Catégories : CBT Ballbusting Homme soumis, Femdom Domination féminine Chasteté ceinture chasteté hom fem
Ce récit est la suite de : Premières expériences et engrenages : Chapitre 20 Une petite faim
il y a 1 an
Le début de cette saga est ICI Chapitre 21 : Soupe aux orties
J’habitais dans un immeuble qui faisait le coin d’une rue, et l’arrière donnait sur un petit parc privatif, que seuls les possesseurs de chiens utilisaient. Il était mal entretenu, mais peu de propriétaires, qui pour la plupart n’habitaient pas là, ne voulait dépenser plus. A ma grande joie, des orties, des ronces et des chardons y poussaient.
Quelquefois j’y aller en chercher, mais la nuit. Honteux de me faire prendre, j’attendais que la soixantaine de fenêtres qui donnaient sur le parc fussent pour la plupart éclairées et qu’elles ne révélassent aucun témoin. Une fois un homme fumait une cigarette sur son balcon alors que je revenais. Je ne l’avais pas vu sortir et je ne savais pas ce qu’il avait vu de mes activités nocturnes.
Mais là, en pleine journée. Je ne verrai même pas si quelqu’un m’observerait. De plus torse-nu à cueillir des orties, j’aurai été repéré facilement. Je cherchai en vain une excuse. Je pris un gant, une paire de ciseaux et me pinçant les lèvres, je sortis rapidement après n’avoir remarqué ni promeneurs, ni de personnes sur les balcons depuis la fenêtre de ma partie cuisine, sans pouvoir confirmer pour mon propre immeuble.
Je restai dehors moins d’une minute. J’avais repéré les orties à dix mètres de la porte arrière du bâtiment. J’avais visualisé mon parcours, ni trop lent, ni trop rapide et revint avec une demi-douzaine de branches d’un mètre de hauteur.
Même à travers le gant, je sentais une activité sans commune mesure avec celles qu’elle avait amenées.
-
Brave esclave, répondit Nathalie alors que je revenais avec un bouquet pour elle. Tu aimes vraiment cela, avoir mal ? me demanda-t-elle avec une voix plus douce dont j’avais appris à me méfier.
-
Ce n’est pas la douleur seule, c’est aussi l’excitation qui la précède, répondis-je.
-
Le sexe aussi ?
-
Je pense. Je ne sais pas. Je ne sais pas si c’est le même plaisir.
-
Cela te fait du bien quand tu te branles, puceau ?
-
Cela me fait plus de bien, si j’ai souffert avant, répondis-je.
-
Et souffrir sans jouir ?
-
C’est frustrant, répondis-je honnêtement.
-
Alors pourquoi t’es-tu laissé faire, dit-elle en commençant à glisser un brin d’ortie, remplaçant les précédents.
-
Je n’ai rien connu avant vous. Et je croyais avoir la clé de la cage.
J’expliquais la mystification de Ladyscar, pour finalement avouer que ce n’était pas si déplaisant, même si je n’avais pas pu jouir.
- Moi non plus, avoua Nathalie. Je ne me doutais pas que je prendrais autant de plaisir à çà, ajouta-t-elle en désignant les nombreux objets sur le sol.
J’avais retrouvé ma place devant la fenêtre. Le trottoir et la rue étaient déserts. Je le regrettai presque. Un homme en milieu d’âge ralentit en me voyant, me détaillant. Barbu, brun avec de grosses lunettes, noir de contour, son regard devenait gênant. Il s’arrêta même à la limite de l’angle de la fenêtre. Il ne partit que lorsque Nathalie se releva pour aller rendre la paire de ciseaux, laissée sur la table. Elle avait raison. Un couple faisait fuir.
-
Je ne sais pas comment je vais les faire tenir autour de ton sexe, dit-elle en essayant une fois de plus de les glisser dans la cage.
-
J’ai des élastiques dans le tiroir, lui indiquai-je.
Elle se releva une seconde fois et j’aimai cela car elle surgissait qu’à quelques effluves de moi. Elle coupa les branches en morceaux de vingt centimètres, m’entoura le sexe d’élastiques de façon qu’une partie flottante des brins longe mes fesses, mes cuisses et mes couilles.
