J’en ai longtemps voulu à mon mari, de vouloir me forcer à des pratiques sexuelles que j’avais, à ce jour, toujours refusées. Ce n’était pas dans ma nature de me partager avec un autre homme, et n’avais jamais envisagé que cela pourrait arriver un jour. D’autant que, sexuellement, tout ce passé bien dans nôtre couple. Tout s’est passé à mon insu, en partant en vacance avec des amis. On partait dans un monospace, qui embarquait quatre potes. Sylvain, Rémi, Cédric, mon mari, et moi-même, Estelle. Nous avions tous entre vingt cinq et trente ans. Sylvain et Rémi, étaient les meilleur potes de mon mari. Malgré nôtre mariage, les liens se sont renforcés, et ils ne m’ont jamais manqué de respect. On avait prévu de partir en début de soirée, quand la circulation serait moins dense, et la chaleur moins forte. Les valises posées sur le lit, je passais mon après-midi, à préparer les bagages, quand mon mari sortit de la salle de bain, entièrement nu, la bite en érection. Il me propulsait sur l...

Dans la soirée douce et apaisante d’un été perpignanais, je me trouvais tranquillement installé en terrasse d'un café, à savourer ma pinte de bière. Les rayons du soleil couchant illuminaient la scène d’une lumière dorée, et j’admirais les passantes qui flânaient le long du trottoir. Chaque table entourée de rires et de discussions animées semblait raconter une histoire. Parmi les clients du café, une femme d’une cinquantaine d’années attirait mon attention. Elle cherchait désespérément une place, visiblement embarrassée par la situation. Sa robe élégante épousait délicatement ses formes, et je ne pouvais m’empêcher de remarquer la manière dont elle était mise en valeur. Dans un élan de générosité, je lui proposai de partager ma table. À ma grande surprise, elle accepta avec un sourire chaleureux. "Je m'appelle Clara," dit-elle en s’installant." "Enchanté, moi c’est Jacques," répondis-je, curieux de découvrir ce que cette rencontre fortuite pouvait nous réserver. Nous avons...

Promenade des anglais Voici un récit d’une exhibe en live sur coco et sur mon balcon sur la promenade des anglais à Nice Pour ceux qui ont lu mon précédent récit ,c’est sur coco que j’ai débutée et progressée. Ce jour là j’avais décidé de ne m’habiller que de chaînes.( voir photo) inspirée par de sublimes photos du net. J’achète donc des chaînes en supermarché et je me lance dans la confection de l’apparat. J’avais acheté une cage mais pour qui zoom et connaisseurs, elle était bien trop grande pour moi.(j’en suis maintenant à ma sixième cage) L’exhibe se passe de nuit,j’habitais un appartement au troisième étage d’une copropriété face a la mer à Nice sur la Promenade des Anglais. Bien sur j’ai vite eu du succès sur le site et des habitués mon mis à l’épreuve. Sortir sur mon balcon lumières allumées dans l’appartement. Après quelques hésitations je me lance sur le balcon et en cam sur le site. Maintenant il faut attende que des voitures passent… c’est sur on ne pouvait pas me...

Peut-être était-ce la découverte d'une bouteille de vodka dans la table de chevet, ou peut-être était-ce le fait que Guy, mon amant était si excité cette nuit-là. Quoi qu'il en soit, les étoiles étaient alignées pour qu’une action passionnée est lieux entre lui et Michel, mon mari, malgré la farouche opposition de celui-ci. Ce qui le gênait le plus, c’était la différence des atouts, bien supérieur chez Guy Cela ne me semble presque plus crédible maintenant, même pour moi qui fouille dans mon esprit pour en tirer un autre souvenir chaud à partager. Après mûre réflexion, et par amour pour moi, mon mari finit par accepter, sans savoir que l’homme qu’il haïssait le plus au monde, allait être au commande. Mais ce n'était pas un rêve. J'ai vraiment regardé mon amant baiser mon mari. Et j'ai vraiment aimé sa façon de se soumettre. Je n'aurais pas dû être surprise de l'escalade de leur rivalité, après tout. Après une soirée arrosée, Guy avait déjà forcé mon mari à lui tailler une pipe, e...

Afin de me présenter un peu mieux voici ma première séance de soumission. J’avais une vingtaine d’années, pas mal fait semble t il et plutôt viril mais non macho. Depuis ma plus tendre enfance, j’appréciais les jeux de cow boys et indiens et je ne sais pourquoi je finissais souvent attaché à l’arbre. En grandissant, je pris l’habitude de m’attacher (je ne savais encore que c’était du self bondage) pour mes plaisirs solitaires. Quelques aventures plus tard (en toute innocence), je découvris les premières bd et magazines bdsm, ainsi qu’histoire d’O, j’aime bien aussi les belles captives. Ainsi que les journaux d’annonces gratuites, où je ne sais comment je découvris celle qui allait être ma première Maîtresse. Pour ceux qui connaissent elle se situait quartier de la Rode à Toulon. Elle se prénommait Delphine, une petite brunette la trentaine, cheveux bruns mi-longs frisés, un beau fessier et une poitrine 😳. Je me présentais donc au rdv à l’heure prévue, sonnait à l’interphone «  mont...

