Premières expériences et engrenages : Chapitre 88 : Cent queues ni tête

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Ce récit est la suite de : Premières expériences et engrenages : Chapitre 87 : Changement de règles
il y a 1 an

Chapitre 88 : Cent queues ni tête

Je ne me rappelle pas tous les instants de cette soirée. Comme les hommes, ils se succédèrent par devant et par derrière, et en les relatant j’appréhende de commettre des erreurs chronologiques. Au début j’avais quelques appréhensions. Je craignais de devoir subir plus que ce pourquoi j’étais là.

Il y avait tellement de choix, de perversions, de gens et d’idées associées à chaque, tellement de chose pouvait se passer durant ces prochaines heures. Mais, comme si des commandements avaient été écrits, ils ne firent que ce pourquoi leur numéro avait été tiré des chapeaux.

J’eus bien le droit à quelques gifles et de nombreuses fessées que je reconnaissais, au vu de ce que j’avais subi, plus sensuelles et sexy que sadiques ou douloureuses. Lassie se plaignait même qu’ils ne se laissent pas aller à un peu plus de force, d’assurance, de masculinité, ranimant ainsi les sensations connues avec mes camarades d’étude. Parfois quand l’homme s’avérait avare dans sa semence, elle l’asticotait en l’insultant de petites couilles, remerciée la plupart du temps par une gifle méritée autant que désirée.

Je supposais néanmoins que l’homme, qui m’avait serré les boules et qui fut jeté hors de la boîte, avait amené les autres à réfléchir, à se modérer et à se contenir.

Moi, toujours j’évitai de les regarder. Certain de ne pas vouloir les reconnaître demain si je devais les croiser dans la rue. La plupart ne parlaient pas et faisaient juste leurs petites affaires, parfois dirait-on presque sans plaisir au grand désarroi de ma Lassie qui commençait à s’éclater. Certains avaient une odeur dérangeante corporelle ou juste au niveau de la verge que même Lassie insupportait. Pour d’autres, en revanche, le corps jeune ou musclé l’excitait et elle s’appliquait sur leur fellation cherchant même à leur offrir un tour de piste gratuit.

Je ne comptais ni le nombre, ni le temps, mais j’aurai eu à estimer, je dirais après une quinzaine de membres de chaque côté et une ou deux heures de dépasser, je reconnus une voix derrière moi.

  • Alors, on ne dit pas bonjour à une de ses connaissances ?

Il s’agissait du petit copain de mon voisin. Le gorille, comme je l’avais surnommé par son physique et dont le comportement ne déteignait pas, me murmura encore quelques mots que le bruit couvrit. J’étais presque content de ne pas l’avoir entendu. Il me pénétra brutalement, volontairement brutalement. J’aurai mordu ce que j’avais dans la bouche si ce n’était pas la verge d’un jeune homme musclé, tatoué, à ne pas mettre en colère, qu’il y avait à ce moment-là au fond de ma bouche. Le genre de gars que je ne voudrais pas croiser dans une rue déserte la nuit et, en face de qui, je n’hésiterai pas au mieux à changer de trottoir, au mieux à m’enfuir.

J’aurai voulu m’appliquer, me concentrer plus intensément sur lui, mais derrière, Christian, dont je venais de me rappeler le nom, s’évertuait à me défoncer le cul, modifiant le rythme, la vitesse, la fréquence, la force et la profondeur, m’empêchant de m’habituer, cherchant des angles différents. Il m’irritait le cul plus que tous les autres. Avait-il utilisé un préservatif différent, car je ne sentais pas le lubrifiant habituel de ses prédécesseurs ?

Un doute m’apparut soudain. L’avait-il enduit de quelques produits, comme j’avais pu le subir précédemment ? Même si je ne l’ai jamais su, l’inconfort que je subissais en cet instant me resta pour le reste de la soirée. Alors que je voulais prévenir Basile, Lassie me fit taire, m’avouant qu’elle préférait mon cul comme cela, cela devenait trop soft et ennuyeux à son goût.

Pendant de longues minutes, il poursuivait ses va-et-vient. Se retenant pour me garder le plus longtemps possible. Basile qui l’observait, déteignant parmi les autres enculeurs de Lassie, fit signe à un de ses hommes qui l’interpella. Il était temps qu’il laisse sa place.

