Premières expériences et engrenages : Chapitre 24 Seconde douche froide

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Ce récit est la suite de : Premières expériences et engrenages : Chapitre 23 Première fois
il y a 1 an

Le début de cette saga est ICI Chapitre 24 : Seconde douche froide

Cette semaine n’en finissait pas. Nous étions jeudi et ma cage ne serait pas enlevée avant le weekend en huit. C’était trop long. Aujourd’hui j’avais décidé de ne pas répondre et de ne rien faire aux diverses sollicitations. Quelque soit ce que Nathalie, Valérie, ou Ladyscar prévoyaient pour moi ! Mais alors que je me faisais cette promesse, je savais que mes penchants naturels n’en tiendraient pas compte, s’en moqueraient. J’étais même convaincu que, d’ici un ou deux jours passés sans ordre, c’est moi qui les quémanderais.

Je préparai mon sac pour aller en cours, quand je me rappelai que j’avais deux heures de sports. Pourquoi avait-on besoin de pratiquer du sport pour être ingénieur ? Je m’énervai dix minutes sur le programme de mon école avant de chercher une solution. J’optai pour un slip moulant, recouvert d’un caleçon et d’un jogging. Heureusement que ce n’était pas l’été. Nous entamions le second trimestre et pratiquerions probablement un sport en salle.

Le problème, ce n’était pas le sport lui-même mais la douche qui devait la suivre. C’était obligatoire et personne ne se douchait, habillé. Malgré mes tendances, je restais un peu prude vis-à-vis de mon corps, j’étais mal à l’aise au milieu des autres garçons durant ces moments. Et si mes expériences récentes m’aideraient à progresser, je ne m’imaginais pas d’avoir une cage de chasteté dans les vestiaires masculins de mon école. En plus le sport était suivi d’un autre cours ne me permettant pas de prétexter une douche chez moi.

Je tournai en rond. Je n’allai pas me briser la jambe quand même. Sous la pression, je trouverai une idée, me lançai-je comme défi. Je ne pouvais éviter la douche si je pratiquais le sport, il me fallait donc éviter le sport. J’avais jusqu’à quatorze heures.

La matinée se passa plutôt bien, si j’omettais la main de Nathalie, sous le pupitre, tripotant ma cage et me serrant les couilles, se vengeant de la veille. Elles étaient encore si douloureuses que je devais serrer les dents pour ne pas crier. Probablement l’apéritif de ce que je subirai ce dans huit jours.

Mon visage se crispait en cette fin de dernière heure de cours du matin. Je transpirais. La professeure de mathématique s’en aperçut.

  • Vous semblez malade. Vous devriez passer à l’infirmerie, me dit-elle alors que la sonnerie de midi sonnait, comme les clairons de la victoire.

Un ange gardien venait de se poser sur mon épaule. J’avais un plan. Tellement simple que je ne savais pas pourquoi je ne l’avais pas eu avant. Je gardai un air abattu et grippal, ce qui ne fut pas si éloigné de mon état, me levai le dernier et me dirigeai vers l’infirmerie.

Au rez-de-chaussée, proche de la partie administrative de l’école, elle occupait un coin du bâtiment intérieur. Je frappai à la porte.

  • Entrez, me répondit une voix suave.

  • Qu’est-ce qui vous amène, me demanda une jeune femme d’une trentaine d’année portant une blouse blanche.

Elle était blonde ; elle avait les cheveux courts, mais surtout deux grands yeux vert clair envoûtants. Je l’avais déjà vue et avais laissé poser sur elle mes yeux convoiteurs, mais je ne savais pas qu’elle était l’infirmière. Dommage, je n’étais pas souvent malade.

  • Je transpire, j’ai chaud et je me sens fébrile, sans force, avouai-je.

Elle s’approcha de moi et posa sa main sur mon front. Elle était plus grande que moi. Sa blouse n’était pas fermée au niveau du dernier bouton. Elle avait un soutien-gorge de dentelle noire qui se voyait par transparence. Mais là, dans nos positions mutuelles, je l’observai également par-dessus le décolleté que sa blouse formait. Le dessus de ses seins était bronzé et ne montrait pas de ligne de maillot de bain. Je l’imaginais en string à la plage, seins nus.

Il fallait que je pense à autre chose, car mon sexe me lançait de nouveau. L’excitation se poursuivait ratifiant les symptômes dont je me plaignais. Elle ne s’éloignait toujours pas. Sa main lâcha mon front pour tenir maintenant mon poignet.

  • Vos pulsations sont plutôt rapides.

Comment pourraient-elles ne pas l’être ?

  • Voulez-vous un cachet de paracétamol ? Vous n’y êtes pas allergiques ?

  • Non. Mais je dois avoir sport tout à l’heure.

  • Vous resterez sur le banc. Enlevez votre pull et votre chemise.

  • Ça ira, me risquai-je.

J’avais encore les stigmates de mes jeux précédents : brulure sur mes tétons, traces de pinces que j’avais gardées trop longtemps sur mon corps… Elle trouverait même des traces de griffures d’ongles et de morsures. J’avais beaucoup souffert. Y repenser, me gardait en excitation, se reportant sur cette superbe femme devant moi puis revenant aux souvenirs de mardi soir. Je l’imaginais avec nous.

  • Ce n’est pas une demande. C’est un ordre, dit-elle. Ladyscar ne mentait pas en disant que tu avais besoin d’être dressé.

Ce nom, prononcé ici, me tétanisa.

  • Vous êtes une… Vous…
Lire la suite : Premières expériences et engrenages : Chapitre 25 : L’infirmière
Belle suite mais trop court, on reste sur sa faim!!!!
C'ewt pour le moins inattendu, mais rebondissement qui promet.
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