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Ce récit est la suite de : Premières expériences et engrenages : Chapitre 31 : Soirée Pizza
il y a 1 an
Le début de cette saga est ICI Chapitre 32 : Face-sitting
Jeudi à midi, après le cours de math, je partis à la salle de soin. Lydia, l’infirmière, m’y attendait.
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Toujours pas de sports ? me demanda-t-elle.
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Toujours ma cage. Vous croyez que je pourrai rater tous les cours ?
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C’est le dernier. Après ce weekend, j’aurai un double des clefs de ta nouvelle cage. Je ne serai pas la seule. Tu passeras juste avant le sport et juste après pour que je la remette.
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A midi ?
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Non juste avant deux heures, si nous n’avons pas de leçons. Ladyscar ne veux pas que durant les deux heures du midi, tu puisses, selon son expression, tremper ta biscotte dans n’importe quelle étudiante ou étudiant.
Je voulus répliquer, mais cela ne servirait à rien. Elle n’était que la messagère.
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Est-ce que Ladyscar a planifié de nouvelles leçons ensemble ?
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Juste aujourd’hui, pour l’instant. Si tu veux recevoir ton exemption, mais peut-être préfères-tu montrer ta petite cage rose sous les douches ?
Je ne croyais pas à ce chantage. Il sonnait faux. Mais je ne voulais pas m’opposer à Lydia. Elle n’était pas dominatrice. Elle l’avait avoué et je le ressentais. J’étais bien avec elle, plus ouvert, moins tendu.
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Que devons-nous voir ?
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La suite de la semaine dernière, le face-sitting.
Je n’avais jamais entendu ce mot, mais si c’était comme la semaine dernière cela ne pouvait pas me déplaire. A nouveau, elle me fit mettre à nu après avoir verrouillé la porte. Cette fois en revanche, elle n’ôta que sa culotte et me passa ce morceau de dentelle noire devant le nez. Si elle voulait avoir de nouveaux orgasmes, j’étais prêt à les lui donner. Mon sexe, blasé, n’essaya même plus de contester son statut de prisonnier.
- Allonge-toi ! me dit-elle, en m’indiquant le lit médical.
A peine étendu, elle me chevaucha. A genoux, ses fesses s’appuyaient sur ma tête, alors que sa blouse formait comme un voile de mariée autour de mon visage. Au vu de la suite, le linceul ferait une meilleure comparaison.
Dès le début, ma peur de l’étouffement ne me permit pas de profiter pleinement de la situation. Plus elle arcboutait ses orifices sur mon nez et ma bouche, plus j’avais l’impression de ne plus pouvoir respirer. Ses mains, appuyées sur mon torse, faisaient pression et m’empêchaient de gonfler mes poumons, quand, gigotant entre deux positions, un peu d’air pur venait à s’insinuer entre nos deux corps.
Ma langue ne s’agitait plus. Elle me semblait gonflée dans ma bouche compactée. Avec mes bras j’essayai de soulever ses cuisses, sans résultat ; elle résistait. Mon corps se tordit jusqu’à ce qu’elle attrapât mes couilles et les serrât très fort. De son autre main, elle s’acharna sur un de mes tétons. Mais la douleur n’y fit rien. La peur de l’asphyxie, se transforma en panique. Je lui pinçai les fesses, la griffai, jusqu’à ce qu’elle crie.
- Ça ne va pas, m’invectiva-t-elle en se relevant.
Mon visage rouge, la panique qu’elle devait lire dans mes yeux, lui firent comprendre la situation.
- Ladyscar m’avait dit que tu n’aimais pas les jeux d’asphyxie, mais je ne savais pas que cela t’était si pénible. Je vais y aller plus doucement. Tu auras juste à me pincer les fesses si cela ne va pas, d’accord ?
J’aurai voulu dure non. J’aurai voulu dire que c’était fini pour aujourd’hui, mais le ton qu’elle employa, sûrement développé par son métier et ses patients, me fit opiner de la tête.
- Doucement, eussé-je juste le temps de dire avant qu’elle ne s’assît de nouveau sur moi.
Cette fois, penchée, elle ne prenait plus appui sur mon nez. Elle se déplaçait d’avant en arrière, langoureusement. Sa tête finit par prendre appui sur mon propre sexe. Sa langue s’insinuait à travers les barreaux de la cage, tournoyant sur mon gland. Ecrasé contre la grille de sa prison, ce dernier lui criait grâce en silence.
Ma langue s’activait à nouveau, alors que ses ongles imprimaient sur mes couilles de longues rayures que je pourrai admirer plus tard. Ma tête chauffait toujours. Mes oreilles, frottées par ses cuisses, ressembleraient à celles que j’affichais après une bonne cuite. Mais ce que j’imprégnais comme sensation était l’odeur de son sexe humide. Sans dénigrer Proust, la senteur de ses madeleines ne rivaliserait pas aux effluves qui m’assiégeaient en cet instant.
Comme la semaine dernière, nous prolongeâmes au maximum, ce que Chronos voulait bien nous accorder. Et c’est avec regret de devoir la quitter qu’elle me fit un mot, m’évitant cet avant-dernier cours de sport avant noël. Je trouvais l’avoir déjà réalisé. Elle m’autorisa à utiliser le lavabo et me rafraichir avant que je ne me rhabillasse pour rejoindre le banc du stade. Cette fois j’avais emporté une barre de céréale que je dévorai sur la route, pour tenir jusqu’à ce soir. Ces séances, en lieu et place de repas, finiraient par me faire venir ici pour de bonnes raisons.
Je croisai Sébastien qui, à ma mine, me sourit d’un air entendu. Je le lui rendis sans vouloir que ne paraisse aucune connotation sexuelle. Mais, malgré le bon moment que je venais de passer avec Lydia et probablement dû à la frustration de ne pouvoir toujours jouir correctement, je revoyais son sexe en train de s’engouffrer dans une bouche, dont je voulais qu’elle fût mienne.
Très beau récit, j'adore.! | |
Elle est gentille, l'infirmière. Elle aurait pu se contenter de se servir de lui sans se préoccuper de se réactions. | |
Ce N'est pas une vrai dominatrice, plus une épicurienne. |
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