Premières expériences et engrenages : Chapitre 36 Rivalité

Catégories : Libertins CBT Ballbusting Homme soumis, Femdom Domination féminine Chasteté ceinture chasteté hom fem
Ce récit est la suite de : Premières expériences et engrenages : Chapitre 35 La demeure
il y a 1 an

Le début de cette saga est ICI

Chapitre 36 : Rivalité

  • Goûterez-vous au mien ? demanda notre hôtesse en indiquant Ben, son serviteur, immobile dans un coin au bout de la salle.

Agé d’une cinquantaine d’année également, obèse, je ne pensais qu’il pouvait plaire à ma maitresse, tant il était différent de moi. Mais la politesse probablement ou juste le plaisir d’un cunnilingus, la fit accepter.

Le canapé où nos deux maitresses s’installèrent était particulièrement bas en comparaison des lits des deux premières fois ou j’avais pu expérimenter. Nous étions très courbés devant elles. Maitresse Diane, comme l’avait appelé son soumis, n’avait pas de sous-vêtement. Cela ne m’étonnait même pas et se conformait à l’idée que j’avais d’elle. Plus nymphomane que Ladyscar, plus ardente, plus torride. Je soupçonnais qu’elle n’eût d’autres passions dans la vie, que le sexe et son mode de vie.

Ladyscar ôta, quant à elle, une culotte de dentelle rouge dont la taille en démentait l’utilité. A quoi pouvait-elle donc bien servir ?

Le sexe de maitresse Diane était déjà humide et gonflé. Les lèvres, le clitoris, toute la vulve était prête, démesurée, excitée. Elle ne nous avait pas attendu pour prendre son apéritif de plaisir. La seconde différence remarquée était le manque d’entretien de sa pilosité. Valérie, Nathalie et surtout Lydia avec une épilation complète, se préoccupaient de ce sujet, alors que la femme devant laquelle je me trouvais ne devait pas s’être rendue chez une esthéticienne pour cette partie du corps depuis la rentrée scolaire. Au moins, elle sentait le savon.

Les mains attachées dans le dos avec les menottes et ma position incongrue avec les épaules en-dessous du bassin ne me permettait pas d’agir ni de me guider comme je le souhaitais. J’attaquai avec la langue alternant juste entre le clitoris et les lèvres, ne m’aventurant ailleurs que comme la promesse d’un futur plus glorieux. Très vite je compris que mon dos arrondi me ferait mal sous peu, comme mes épaules et ma nuque. Je relevai un peu la tête, mais ce n’était pas du goût de maitresse Diane, qui la plaqua contre elle, nous enfonçant un peu plus dans le canapé.

Pour la première fois, je voulais en finir vite. Entre mon envie de pisser, les boules de Geisha et les pinces sur mes tétons que j’avais depuis une heure, je n’aurai ni l’énergie, ni la concentration pour m’investir à ma tâche. C’étaient, plus encore mes douleurs, mon équilibre instable et l’absence de mes mains qui me contraignaient.

Elle ne réagissait pas comme je le désirai. Ma langue lui était insensible. Je la déplaçai entre les différentes zones érogènes, cherchant à trouver son point sensible, alternant les positions, les durées les pressions exercées comme un compositeur refaisant la même rengaine, la variant jusqu’à trouver la mélodie parfaite.

De temps en temps je regardai discrètement sur le côté, observer l’autre binôme, comme Sébastien l’avait souvent fait deux jours auparavant, cherchant l’inspiration. Mon voisin, aux mains libres, avait maintenant glissé ses doigts dans les orifices de Ladyscar, et même si celle-ci semblait blasée, je la voyais parfois s’approcher d’un instant fugace de perte de contrôle.

La persévérance est une qualité. Malgré les handicaps dont je jouissais, je finis par trouver, cette complémentaire complexité de différents mouvements qui l’amenèrent en vibration, puis ajustant la fréquence, je la vis entrer en résonance. Ma langue s’insinuait en rythme, ressortait pour titiller le clitoris et rentrait à nouveau. Je m’activai, mais par deux fois, alors que je sentais son extase proche, elle usa de sa main, me tirant les cheveux, s’échappant du précipice dans lequel je la menais maintenant assurément.

Voulait-elle prolonger le plaisir ou juste m’empêcher de l’amener à jouir ?

Je me tournai vers ma maitresse, l’interrogeant du regard.

  • Le cunnilingus est magnifique, mais ce n’est rien sans la complémentarité des doigts, dit-elle. Ce ne serait pas poli de ma part et de la tienne de le lui dénier, poursuivit-elle, s’adressant à moi, repoussant Ben, prenant les clés des menottes dans son sac proche et me libérant les mains.

  • Merci, maitresse. Je vais tâcher de faire preuve de plus d'hardiesse à la tâche et de ne pas vous décevoir, validai-je devant une lueur d’inquiétude qui ombrait dans le regard de maitresse Diane.

Maintenant que je savais où et comment agir, que mes douleurs dorsales avaient disparu, que mon équilibre était stabilisé, mais surtout que mes mains étaient libérées, je ne tardai guère à l’emmener à la limite de l’extase.