- Mets ton pantalon sans ton caleçon ! m’ordonna-t-elle.
Sans réfléchir, je réalisai ce qu’elle me demandait. Le pantalon, de taille large, épais et sombre camouflait parfaitement la confection florale artistique qu’elle admirait une dernière fois, fière d’elle.
- Fais le tour de la pièce !
Je commençai à me déplacer autour de la table. Chaque pas déplaçait les branches urticantes en particulier nombreuses autour de mes couilles.
-
Alors ?
-
Cela me brûle et me frotte partout.
-
Assieds-toi et relève-toi plusieurs fois ! Jusqu’à ce que je te dise d’arrêter !
C’était encore pire. Plusieurs branches s’arc-boutaient, poussant mes boules. Elle avait coupé rapidement en biseau les tiges épaisses et, indépendantes de leur propriété, plusieurs des pointes formées pénétraient dans ma peau, rajoutant aux sensations précédentes.
-
On doit y aller, les cours vont bientôt commencer, dit-elle en mettant quelque chose dans son sac.
-
On a quatre heures, lui rappelai-je.
-
Je sais dont deux heures de TP de chimie. Tu vas devoir beaucoup te déplacer.
Oui, pensai-je, mais je n’aurai pas à m’asseoir. L’un dans l’autre. Je finissais de m’habiller. Nous devons y aller et nous n’avons rien mangé. Je lui proposai un verre d’eau et un morceau de pain.
-
Tu t’entraines pour la prison, plaisanta-t-elle.
-
Je ne sais pas ce que me prépare Ladyscar, répondis-je avec le même humour.
-
Tu la connais depuis longtemps ?
-
Non. Je l’ai rencontré sur le net, il y a quelques temps, mais elle m’a envoyé ce colis et n’a voulu jouer avec moi que depuis lundi, mes dix-huit ans, répondis-je en finissant de m’habiller.
A chaque mouvement les orties se rappelaient à moi.
Déjà, la route pour retourner à l’école fut un supplice. J’avais l’impression d’avoir mis deux cilices autour de mes cuisses. Nathalie ne me quitterait pas de la journée et ne me permettrait pas de les enlever. Que devais-je encore attendre d’elle ?
Bien ! Après l'effort le réconfort : soupe aux orties avec évidemment les orties ayant servi à ce superbe jeu et ayant macéré dans du "champagne doré" 😉 | |
J'imagine le plaisir qu'a pu prendre Nathalie en le regardant pendant ces heures de cours |
Ce site Internet est réservé à un public majeur et averti et est conforme à toutes les règlementations françaises en vigueur. Il contient des textes, des liens et des photos classées X qui peuvent être choquantes pour certaines sensibilités.
Je certifie sur l’honneur :
- être majeur selon la loi en vigueur dans mon pays.
- que les lois de mon état ou mon pays m'autorisent à accéder à ce site et que ce site a le droit de me transmettre de telles données.
- être informé du caractère pornographique du serveur auquel j'accède.
- je déclare n'être choqué par aucun type de sexualité et m'interdit de poursuivre la société éditrice de toute action judiciaire.
- consulter ce serveur à titre personnel sans impliquer de quelque manière que ce soit une société privée ou un organisme public.
Je m'engage sur l'honneur à :
- ne pas faire état de l'existence de ce serveur et à ne pas en diffuser le contenu à des mineurs.
- utiliser tous les moyens permettant d'empêcher l'accès de ce serveur à tout mineur.
- assumer ma responsabilité, si un mineur accède à ce serveur à cause de négligences de ma part : absence de protection de l'ordinateur personnel, absence de logiciel de censure, divulgation ou perte du mot de passe de sécurité.
- assumer ma responsabilité si une ou plusieurs de mes présentes déclarations sont inexactes.
- j’ai lu, compris et accepte sans réserve les conditions générales rédigées en français même si j’ai usage d’un traducteur automatique ou non pour accéder à ce site internet.
Toutes les images contenues dans ce site sont en accord avec la loi Française sur la pornographie (aucune image de mineur n'est présente sur ce site)