Premières expériences et engrenages : Chapitre 78 : Enchainement

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Ce récit est la suite de : Premières expériences et engrenages : Chapitre 77 : Tentation
il y a 1 an

Chapitre 78 : Enchainement

Ma queue bandait à nouveau, comme si elle était arrivée à la même conclusion qu’elle.

  • Non. Ce n’est pas tant pour la punition, c’est pour sa confiance, précisai-je.

  • Tu lui fis confiance quand tu as mis ta cage de chasteté pour la première fois. Elle aussi te ment parfois.

  • C’était pour mon bien, répondis-je, cherchant à m’en convaincre.

  • Je comprends. Un petit plaisir masturbatoire ne fait pas le poids contre une promesse donnée à sa maîtresse. Mais si on équilibrait la balance.

Je ne compris pas avant qu’elle ne se séparât de sa culotte.

Sous sa tenue courte de soubrette, elle avait, jusqu’à quelques secondes encore, une petite culotte noire, un string dont le triangle facial ne couvrait pas la paume d’une main. Elle fit ensuite tomber ses chaussures et posa un de ses pieds sur la baignoire à quelques centimètres de moi. Elle releva sa jupe me dévoilant un triangle rasé très court, somptueux.

  • Et là ? Pas d’envie ? Qui saura si tu me la mets ? ajouta-t-elle en commençant à se masturber.

Ses doigts glissaient entre ses grosses lèvres, s’humectant, s’humidifiant. Elle retira son pied puis approcha sa chatte à portée de mon visage.

  • Alors que vaut ta promesse à Ladyscar, si on équilibre cela avec ton dépucelage, dit-elle en enlevant finalement ses derniers vêtements, y compris sa jupe.

Oui, me demandai-je, en la voyant nue devant moi. Qu’est-ce que cela valait ?

  • Je…Non… Il..., protestai-je maladroitement, en me reprenant.

  • Que préfères-tu ? Fellation, pénétration, ou bien mon cul peut-être. Si je te soulage de la main, tu auras tout perdu, dit-elle en me caressant le sexe. Il faut bien que tu te décides maintenant.

  • Rien de tout cela, réagis-je enfin en essayant de lui enlever la main, mais celle-ci s’était serrée sur mon sexe.

    • Mon jeu ne t’intéresse pas ? dit-elle en entrant dans la baignoire.

Elle se mit face à moi, s’agenouillant juste au-dessus de ma verge, sur mon bas-ventre. Elle baissa les fesses, pliant ma bite à sa base, tandis que son doigt, le bras en arrière, me massait le gland. Sa seconde main s’appuya sur mon torse. Elle feignait le rapport sexuel comme si elle chevauchait ma verge. Elle en mimait le mouvement, me masturbant avec ses fesses. Elle en simulait le bruit, des gloussements, des expirations, des râles, comme si la jouissance montait en elle.

Tout cela n’avait qu’un but, m’exciter. Et cela fonctionnait. Je ne voulais pas et j’essayais de la repousser. Mais, enfoncé dans cette baignoire, ma position était difficile. Je ne pouvais me relever. J’usai une de mes mains pour attraper la sienne qui manipulait ma bite. Elle n’attendait que cela. Avec son genou, elle me pressa l’avant-bras contre le bord de la baignoire. La douleur m’obligea à la lâcher.

  • Tu vas jouir ! Tu vas éjaculer dans la baignoire ! Pour rien ! Sans dépucelage ! Après deux semaines d’abstinence !

Sa main attrapa plus vigoureusement mon sexe. Elle avait le mouvement leste et efficace.

  • Non. Je ne veux pas.

  • Ton sexe ne semble pas du même avis, commenta-t-elle.

J’avais lu quelque part qu’on ne pouvait pas violer un homme. Cette assertion ne me parut pas si évidente en ce moment précis. Je ne devais pas éjaculer, mais juste bander un peu, cela ne pouvait-il pas me faire du bien ? Je savais que si je m’engageais dans cette pente, je ne la remonterai pas. A la différence de Ladyscar, Lisa n’arrêterait pas quand elle sentirait l’irrésistible envie monter en moi.

  • Non, arrête ! Les maîtresses ne veulent pas.

  • Elles n’en sauront rien. Toi, tu n’en as pas envie ?

  • Je ne décide pas, reprenant une phrase que Lassie avait dit peu avant. Mes envies ne sont pas importantes.

  • Alors disons, qu’en cet instant, mes envies et les tiennes coïncident.

  • Lisa, parlons franchement. Vous ne le faites pas pour votre plaisir. Vous cherchez à me faire punir ou me mettre à dos les maîtresses. Peut-être même les deux.