Basile me laissait quelques minutes de répits entre chaque couple d’hommes. Il voulait juste savoir si j’allais bien. Parfois il me disait quelques mots, qu’il devait estimer réconfortant, à son niveau. D’autre fois j’eus le droit à un verre de vin. J’aurai préféré de l’eau mais je ne voulais pas abuser. Il n’avait jamais eu l’intention de me détacher. J’étais convaincu qu’il le savait déjà, alors que nous discutions encore dans le vestiaire.

Je cherchais à réfléchir un peu. Si c’était le patron de la boîte, alors c’était avec lui que mes maîtresses avaient arrangé ma venue. Ils se connaissaient avant cette rencontre, faussement fortuite dans le vestiaire. Je m’étais encore fait manipuler. L’idée devait être de Ladyscar. Elle était la meilleure pour cela. Un nouveau couple d’hommes, tiré au sort s’avançait. Je ne voulais toujours pas les regarder, mais cela faisait longtemps que Lassie ne m’écoutait plus.

  • Basile voudrait savoir si vous vouliez vous faire sucer maintenant ? me demanda Pixie avant qu’il ne s’approchèrent.

C’est la seconde ou la troisième fois qu’il me posait la question. Donc c’était devenu notre plaisir de dire non. Lassie parce qu’elle voulait encore plus subir les outrages qui la comblaient. Moi, parce que je ne voulais pas sucer. Je savais qu’elle était l’étape suivante et je ne voulais pas me dépuceler sur un mec. Sauf si c’était un autre soumis, Tommy, Pixie commença à me proposer Lassie, choisissant parmi ceux qui me faisait le plus d’effet. Non je ne voulais pas l’écouter, mais je savais qu’elle l’emporterait car j’étais seul contre tous à lutter. De plus en plus mon avis passait inaperçu à ses yeux et elle agissait comme bon lui plaisait. Ce que je craignais était en train d’arriver.

Cela ne lui déplairait pas, mais pour l’instant elle voulait des bites, des grosses, des rugueuses, des pleines de spermes. Elle en voulait encore. Elle voulait revenir devant mes maîtresses en affichant un record. Et puis quelque part je sentais qu’elle voulait aussi, pour je ne sais qu’elle raison que ma première relation fût avec une fille. Je la soupçonnais d’être le contraire de Lisa, soumise avec les hommes et dominatrices avec les femmes. C’était étrange comment cette seconde personnalité avait des goûts différents de moi. Est-ce que cela signifiait quelque chose ? Je me renseignerais.

En tout cas sur ce point, nous restions d’accord pour faire de notre mieux à en retarder l’échéance. Nous résisterions. L’objectif de Basile était clair, peut-être même dicté par mes maîtresses, lui valant plausiblement ,comme Lisa, une punition s’il échouait.

  • Vidons d’abord ces chapeaux, nous verrons après, lui répondis-je, ou c’était peut-être Lassie.

De nouveaux hommes remplacèrent les précédents. L’un d’eux, un peu violent, me permit d’évacuer quelques larmes que Lassie retenaient depuis plus longtemps que moi. Cela pourrait vous paraitre étrange mais plus la soirée avançait, plus je me disais que si je n’avais pas à m’activer sur ces queues qui entraient dans ma bouche, je crois que je me serai endormi en me faisant enculer. Une certaine répétitivité, une monotonie de ce que je subissais me fit presque juger comique la situation.

Pour finir, sans que je m’y attende, on me détacha. Était-ce fini ? Le seau, les seaux étaient-ils vides ? Était-il six heures ? Devais-je partir ? Rien ne me semblait probable.

Mes jambes ne tinrent plus mon corps et ce furent les videurs, m’ayant attaché quelques heures plus tôt, qui m’aidèrent à me relever, le temps que mes jambes reprennent leur rôle. J’avançais maintenant avec des pas hésitants sur le bord de la piste.

  • Danse ! me demanda Basile. Au milieu de la piste, dit-il alors que je cherchais à m’approcher de lui.

On retira le cheval d’arçon. On me guida vers le centre. A chaque pas, je reprenais un peu plus d’assurance. Un chemin s’ouvrait au milieu d’hommes que je ne regardais toujours pas. Le visage penché, les yeux au sol, j’avançais.

Qu’avaient-ils maintenant prévu ? me demanda Lassie, galvanisée par l’énigmatique et inexploré conséquence de ma réponse un mois plutôt à Ladyscar et des roues de l’engrenage qui m’avait amené ici, convaincue que les six heures du matin libératrices étaient encore hors de notre portée ? Rien de bon pour moi, lui répondis-je.

Lire la suite : Premières expériences et engrenages : Chapitre 89 : Au milieu de la piste
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