Premières expériences et engrenages : Chapitre 27 : Ami d'enfance

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Ce récit est la suite de : Premières expériences et engrenages : Chapitre 26 : Le voisin
il y a 1 an

Le début de cette saga est ICI Chapitre 27 : Ami d’enfance

Vendredi, il ne se passa rien. J’en profitai pour faire un ménage rapide et en particulier, les différents jouets que je nettoyai et rangeai. Je me refusai à retourner sur ce site, cause de tous mes déboires. Mon père vint me chercher le soir après mes cours et me ramena chez moi. J’avais pris beaucoup de retard et emportais de nombreux cahiers de prise de notes pour réviser et les remettre au propre.

Je laissai mon ordinateur portable, pour m’éviter toute tentation. De toute façon, j’avais mon téléphone et si Ladyscar avait trouvé ceux de Nathalie et Valérie, si elle connaissait l’infirmière de mon école, nul doute qu’elle disposât du mien.

Comme à mon habitude, rodé depuis une dizaine de semaine, je passai la soirée et la matinée entre mes révisions et mes parents et ne m’accordai que l’après-midi et la soirée du samedi avec mes amis.

Ma mère me trouva anormalement calme et avare d’anecdotes. Ils mirent cela sur le compte de la fatigue à l’approche des vacances de Noël. S’ils avaient su que pas une semaine de ma vie, je ne pensais avoir autant d’anecdotes à leur raconter, ou, plutôt dans ce cas, à ne pas leur raconter.

L’après-midi donc, je retrouvai quelques amis en face de chez moi. Des amis d’enfance, des amis de voisinage, avec qui nous avions partagé sports, jeux et discussions. Un peu de normalité ne pouvait pas me faire de mal. Nous allâmes au bowling.

Sur le retour, revenant à pied, l’un d’entre eux m’appela à l’arrière des autres. Il s’appelait Vincent.

  • Je voulais te montrer quelque chose, me dit-il mystérieux. J’ai reçu cela sur mon téléphone. C’est bien toi, ajouta-t-il.

On voyait une photo de moi. Une partie de ma tête était coupée mais elle ne laissait pas vraiment de doute. Elle avait été prise au vu de l’angle depuis ma webcam. Une impression d’écran ou plutôt une pause dans le film qu’elle avait enregistré. Ladyscar. Elle venait de notre dernière session. On ne voyait que les mains de mes deux tortionnaires, mais la cage était visible et mon corps, rouge, couvert de pinces, ne prêtait pas à confusion sur la nature de la photographie.

Je voulais nier, mais cela compliquerait encore la situation. Il y avait déjà tant de gens au courant et en qui je ne faisais pas confiance, mais Vincent, c’était différent ; je pouvais me confier à lui. L’approche qu’il avait fait de la possession de cette photo, me prenant à part, en était la preuve.

  • Oui. C’est moi, avouai-je.

  • Eh bien, si je savais ce qu’était la vie dans le supérieur, j’aurai poursuivi mes études. Pourquoi m’envoyer cette photo ? Il y avait juste un message. « On ne m’ignore pas » était-il écrit.

  • C’est ma maitresse qui te l’a envoyée, pas moi.

  • Une vraie maitresse avec bottes en cuir et fouet ?

  • Je ne sais pas, je ne l’ai jamais vu, juste entendue.

  • Ben alors les personnes avec toi ?

  • Deux étudiantes qu’elle a envoyées chez moi, après m’avoir demandé de me mettre nu et de m’attacher.

  • Eh ben mon cochon, toi au moins tu t’éclates.

  • Oui et non, répondis-je avant de tout lui expliquer.

Cela nous a pris les vingt minutes de la route du retour. Je lui avouai tout, même de mon voisin, dont j’espérais ne plus entendre parler.

  • Efface cette photo ! lui demandai-je.

  • Cela peut servir de preuve si cela se complique encore. Je ne la montrerai à personne.

  • D’accord, mais cache là !

  • En plus tu es tout mignon comme çà, me charria-t-il.

  • Oh, arrête !

  • Que crois-tu qu’elle ait prévu pour le weekend prochain ? Veux-tu que je vienne à ton appartement, surveiller qu’elle ne dépasse pas les bornes ? se proposa-t-il.

  • Je ne veux pas t’impliquer, Je suis déjà heureux de pouvoir me confier.

  • C’est Ladyscar qui m’a impliqué, en m’envoyant la photo, me rappela-t-il.

Nous discutâmes encore et je lui promis de l’informer autant que je pouvais.

Nous n’en parlâmes plus du week-end et dimanche soir, après le repas, mon père me redéposa à mon appartement.

Alors que j’allais rentrer chez moi, mon voisin descendit l’escalier avec un de ses copains, plutôt grand, baraqué et patibulaire. Il lui murmura quelques mots à l’oreille en me désignant. Son ami me regarda étrangement, entre supériorité et convoitise. Je souris avec un rictus, me voulant repoussant et rentrai chez moi en claquant la porte, peu rassuré.

Le double rideau était tiré et il était peu probable que je ne l’ouvre un jour. Je pensais même à le clouer. J’avoue franchement que j’avais peur ; les battements de mon cœur s’étaient accélérés, mon souffle était bruyant et de la transpiration me coulait sur le visage alors que la température extérieure était encore proche du zéro.

J’entendais du bruit. Ils discutaient à ma fenêtre, au même endroit où il m’avait observé. Peut-être lui expliquait-il.

J’allumai mon ordinateur. J’avais un message de Ladyscar. Elle voulait savoir comment s’était passé mon weekend. Je lui envoyai une réponse polie, appréciant durant ce weekend de retrouver mes repères, que j’eusse aimé le passer sans la cage. Je ne lui parlai ni de la photo ni de mes amis.

A peine avais-je envoyé ma réponse qu’elle me chatta.

  • Je pensais que tu me parlerais de ta partie de bowling, m’écrivit-elle.

Nom de dieu. Comment pouvait-elle toujours tout savoir ? Me suivait-elle ? Était-ce une de mes amies ? Non elles étaient trop jeunes et je les connaissais depuis longtemps. Je repassai en mémoire les femmes d’une quarantaine ou cinquantaine d’années que j’avais croisées ce weekend. Rien ne me revenait.

Cette omniscience me dérangeait plus encore que sa domination physique. J’avais l’impression que je ne pouvais rien lui cacher, qu’elle me surveillait encore en cet instant. Elle se déconnecta. Qu’est-ce que cela voulait dire ? Aurais-je du lui en parler ? Non. J’avais un accord avec Vincent, nous ferons semblant de rien. Maintenant que j’avais un confident, je me sentais plus fort.

On frappa à ma porte, je sursautai.

Mais quel suspens !!! Bravo ! Tout est de toi ? Quelle est ton inspiration ?
Oui. Pour l'inspiration, le plus dur est de m'arrêter. J'écris beaucoup. J'ai voulu attaquer à un autre domaine. J'aime le chapitre par jour comme cela existait dans les quotidiens, il y a longtemps. Beaucoup de grands écrivains commencèrent ainsi.
Excellent ! Merci pour ta réponse !
Hâte de la suite !
Il est cerné
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