  • Tu as raison, dit-elle en relâchant mon sexe que cette discussion avait ramolli. Je te trouve bien résistant à tes désirs et si prompt à répondre aux leurs.

Je ne répondis pas. Elle se releva et sortir du bain.

  • Ne tarde pas trop, me méprisa-t-elle en se rhabillant.

Je plongeai corps et tête dans l’eau pour me rafraichir. Quand je la ressortis, Lisa quittait la salle de bain. J’entrevis, alors qu’elle ouvrait la porte, Ladyscar qui me souriait.

Ainsi la tentation portait le sceau de ma maîtresse !

Plongeant à nouveau la tête dans l’eau, j’enlevai les élastiques de mes couettes et me fis un shampoing. J’avais beaucoup transpiré et c’était vrai, qu’outre le bienfait sur mes testicules, le bain m’avait reposé. Je me nettoyai enfin l’anus, y détachant des croutes de moutarde. Des toilettes étaient présentes dans la pièce. Je sortis du bain un court moment pour y faire mes besoins, puis y retournai, et finissais de m’y nettoyer.

Je sortis finalement une bonne demi-heure plus tard, ne voulant abuser plus de mon hôtesse. Le problème était qu’il n’y avait pas de vêtement dans la pièce. Je gardai pudiquement une serviette autour de moi, trop petite pour me couvrir entièrement, mais que je ceignis autour de ma taille et je sortis dans le couloir. Je pénétrai dans la chambre bleue, espérant trouver quelques vêtements sur le lit, à mon intention, mais rien.

Je décidai finalement de descendre, heureux de ne plus avoir de cage de chasteté à porter. Entendant du bruit dans la salle à manger, je m’y dirigeai.

Les maîtresses, sauf Ladyscar, étaient attablées avec leurs invitées, Valérie et Nathalie qui avaient remis les vêtements avec lesquelles elles étaient venues. Ben faisait le service totalement nu à part sa cage. Nathan et le dernier soumis étaient encagoulés, ne leur permettant ni d’entendre ni de voir autour d’eux. Appuyés contre le mur, ils attendaient immobiles. Elles en étaient au dessert.

  • Tu n’avais pas à descendre la serviette, me dit Maîtresse Diane. Pose-là sur le canapé du salon et va manger un peu dans la cuisine.

  • Oui, Maîtresse, répondis-je avant de traverser le couloir.

La pièce n’était pas déserte.

Lisa était là, attachée au mur, nue. Les bras, allongées vers le haut, étirées ensemble, étaient enserrées dans des cordes au motif géométrique artistique, maintenant ses coudes ensemble, dans une contorsion que je ne serais probablement pas capable d’exécuter. La corde se terminait dans un anneau fixé sur le mur, à plus de deux mètres de hauteur. Ses jambes, écartées, bien plus que je ne pourrai également, étaient maintenues par des bracelets de cuir aux chevilles. Ces bracelets étaient pourvus d’anneaux et des cordes, les reliant également à deux autres fixations sur le mur légèrement surélevée, l’obligeaient à se maintenir sur la pointe des pieds.

Elle portait un masque sur les yeux, un bâillon, en forme de gode, percé, tourné vers l’intérieur de sa bouche, un collier d’esclave, des pinces à seins, plus douces que celles que j’avais supportées toute la matinée. Au niveau du sexe, on pouvait admirer deux plugs en compétition au niveau du sexe, l’un au-dessus de l’autre, plus un troisième dans le cul. Ils étaient tous reliés par des fils électriques à une boîte posée sur un guéridon.

L’interrupteur était éteint.

Je la regardai à nouveau, attiré par un nouvel élément, des grosses pinces attachées aux lèvres de son sexe, alourdies avec des poids de plusieurs centaines de grammes qui les lui étiraient, les lui déformaient sur plusieurs centimètres. Une sorte de string, plutôt de cordelette, maintenait les trois plugs, les cordes se prolongeaient, derrière elle, passaient à travers un anneau mural et redescendaient sur des poids qui étaient attachés au-dessus de sa tête.

Ces poids exerçaient une pression dont je devinais bien le rôle, enfonçant les plugs un peu plus à chaque mouvement de la victime. Était-ce sa punition pour ne pas m’avoir fait craquer, éjaculer ? J’avais envie de de la toucher, de tirer sur les cordes, d’allumer l’interrupteur.

J’enlevai ma serviette, que ma verge en se redressant avait entrouverte. Je la posai sur le dossier d’un des fauteuils, avec l’intention de partir à la cuisine et de continuer à suivre les ordres.

  • Nous allons jouer avec elle. Tu veux participer ? me demanda Ladyscar depuis l’entrée de la pièce.
Lire la suite : Premières expériences et engrenages : Chapitre 79 : La servante est au courant
🍺
Belle perspective ^^
superbe
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