Premières expériences et engrenages : Chapitre 90 : Dépucelage

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Ce récit est la suite de : Premières expériences et engrenages : Chapitre 89 : Au milieu de la piste
il y a 1 an

Chapitre 90 : Dépucelage

Une nouvelle verge entra dans ma bouche. L’homme m’obligea à l’avaler profondément. Cela n’arrangeait pas Lassie. L’étranglement, l’étouffement généré, l’envie de vomir, brisèrent son excitation et je sentis ma propre verge redevenir molle dans la bouche de Tommy.

Pixie nous rejoint. Il me massa et suça mes boules avec application et douceur dans le but évident que j’éjacule, toujours empêché par cet homme qui tenait à me faire vomir. Il la sortait pour m’aider à respirer puis recommençait, l’enfonçant le plus profondément possible sans rechercher sa propre jouissance.

Derrière, de quatre doigts, nous passâmes à cinq. Je venais de comprendre leur intention, il voulait me fister, m’enfoncer le bras dans le cul. Je repensais à ce que Nathalie disait de mon trou du cul, à quel point il s’agrandissait. Lassie gémit à l’avance de sentir ce bras.

Sur internet, j’avais vu des filles recevoir ce membre plus grand, plus large plus long, mais dans leur chatte. Je ne savais pas que cela pouvait se pratiquer dans le cul, je ne savais pas que c’était si extensible. Il est vrai que je ne recherchais, ni ne regardais la pornographie homosexuelle. Mes plaisirs étaient différents. Ils avaient été, me corrigea Lassie, grivoise.

Les mains qui me caressaient se multiplièrent. Mes tétons, mes cuisses, mes fesses furent la cible d’attaques organisées. J’entendis la voix de Basile au micro, baissant la musique.

  • Ce garçon a besoin de notre aide. Il n’a pas encore compris qu’il était homosexuel. Demain il espère faire l’amour avec une femme et nous oubliera. Est-ce que c’est cela que vous voulez ? demanda-t-il en haussant de fréquence, incitant la foule à répondre.

  • Non, répondirent en cœur les hommes autour de moi.

  • Pour que cela n’arrive pas, il faut lui faire passer ce soir une meilleure soirée. Il faut que demain il ne puisse éprouver aucune jouissance avec des femmes. Il faut que vous lui vidiez les couilles, termina-t-il, hurlant presque .

  • Ouai, beuglèrent les hommes.

  • Il n’a pas éjaculé depuis quinze jours. Il a les bourses pleines. Vous en voulez. Il y en aura pour tout le monde. C’est une nuit blanche !

  • Ouai, répondit à nouveau la foule, celle-là même que je craignais, celle-là même dont Basile devait me protéger.

Le poing finit par entrer, synchronisé au discours et au sperme de l’étrangleur dans ma bouche. Il y resta longtemps après. Je dus nettoyer sa bite plusieurs minutes avant qu’il ne daignât l’enlever. Il m’empoigna les cheveux, releva ma tête, en me tirant dessus, m’obligeant à le regarder. C’était mon voisin.

  • Tu ne pouvais pas attendre dimanche qu’on te dépucèle ! Et à part cela tu n’aimes pas les hommes, le mytho !

Un autre homme se postait déjà derrière lui, je ne regardais à nouveau que ses jambes. Les tirages se poursuivaient. A peine était-il parti, libéré de cet étranglement, que je sentis ma verge se durcir. Lassie se faisait des fantasmes de ces deux hommes et de ce que je pourrai subir en habitant qu’à quelques étages d’eux. Lassie trouvait des formes dégradées qu’ils auraient d’utiliser mon corps : des images honteuses de moi, des tenues indécentes, des positions ouvertes…

Je sentais les deux soumis, affamés de mon sexe, qui, comme Lisa, pourvus d’une mission et sans aucune envie d’échouer, m’abrogeait tout répit.

Le bras dans mon cul me massait l’intérieur. Il atteignit une zone que je ne connaissais pas. Même si parfois par le sexe des hommes ou le strap-on de Lady Christine, j’en ressentais quelques excitations, ce n’était en rien comparable à ce que j’éprouvais maintenant. J’avais l’impression incongrue qu’on me branlait de l’intérieur.

Devant l’homme qui passait après mon voisin prenait son temps avant d’introduire sa bite dans ma bouche. On sentait qu’il n’avait aucune envie de l’enfourner. Je ne contrôlais plus mon plaisir. Il fallait qu’il me l’enfonçât, comme celle d’avant, qu’il me donnât une nausée salvatrice et castratrice. J’essayai de faire de grands mouvements pour en mettre une plus grande partie dans la bouche, mais il se retirai quand j’avançais.

Mon Dieu, je ne tiendrais plus longtemps. Je levais les yeux, probablement pour la première fois volontairement, pour découvrir Sébastien, l’un des valets de Maîtresse Diane, le métis. Il s’était tellement reculé que j’en profitai pour sortir sa queue de ma bouche.

  • Plus fort ! Enfonce-la moi plus profond ! Défonce-moi la gueule ! l’implorai-je.

  • Non, répondit-il en s’accroupissant. Tu n’aimes pas cela. Maitresse Diane me l’a dit. C’est pour cela que tu résistes à l’orgasme. Cela t’empêcherait d’éjaculer, si je faisais ce que tu me demandes. Mais il faut que tu éjacules.

  • Pourquoi ?

  • Comme Basile l’a dit. On veut te garder que pour nous. Basile et Ladyscar ont fait un pari, ils ont un accord. Si demain tu ne réussis pas à faire l’amour avec une femme… commença-t-il sans finir sa phrase.

Ejaculer ce soir, éjaculer encore et encore et me retrouver demain à ne pouvoir faire l’amour à une femme ! Non ! Hors de question ! Sans compter que je ne voulais pas connaître l’enjeu du pari. Mais, peu aidé de mon corps, je savais que je ne retardais plus l’échéance.

J’avais l’impression d’être la chèvre de Mr Seguin, qui lutta inutilement toute la nuit, même si elle savait ce qui arriverait le lendemain matin. Je voulus penser à des moments désagréables, familiaux ou d’autres si peu excitant. Mais mon esprit transformait les situations, les visages, les plaisirs avec la complicité malsaine de Lassie. Tu crois que si Ladyscar perd, nous aurons le droit à cela tous les samedis ? me demanda-t-elle, dégustant avec délectation le plaisir qu’elle accaparait.

Finalement ce qui devait arriver, arriva. J’éjaculai dans la bouche de Tommy. Pas qu’un peu ! Encouragé par cette réussite, il avait poursuivi son exaction, obtenant une récompense proportionnelle à son mérite.

Une honte passagère me la mollit, mais insatiable il continua, s’arrêtant juste un instant pour exposer autour de lui le résultat de son succès. Des applaudissements envahirent la salle progressivement, comme une énième humiliation.

Lassie, à bout de souffle, obtenant son graal et sa jouissance, se retira de moi aussi vite que mon excitation, me laissant encore plus me morfondre de l’instant. Un nouvel éjaculat envahit ma bouche, cadeau de Sébastien, tandis que le poing ne m’apportait plus que douleur.

Un nouvel homme se mit devant moi, remplaçant Sébastien. C’était un autre valet de Maîtresse Diane, Ahmed, si j’en croyais Lisa. Il me montra juste sa montre. Elle indiquait six heures moins dix.

Si tard ! Dix minutes encore !. Je soufflai. C’était bientôt fini.

Lire la suite : Premières expériences et engrenages : Chapitre 91 : Drôle de matinée
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