Premières expériences et engrenages : Chapitre 31 : Soirée Pizza

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Ce récit est la suite de : Premières expériences et engrenages : Chapitre 30 : Conseils
il y a 1 an

Le début de cette saga est ICI

Chapitre 31 : Soirée Pizza

  • Je t’expliquerai. Les cours reprennent.

J’écrasai ma cigarette et le suivis. Ce grand macho était devenu soudainement et volontairement un homme soumis pour conserver sa copine. Alors que moi, uniquement masochiste, j’avais été amené contre mon gré dans la même situation, la même soumission. Durant deux jours, il ne se passa rien. Mercredi soir, après le TP de chimie, Nathalie, Valérie et Sébastien décidèrent de passer chez moi. Je n’avais même pas assez de chaises pour les recevoir. Ils prirent des pizzas sur la route.

C’était une soirée improvisée. C’est la première fois que je recevais des personnes dans l’appartement, pourtant de taille raisonnable, que mes parents me louaient.

  • Comment cela va avec cette cage ? me demanda Sébastien.

  • Parfois, j’oublie que je la porte ; cela m’inquiète.

  • Cela t’inquiète ? s’étonnait Valérie.

  • Je ne voudrais pas que d’autres personnes ne découvrent que j’en porte une. C’est assez… gênant, dis-je, butant sur le dernier mot.

Je voulais dire humiliant, mais je ne voulais pas gâcher la nouvelle relation de couple de mes amis. Après tout, lui, il avait choisi.

  • Qu’avez-vous prévu pour lui ce week-end, demanda Sébastien, jaloux de ne pas participer.

Après Vincent et mon voisin, voilà le troisième mâle qui croyait que je prenais du plaisir à vivre ses soumissions. Peut-être n’avaient-ils pas tort ? Je me plaignais, mais ne cherchais pas réellement de moyens de m’en échapper. En moins de deux semaines, j’avais connu plus de plaisirs et de douleurs que durant ma précédente vie.

En fait, ce qui m’ennuyait le plus était la part que j’adonnais à mes études. Je devais m’y consacrer davantage. J’avais déjà restreint tous mes autres loisirs, cinéma, sorties, lecture. Je ne révisais qu’à mi-temps, dès que je trouvais quelques minutes.

Entrés chez moi, une fois manteaux et pulls déposés, j’observai que Nathalie et Valérie étaient habillées très légèrement vêtues. Nous n’avions fait aucune allusion à comment la soirée se passerait, mais la question de Sébastien, restée en suspens, pouvait y inciter.

  • Nous ne pouvons pas en parler, nous dit Nathalie. C’est une surprise. Ladyscar a prévu plusieurs sessions. Nous ne participerons qu’à celles de samedi et dimanche après-midi.

  • Cela commencera samedi ? demandai-je.

  • Non, vendredi soir, commencèrent-elles à me raconter. Cela va être long, fatiguant et difficile.

  • Une initiation, un bizutage ? demanda Sébastien.

  • Tu veux vraiment le faire ? me demanda Valérie, sans répondre à son copain.

J’avais eu une certaine fierté à leur répondre positivement. J’étais habituellement le bosseur du premier rang et Valérie et Sébastien étaient les représentants du côté cool de l’école. Les surprendre positivement sur mes capacités, m’a donné une jouissance, stoppée par les barreaux de ma cage.

  • Comment vas-tu éviter le sport demain, me demanda Nathalie. Tu va encore prétendre être malade.

  • Oui, l’infirmière est au courant. Elle connait Ladyscar.

  • La grande blonde ? demanda Sébastien avec un peu trop de passion dans la voix.

  • Tu regardes les grandes blondes, l’accusa Valérie sur un ton sans compromission.

  • Non. Ce n’est pas ce que je voulais dire, bredouilla-t-il mal à l’aise.

  • Je te fais marcher. Elle est très belle. Je l’admets, ajouta Valérie, avec cependant dans le regard une lueur qui entendait, qu’une fois sa prison verrouillée, cette phrase lui serait ressortie.

  • Elle t’a enlevé la cage ? me demanda Nathalie, en vérifiant avec sa main.

  • Non. Elle m’a enseigné le cunnilingus.

  • Faudra qu’on essaye, me susurra Valérie, en se massant le sexe par-dessus ses vêtements. Jaloux ? demanda-t-elle à Sébastien.

  • Non, répondit-il. Qui suis-je pour t’empêcher de prendre ton plaisir !

En quelques jours, il avait changé de façon si stupéfiante. Je me moquerais probablement de lui, si je n’avais pas été entraîné par Ladyscar sur des pentes encore plus dangereuses.

  • Et si on jouait un peu ? proposa Nathalie en me pinçant la cuisse.

  • A quoi penses-tu ? lui demanda son amie.

  • S’il a appris le cunnilingus, alors ce serait bien qu’il s’en serve, répondit-elle en glissant sa main dans sa culotte qu’elle voulait humidifier avant que je ne commence.

  • Oui, répondit Valérie, mais compliquons leur un peu la tâche, ajouta-t-elle en attrapant et secouant les deux sachets d’huile pimentée restés au fond des boites à pizza.

