Premières expériences et engrenages : Chapitre 25 : L’infirmière

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Ce récit est la suite de : Premières expériences et engrenages : Chapitre 24 Seconde douche froide
il y a 1 an

Le début de cette saga est ICI Chapitre 25 : L’infirmière

  • Une dominatrice ? Non. Je n’en suis pas une. Enlève tes vêtements ! Je ne vais pas te faire de mal, ajouta-t-elle en se dirigeant vers la porte.

Elle la ferma à clé, nous enfermant à l’intérieur. Je ne savais pas qu’elle était la sensation la plus forte, celle qu’on ne sera pas surpris ou celle d’être enfermé.

  • C’est normalement verrouillé de midi à deux. Personne ne nous dérangera.

Je n’agissais toujours pas. Je n’étais pas attaché cette fois. J’avais mon libre arbitre. Je l’exerçai.

  • Veux-tu que je te fasse un mot pour éviter le sport ou tu préfères t’exhiber avec ta cage sous la douche devant toute ta classe plutôt que devant moi.

Ladyscar lui avait parlé de la cage. Combien d’autres personnes comptait-elle faire intervenir ?

  • Que voulez-vous ?

  • Voir comment tu vas. Nathalie n’a pas été tendre avec toi. Ladyscar a hésité à la faire arrêter, mais comme elle voyait que tu appréciais.

  • Que j’appréciais !

Comment avait-elle pu voir cela sur la webcam ? Je souffrais le martyr !

Elle n’avait même pas tort. Même si elle était au-delà de la souffrance que je m’infligeais et à laquelle j’étais maintenant habitué, accoutumé, je n’avais pas voulu qu’elle arrête. C’était la première fois qu’une femme s’en prenait en réel à moi et mon excitation était grande.

  • Ladyscar m’a demandé de voir si tu avais besoin de soin.

Pas convaincu que cela se finirait bien si cela venait de ma manipulatrice préférée, j’ôtai néanmoins mes vêtements au-dessus de la ceinture.

  • Cela a l’air d’aller dit-elle en étalant un baume sur certaines zones plus douloureuses, en particulier dans mon dos que je n’avais pu soigner moi-même.

  • Merci, répondis-je.

  • Allons-y pour le bas. Je crois qu’elles ont aussi bien attaqué tes fesses.

Je me déshabillai complètement, un peu rassuré. Elle s’occupa du bas. Pas seulement de mes fesses, mais aussi de mes cuisses et termina par mes couilles. Nu devant elle, j’oubliai, par ses dernières caresses sensuelles, qu’elle me soignait. Je me mis à bander, contraignant une fois de plus la cage. J’étais convaincu que cet instrument n’était pas fait pour moi. Pas pour un garçon de dix-huit ans qui bandait fort et plusieurs fois par jour !

  • Ladyscar m’a aussi dit que tu étais vierge.

  • Mais elle ne vous a pas donné la clé de la cage ? espérai-je en me disant que j’étais prêt à faire changer cet état de chose, si elle continuait à étaler ce baume sur mes parties intimes du corps.

  • Non, répondit-elle avec un sourire désarmant, ajoutant à ma douleur. Mais elle m’a demandé de poursuivre ton éducation sexuelle.

  • Pardon ! m’exclamai-je.

  • Tu es inexpérimenté à certaines pratiques, certaines techniques. Ladyscar m’a demandé de t’y éduquer. Après tout, nous sommes dans une école. Tu es là pour apprendre.

  • De quelle pratique parlez-vous ?

  • Tu connais le cunnilingus ?

Tout ce que j’en connaissais de pratique, et de plus près, était la culotte de Nathalie que j’avais eue dans ma bouche. Cela me grattait la gorge d’y repenser.

  • Non, lui dis-je honnêtement.

  • Bien un peu d’anatomie d’abord, dit-elle en commençant à se déshabiller.

Elle enleva sa blouse, dévoilant un corps de rêve sous des dessous noirs affriolants qui ne la protégèrent que quelques secondes de plus. Elle s’assis sur le lit médical, nue et elle écarta ses jambes, dévoilant un sexe totalement épilé.

  • Approche-toi. Je ne vais pas te manger, dit-elle en les écartant encore un peu plus. C’est à toi de le faire, plaisanta-t-elle. Elle m’expliqua les différentes zones érogènes, jusqu’à son anus. Devant mon dégoût, elle me sourit.

  • Ce ne sera pas pour aujourd’hui, mais nous y viendrons une autre fois. Commençons déjà avec tes doigts.

Pendant plus de dix minutes, je pus jouer avec son intimité alors que mon sexe ne désemplissait plus de la cage. J’introduisis mes doigts, alternant caresses et pressions sous les commentaires actifs de ma nouvelle professeure.

  • Maintenant tu va refaire la même chose avec ta langue, m’ordonna-t-elle.

Je n’avais pas d’appréhension après qu’elle me fit lécher mes doigts. Je m’y employai avec l’esprit d’un étudiant qui, voulant impressionner son enseignante, reproduisait au mieux ce qu’on venait de lui montrer. C’était un de mes points forts de retenir et de refaire. Avec application, posément, réfléchi, je la vis passer du moment où elle cherchait à poursuivre ses remarques, aux félicitations, jusqu’à l’instant où c’était moi qui avais pris le contrôle, qui imprimais le rythme.

Je devinai, aux réactions incontrôlées de son corps, qu’elle jouissait. C’était la première fois que je voyais une femme jouir et je trouvais cela beau. Ce corps, habité de soubresauts, m’excitait. Je décidai que doigts et langue pouvaient agir de concert, j’espérai encore augmenter son plaisir.

Je sentis qu’elle cherchait à se dégager, à reprendre son souffle. Je lui refusai cette pause, frottant même mon visage contre son sexe, tandis que ma langue cherchait à entrer encore plus profondément en elle.

Mes doigts entrèrent en action. J’excitai d’une main son clitoris tandis que la seconde, prenant un peu d’avance sur les cours, caressait le contour de son anus, menaçant d’y entrer.

Epuisés tous les deux, je poursuivais néanmoins, voulant la mettre au pas. Me venger quelque part de ce que les trois premières femmes m’avaient fait subir.

Il était une heure et demie quand j’arrêtai.

  • Pouvez-vous me faire ce mot, pour le sport, madame l’infirmière, lui demandai-je avec une voix enfantine, alors que, nue, incapable de reprendre son souffle, ni un rythme normal de battements de cœur, après avoir eu, ce que j’appris plus tard, plusieurs orgasmes, elle me regardait extatiquement.

  • C’était votre première fois ? me demanda-t-elle.

  • Oui. Est-ce que cela valait la moyenne ? demandai-je.

  • Bien mieux, bien mieux.

  • C’est que j’ai eu une divine professeure, tentai-je de la charmer.

Lire la suite : Premières expériences et engrenages : Chapitre 26 : Le voisin
Très très belle description de la scène, merci!
💖💖💖
Très belle suite, bien écrite
Merci !! Vivement la suite !
L'infirmière profite à plein de la situation. Avantage qui n'est sans doute pas à négliger: elle est au courant et elle est dans la place. Alors en fonction de la façon dont les choses vont tourner...
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