Premières expériences et engrenages : Chapitre 22 Binôme dominatrice

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Ce récit est la suite de : Premières expériences et engrenages : Chapitre 21 Soupe aux orties
il y a 1 an

Le début de cette saga est ICI Chapitre 22 : Binôme dominatrice.

Si trois tours autour de la cage convenaient à mes élastiques, les deux disposés simplement autour de mes cuisses étaient serrés et gênaient mes déplacements.

Le premier cours se passa plutôt bien. J’évitai de bouger et même si j’avais de fortes envies de me gratter, le monde autour de moi m’aidait à y résister, par leur simple présence. Le second cours était un cours de français. Le professeur choisissait des volontaires pour jouer une scène. Je remerciai le destin qui m’avait éloigné de ma tortionnaire. J’évitai de regarder deux rangs derrière moi. Je ne doutais pas qu’elle m’aurait incité, que dis-je, ordonné de monter sur l’estrade.

Elle me le confirma à la pause.

  • Tu le savais ! dit-elle, devant mon sourire soulagé.

Quelque part, au tréfond de moi, je voulais qu’elle le sache. Je voulais être puni. Au bout de deux heures, je m’habituai aux orties et j’espérai que les travaux pratiques ne réactivent pas mes démangeaisons.

  • Prends çà, m’ordonna-t-elle en me tendant mon plug anal.

C’est ce qu’elle avait pris chez moi et mit si discrètement dans son sac. Je l’attrapai et le camouflai sous mon manteau, espérant que personne ne nous avait vu.

  • Va aux toilettes et fous le toi dans le cul. Ce soir on rentre ensemble. Je veux le voir dedans et les orties toujours présentes. J’hésitai.

  • Tu n’as plus que dix minutes avant le cours, alors dépêche -toi. Tu as besoin de temps pour te l’élargir, trou du cul, surtout que mon sac était trop petit pour prendre le lubrifiant.

Elle fit une moue, accompagné d’un tendre désolé devant ce sac qui aurait pu contenir une boite complète d’une dizaine de ces tubes.

  • Tu veux que je vienne avec toi pour cracher dessus, me menaça-t-elle.

  • Non, répondis-je, ne pouvant expliquer ce que je faisais aux toilettes avec une fille. Je vais me débrouiller.

  • Ne perds pas trop de temps, me lança-t-elle avec un air plus sadique.

Je m’éloignai d’elle. J’avais bien fait de le nettoyer et de le désinfecter. J’aurai du le ranger. Cela faisait trois jours que l’ensemble de ma vie de soumis était étalé sur la table du salon. J’avoue que ma vie à cette époque se trouvait dans un tel bouleversement que j’étais perdu.

Quoique cela me plaisait de l’avoir, j’aurai préféré le mettre tranquillement chez moi et avec du lubrifiant. Elle y avait pensé, mais elle voulait que je le mette dans les toilettes de l’école, sous la pression. J’aimais comment elle pensait. Je l’aimais.

Le plug s’enfonça plus rapidement que la veille. Mon orifice anal avait gardé une certaine largeur et en contrôlant et connaissant mon corps, je pensais que c’était plus facile de le mettre soi-même. Je dus juste forcer un peu à la fin. Ce que je ne me doutais pas c’est qu’il avait entrainé quelques brins d’orties qu’il étira avec lui dans son dernier mouvement. Coincés entre le plug et les élastiques, je craignais de ne pouvoir m’asseoir.

Quand je sortis des toilettes, il ne restait que Nathalie devant le laboratoire envahi d’étudiants et d’étudiantes. Elle me laissa passer devant elle et, avec son doigt, elle appuya dans mon trou du cul, pour en sentir sa présence. Ce dernier se déplaça légèrement, crispant mon visage et emplissant ma cage. Le mouvement de mon pantalon déplaçant les orties, fournit une sensation plus douloureuse. Je me mordis les lèvres en entrant dans la pièce. Les groupes s’étaient formés. Nathalie avait convaincu son amie et binôme de s’associer au mien, me retrouvant, par voie de conséquence, avec elle.