Elle se défendit à nouveau. Me tirer les cheveux ne suffisait pas. Elle chercha d’abord à me repousser avec les mains, mais mon poids était cette fois mon allié. Elle chercha à me frapper les couilles de son pied, mais là encore un allié inattendu s’interposa, ma cage. Avec son genou, elle tenta d’attraper la chainette, mais c’était trop tard.

Mes doigts s’étaient insinués, insérés profondément en elle. Chaque mouvement la mettait en transe. J’accélérai le rythme ; son corps, docile, m’accompagnait, la trahissait. Elle s’abandonnait, ne résistait plus. Je glissai maintenant un de mes doigts dans son anus.

Comme avec Lydia, je ne voulus lui offrir aucun répit. Je voyais Ladyscar qui prenait également son plaisir, mais c’était uniquement en voyant son amie se tordre. Elle remercia même son soumis qui devenait rouge et épuisé et lui demanda de nous amener des boissons. Tandis qu’il sortait de la pièce. Ladyscar me fit signe de continuer, m’encourageait.

Je repris de plus belle. J’ajoutai un second doigt dans son anus, les enfonçant encore un peu plus profondément. Ma bouche captura le gland de son clitoris si facilement. Je le suçai, l’aspirer, de plus en plus fort, de plus en plus rapide, le rendant si sensible que lorsque je me retirai et approchai mon doigt, son corps entier se soulevait, se contractait, se troublait devant chaque caresse, chaque chatouillis, et même à chacune de mes menaces.

Comme une proie à l’agonie, elle chercha une dernière émulation pour me repousser, mais l’énergie et la volonté n’y était plus. Elle releva le haut de son corps, mais Ladyscar la repoussa profondément dans le canapé. Elle se joint à nous, glissa sa main dans le haut de sa robe pour en dégager, l’un après l’autre les deux seins qui ne demandaient qu’à réagir à ses caresses. Elle les malaxait doucement en rythme avec mes mouvements, comme un bassiste apparaissant peu à peu à l’arrière de la scène renforçant la quintessence d’un solo de guitare. Elle suça ses tétons, les pinça de ses lèvres.

Peu à peu, elle tira le corps abandonné et l’allongea. Je me déplaçais lentement à son rythme sans lâcher son triangle noir. Je tournai autour du canapé, me retrouvant dans une position encore plus confortable lorsque les fesses de maitresse Diane se retrouvèrent réhaussées sur le coussin occupant le coin du siège. Je pouvais poursuivre le supplice, aussi longtemps que ma maitresse ou ma vessie me laissait agir, au premier des deux.

Maitresse Diane jouit plusieurs fois ainsi, espérant chaque fois que Ladyscar me demanderait d’arrêter. Mais la pitié n’était pas un sentiment majeur dans la panoplie de Ladyscar. Elle s’arrêta même pour se servir à boire, se délectant du vin servi alors que son amie cherchait par crânerie à attraper son verre, n’y arrivant pas. Je l’excitai avec précision, comme une horlogerie, l’obligeant à se rallonger à l’instant que je le désirai.

Ladyscar finit par le lui tendre. Maitresse Diane l’attrapa, la remerciant. Je diminuai l’intensité pour la laisser profiter d’une gorgée, mais le clin d’œil de Ladyscar était limpide quant à son intention. J’activai brutalement ma besogne, comme une fausse note, un couac dans cette partition. Une brusque extase, l’empêcha de le maintenir droit. Le vin se renversa sur sa robe à plusieurs milliers d’euro. Ladyscar était aux anges. Elle reprit le verre d’un air faussement contrit avant que notre hôtesse ne puisse en jouir, ne serait-ce que d’une goutte, et le reposa, sur le plateau, hors de portée de sa propriétaire.

J’avais une certaine fierté d’avoir la maitresse la plus sadique. Je poursuivis un bon quart d’heure, camouflant que le préjudice fait à la robe était la touche finale recherchée, avant que Ladyscar me fasse signe que je pouvais m’arrêter. Je la terminai sur un dernier orgasme et sarcastiquement lui demandai.

  • Est-ce que Maitresse Diane veuille que je poursuive ?

  • Non…. Cela ira… Pour l’instant, répondit-elle entre deux respirations.

  • Veux-tu boire quelque chose ? me proposa Ladyscar.

  • Je ne peux plus rien boire, répondis-je, plié en deux serrant ma vessie.

  • Ah c’est vrai, j’oubliais. Tu peux aller aux toilettes. Tu ne t’es pas trop mal débrouillé, ajouta-t-elle en me souriant. Ben, montre-lui où c’est, ordonna-t-elle.

Maitresse Diane n’avait pas encore repris totalement ses esprits quand je revins des toilettes. J’attendais, debout, nu, cage, cockring, pinces, et boules de Geisha en place, mais soulagé. J’avais passé mon premier défi. Ma maitresse était contente. J’étais fier.

En revanche, je savais aussi que Maitresse Diane s’en souviendrait et que je sentirai, avant la fin de ce weekend, le retour de bâton.

Plumes toujours aussi plaisante… et une évolution des plus intrigante, vivement la suite du week-end! Et merci pour le plaisir de cette lecture!!
Rivalité entre femmes par soumis interposé. Premier riund incontestablement en faveur de Ladyscar.
Le chapitre suivant est https://fessestivites.com/recit/197315
Publicité en cours de chargement