, de négocier ou de contredire mes ordres, je risque d’être très méchante. Je ne suis pas Valérie. Si j’ouvrai le rideau blanc, pourquoi pas la fenêtre et que je poussai des cris de plaisir.

  • Non maitresse, répondis-je, supposant que, dans mon évolution depuis les grands singes, j’avais gardé l’instinct animal du respect des alphas.

Mon sexe avait apprécié ma réponse, autant que son ton, et se manifestait douloureusement, coincé dans la cage, étiré vers l’arrière avec la corde. Je voulus m’éloigner de la fenêtre mais ce n’était pas du goût de Nathalie et de ses ongles.

  • Déshabille-toi ! Ici ! dit-elle, alors que je ne me tenais qu’à un mètre du rideau.

Je m’exécutai ravi. La hauteur de la fenêtre plutôt élevée associée cette proximité camouflait le bas de mon corps. Les gens dans la rue ne verrait qu’un homme torse-nu. Je m’appliquais le plus rapidement possible, ne voulant pas laisser à Nathalie, la même analyse.

  • Tu l’as attachée ? dit-elle en passant ma main sur mon sexe. Elle ne te fait pas mal retournée comme cela ?

  • Si maitresse. Surtout quand je bande, lui répondis-je alors que ses mains se firent caressantes et excitantes, causant des gonflements compressés.

  • Je ne peux pas attendre encore huit jours. Tu me comprends ?

  • Oui maitresse.

Elle s’agenouilla lascivement et me pressa les couilles, les tirant, les tournant sur elles-mêmes.

  • Écarte les jambes !

Alors qu’elle les martyrisait, de plus en plus, douleur accrue pas les tourments de la veille dont les stigmates étaient encore visibles, je m’exécutai, réduisant encore de quelques centimètres la partie émergée du haut de mon corps. Elle ouvrit son sac de cours et en sortit des orties. Elle enfila un gant pour les extraire du sachet plastique où elle les avait transportées. J’avais déjà pratiqué et je savais, à la vue de leur état, que je ne risquais plus grand-chose. Cueillies ce matin ou hier soir, elles avaient dégagé leur humidité dans le plastique et s’étaient flétries, étaient devenues molles et peu irritantes.

J’en eu la confirmation, quand elle m’en frôla les cuisses puis les couilles. Devais-je lui dire ? Elle essaya de les glisser entre ma cage de chasteté et mon sexe racorni, mais il n’y avait pas de place et leur mollesse actuelle ne le permettait plus. Si elle avait pris des orties cueillies récemment et avait glissé les branches avant de m’exciter, pensai-je alors qu’elle usait de la corde pour les faire tenir sur mes cuisses et sur mes boules. Je ressentais à peine l’action urticante.

  • Tu vas les garder toutes l’après-midi.

  • Oui maitresse, répondis-je, heureux d’échapper à une punition.

Elle continua à jouer avec la partie basse de mon corps. Elle utilisa mes pinces à linges, des glaçons pour alterner mes pseudo-érections, me frappa de ses doigts tandis qu’elle me confia une mission. Je devais regarder dehors les personnes qui passaient et les lui commenter, les décrire, m’avaient-ils vu. Quelles étaient leurs réactions ? C’était pour la torture mentale, et l’exhibitionniste que je n’étais pas encore trouvait la punition particulièrement sadique.

Être observé et faire semblant de ne pas s’en apercevoir, d’avoir honte, de baisser le regard, cela était supportable, mais devoir soutenir le regard de ces personnes qui me voyaient torse-nu derrière le rideau transparent… sans compter que les traces rouges autour de mes mamelons ne s’étaient pas entièrement estompées.

A dix-huit ans, je trouvais que beaucoup de personnes détournaient le regard pour m’éviter, gêné ou plus souvent gêné qu’on les juge eux de profiter du spectacle. D’autres, aussi nombreux, le détournaient pour m’observer un peu plus longtemps que leur marche ne les y obligeait. Il ne s’agissait pas toujours de curiosité, de comprendre pourquoi j’étais là immobile devant la fenêtre. Des personnes sans distinctions d’âge ou de sexe, me convoitaient, me scrutaient, me notaient. Une étudiante leva un pouce en l’air, comme un « like », me donnant son avis positif de ce qu’elle voyait. Je le dis et Nathalie me demanda de lui répondre. J’opinai la tête en lui faisant un signe des mains. La connaissais-je ? Un garçon mit en exergue ses biceps avec ses poings au-dessus de la tête dans une position de bodybuilder, m’invitant à procéder de même.

  • Bien sûr et je veux voir cela, dit-elle en arrêtant de me martyriser le bas du corps.

Je pris la même position, espérant de ne pas trouver là un spectateur assidu qui en voudrait plus, attirerait du monde, et finirait par former un attroupement. Après tout j’étais chez moi. Toutes ces personnes pouvaient avoir envie de revenir me voir. Je confiai mes inquiétudes à sa demande de compréhension de mon débandage.

  • Ne t’inquiète pas, me dit-elle. Si quelqu’un se montre plus insistant je me lève et je lui fais comprendre qu’on est un couple et qu’on n’a pas besoin de lui.

  • Comment ?

  • J’aurai juste à faire semblant d’avaler et de m’essuyer la bouche.

L’image seule, que je formais dans mon esprit à ses paroles, me fit bander de nouveau, à son plus grand plaisir. Le rire enfantin, qu’elle émit en contrepartie et que j’appréciais tant, renforça mon état. Au bout de dix minutes supplémentaires sans spectateurs notables, elle me demanda de me rhabiller.

  • Garde tes orties ! tu penseras à moi en marchant.

Je pensai à la sensation qu’aurait de vraies orties. Plaisante, douloureuse, soumise au caprice de ma maitresse. Je craquai et me lançai.

  • Maitresse, les orties ne font plus d’effet. Elles sont… fanées, lui dis-je, en ne trouvant pas le mot que je cherchais. Vous pouvez en trouver des fraiches dans le jardin commun derrière chez moi.

  • Va me les chercher ! m’ordonna-t-elle après avoir ôté son gant et vérifié mes dires par elle-même.

Je m’habillai, mais elle m’arrêta après que j’eusse mis mon pantalon.

  • Torse nu et pieds nus ! Dans la neige ! me susurra-t-elle avant de me lécher la joue et l’oreille, comme aurait pu le faire Valérie.
Lire la suite : Premières expériences et engrenages : Chapitre 21 Soupe aux orties
Belle suite... je reste sur ma faim!!!!
Demain, ...Roman feuilleton, un épisode par jour
Récit cours, mais très explicite... j'adore...!
Des orties fraîches qu'il a lui-même réclamées. Aïe!
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