Nous démarrions le second trimestre et nous pouvions changer de groupe. J’avais oublié. Valérie, coincé avec son Sébastien n’avait pas apprécié cet accaparement de la journée et même si elle observait Nathalie d’un air peu souriant, je lus dans son regard de la pitié, de la tristesse quand elle croisait le mien. Nathalie, était plutôt doué en chimie, et probablement meilleure que moi dans la théorie. Cela m’aurait arrangé de me retrouver avec elle, mais dans d’autres circonstances.

Profitant de sa position, elle m’obligeait à m’asseoir, me lever, me déplacer pour aller chercher tel produit ou tel récipient qui, une fois sur deux, ne servirait même pas. Le plus dur c’est quand elle me demanda de vérifier les niveaux de liquide dans une éprouvette en m’accroupissant. La position était plus difficile encore que celle assise où le plug pourtant grappillait quelques millimètres dans mon corps.

Je ne l’aidai pas beaucoup, concentré à souffrir en silence. Plug, orties et élastiques rendirent ces deux heures longues et j’étais pressé de retirer tout cela. J’avais honte de pratiquer en public. J’avais honte de me faire découvrir. Non. J’en jouissait, inconscient des conséquences sur ma scolarité, si cela s’évérait être découvert. Mais à cet instant alors que le cours se terminait, tout ce que je désirais était d’aller prendre une douche et de dormir. J’espérai que Nathalie ne restera pas trop longtemps. Dire qu’hier je les avais crues quand elles m’avaient dit qu’il ne se passerait rien avant vendredi en huit.

Alors que nous sortîmes de l’école, Nathalie se retourna rapidement, me frappant de son sac mes parties. Je sentis en une fois toutes les épines minuscules qui pénétraient dans mon corps, mon sexe, mes couilles mes cuisses.

  • Pour la route, me dit-elle. Et pour avoir regardé Valérie pendant le cours. C’est très gênant pour moi, d’être ainsi délaissée.

Les dix minutes pour retourner à mon appartement furent pire que les heures passées. Les orties s’étaient déplacées. Elles s’étaient tournées offrant un nouveau cadran de la tige en contact avec ma peau, comme une seconde punition. Elle marcha vite, m’obligeant à de grandes enjambées. Elle voyait que j’en souffrais.

  • On fait le tour du pâté de maison ? me proposa-t-elle.

  • J’aimerai prendre une douche, essayai-je stupidement.

  • Et moi te voir dessous, dit-elle. Mais transpirer un peu cela ne peut pas te faire de mal, ajouta-t-elle usant volontairement de cette expression inadéquate. On fait deux tours de pâté de maison ? me demanda-t-elle cette fois.

  • Oui, maitresse, répondis-je avant que le nombre ne s’incrémente encore ; elle avait vite appris.

Nous portions tout deux des baskets et elle m’entraina à un léger pas de course. Courir avec un plug est une étrange et désagréable sensation. J’avais à chaque instant, peur de le perdre. Sans caleçon, l’attirail voulait se déplacer. Même la cage attachée en arrière était une souffrance. Mon sexe, gonflé par les autres sensations, se retournait vers le bas, entre mes jambes. Il contraignait fortement la corde qui passait entre mes fesses et faisait osciller le plug à chaque fois que celui-ci menaçait, à tort ou à raison de s’échapper. Nous courûmes ces deux tours avant qu’elle ne décidât de s’arrêter devant chez moi.

  • On prend la douche ensemble ? me proposa-t-elle, à peine entrée.

Une excitation plus forte que prévu me plia en deux.

Lire la suite : Premières expériences et engrenages : Chapitre 23 Première fois
Merci pour tout ces récits… curieux de voir l évolution de ce trio/quatuors ^^
j'adore cette tournure de l'histoire..
jolie chapitre
Cette Nathalie est délicieusement démoniaque.
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