Nous nous dirigeâmes vers mon lit où les deux filles avaient assez de place pour s’asseoir côte à côte. Cela me faisait étrange cette partie à quatre. Le petit enfant au fond de moi, voyait ma première relation avec une fille, dans une chambre, lumière éteinte, sous les draps. Je le rassurais ; cela pouvait toujours arriver. Avec ma cage, dans tous les cas, ce n’était pas pour aujourd’hui.

Les deux filles enlevèrent leurs collants, leur culotte puis leur jupe pour ne pas tâcher, comme elles dirent. Nathalie m’attrapa, ne laissant pas le choix des partenaires. Je me suis agenouillée devant elle. Sébastien me suivait par mimétisme. Je commençai à la caresser du doigt, nul besoin de l’humidifier de ma langue, elle était déjà trempée. Je fis délicatement sortir son clitoris, caresse après caresse, alternant la langue au doigt. Jouant, comme l’infirmière me l’avait appris, avec ses différentes zones érogènes.

Il ne fallut pas longtemps pour l’amener où je voulais. Je la gardais au bord du gouffre avant de l’y plonger, puis je la laissais reprendre ses esprits et je revenais encore. Elles prirent plaisir, au moins Nathalie dont je sentais les mouvements erratiques et incontrôlées de certains de ses muscles. Un moment je crus que nous allions changer de partenaires, mais Nathalie ne voulut pas me lâcher. Jalousie ou Sébastien ne la tentait pas.

Partie remise, me chuchota doucereusement Valérie avant de reprendre sa position, la tête de Sébastien entre ses jambes. Après encore quelques minutes, les filles se mirent d’accord pour pimenter un peu le jeu, en vidant le contenu du sachet sur leur sexe et nous imposant de continuer à les lécher. Le début fut un peu difficile avant que le liquide ne se mélangeât à leur propre sécrétion. Elles nous tinrent même la tête, nous insultant d’un ton enjoué en nous tenant, tirant par les cheveux.

  • Allez lèche, lança Valérie, en prologue à toute une série d’injonctions se voulant de plus en plus agressives.

Salope, soumis, lopette, fainéant, les mots alternaient, me paraissant toujours étranges surtout sortant de la bouche de Nathalie, que j’avais connue plus austère.

Sébastien prenait autant de plaisir que les filles et seule Valérie qui tournait parfois le regard sur moi, avait une certaine retenue, derrière laquelle j’imaginais par fierté, un peu de convoitise. Malgré la douleur piquante, je me suis arrêté bien après l’autre couple, que lorsque Nathalie, à bout de souffle, après plusieurs injonctions, me demanda, m’ordonna, puis me supplia de stopper.

  • Tu as besoin d’une pause ? exagérai-je alors que j’étais moi-même éreinté.

Elle pleurait, ne retenant pas ses larmes, des soubresauts de plus en plus éloignés, comme un écho aux orgasmes qui l’avaient saturée.

  • La prochaine fois, ce sera moi, me dit Valérie, cette fois suffisamment haut pour que tous l’entendent.

J’observais Sébastien qui n’avait aucune rancœur envers moi. Il semblait juste déçu de ne pas avoir offert à sa maitresse autant que j’avais pu satisfaire la mienne.

Nous avons beaucoup bu et surtout mangé de la mie de pain. Sébastien et moi avions les lèvres en feu… et nous n’étions pas les seuls. Nathalie et Valérie se soulagèrent ensemble dans la salle de bain, tandis que je m’étonnais intérieurement avec grivoiserie du temps qu’elles y passèrent, sentiment croisé en écho dans les yeux de Sébastien.

La fin de soirée se terminait avec un plug dans le cul pour moi, sous le martinet et les griffes de Nathalie, tandis que Valérie offrait une gourmandise à son homme. Qu’il en profite tant qu’il peut, pensais-je jaloux, en voyant le sexe de Sébastien, apparaître et disparaitre dans la bouche de Valérie.

Cela devenait infernal à quel point je voulais qu’on m’enlève cette cage ? A quel point je voulais prendre la place de Valérie… non de Sébastien ! Mon dieu non ! C’était bien la place de Valérie qui me faisait le plus fantasmer en ce moment précis avec cette pénétration buccale !

Mon voisin avait-il raison ! J’étais homo !

Lire la suite : Premières expériences et engrenages : Chapitre 32 Face-sitting
Ha ha ! Mais quelle bonne soirée pimentée ! Ca fait plaisir ! Vivement demain la suite !
je dois bien l avouer , je ne suis pas porter sur la douleur, je suis plus sur l humiliation . en attendant je dois bien l avouer il n y a pas un jour qui passe sans que je ne lise tes récits avec un grand intérêt.
Je vous remercie de l'intérêt que vous y portez. Il est toujours difficile quand on écrit de savoir si c'est plaisant à lire
C'est effectivement très plaisant à lire. On se demande quelles wont les limites de ce narrateur et s'il en a.
Derrière cette histoire, il y a aussi la présentation de l'ensemble des pratiques de tous ces domaines connexes. J'avais trouvé que 50 nuances de grey était beaucoup plus "vanille" que ce qu'on pouvait attendre de ce type de littérature
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