Note préliminaire : outre la mise en scène de fantasmes sexuels, j'ai essayé de fouiller un peu la psychologie des personnages, les relations et l'intrigue. N'hésitez pas à me donner votre avis. Ch. 1. KGB maternel Mme Lemoine range les sous-vêtements de sa fille dans le placard, à côté d’une pile de culottes en plastique et une autre de couches. Elle ressort, emmenant le panier de linge sale, et ferme la porte. Blandine est maintenant seule dans sa chambre. Elle pianote nerveusement sur le clavier de son ordinateur, apportant les dernières corrections à son mémoire : « Généalogie et mystères familiaux chez Julien Green ». Le commentaire de son directeur résonne encore dans sa tête : « Votre mémoire est remarquable, mademoiselle Lemoine. Vous semblez avoir une compréhension particulièrement fine des enjeux psychologiques que met en scène Green. » Un coup sec à la porte la fait sursauter. Sa mère entre sans attendre d’y être invitée. Blandine a beau lui faire la remarque à c...

L’idée de vivre des expériences de soumission a commencé à me tarauder au cap de la trentaine, quand j’étais encore célibataire. Je n’avais pas encore une idée précise de tout ce que pouvait recouvrir cette notion. Et un beau jour, après avoir lu une petite annonce, je me suis décidé à franchir les portes d’un donjon, en l’occurrence celui de Maîtresse Amanda. Quand celle-ci m’a reçu pour la première fois, j’ai été impressionné en voyant cette femme splendide dans son corset de cuir avec ses cuissardes noires qui la sublimaient un peu plus. Elle m’a tendu la main et maladroitement, j’en ai fait autant… Une gifle est tombée avant qu’elle ne m’explique qu’on ne serre jamais la main d’une Maîtresse mais qu’on la baise. Première visite et première leçon ! Dès cet instant, tout est allé très vite. Elle m’a ordonné de me déshabiller et m’a expliqué qu’étant novice, j’allais commencer mon apprentissage avec les prescriptions les plus élémentaires. Et je me suis jeté dans le grand bain… Se...

« C’était mon voisin de palier. Il était célibataire et m’importunait chaque fois que je prenais l’ascenseur. Il me draguait. Moi, ça m’embêtait, il ne me plaisait pas et mon mari en avait marre de le voir tourner autour de moi. Un jour nous avions décidé de lui donner une leçon, nous l’avons invité chez nous pour diner. On l’a fait boire pas mal et quand il était complétement sou, on l’a déshabillé et on a pris des tas de photos. On l’a même sorti de l’appartement en le tenant par la main chacun d’un côté et on l’a trimbalé dans les couloirs et dans l’ascenseur en le prenant en photo. Il était très petit, avec un tout petit sexe et on aurait dit un enfant avec ses parents. Quand on l’a ramené dans l’appartement et que l’on a regardé les images, l’idée nous est venue de le faire chanter. On l’a enfermé dans les WC pour le faire dégriser et nous sommes allés nous coucher. Le lendemain, je suis allé préparer le petit-déjeuner. Je n’entendais aucun bruit, mon mari dormait encore et aucun...

Alice est une fille très sympathique, hélas pour elle, sa santé ne va pas bien. A 28 ans, elle est atteinte d’une maladie psy difficile à définir et donc à soigner. Elle se complait et s’épanouie dans le monde de l’ABDL avec d’autres filles Little, une havre de paix pour cette jeune femme. Sa force de caractère est telle, que quand elle va bien, elle s’assume et en parle librement sur internet tout comme de ses passions, sa façon d’être Little. Elle se sent aussi « utile » en aidant les personnes dans la détresse. Elle s'est fait un petit cercle d'amis virtuel sur un réseau social, des gens dont elle prend régulièrement des nouvelles. Se sentant plutôt exclue par la société, elle trouve dans cette vie virtuelle, une place qu'elle n'a pas dans la vie courante. Dans le monde ABDL et Little, dès qu’une fille se connecte sur un forum ou le chat de Fessestivites, elle ne manque pas de prétendants et de demandes. Alice sait bien les gérer, elle les envoie « balader » lorsqu’ils son...

Ma première sortie en travestie fut sur la demande d’un inconnu sur un site de rencontres. Une chose bien classique, boire un café et discuter pour faire connaissance en réel. Au fur et à mesure de la conversation la rencontre prenait l’allure d’un défi, il me demande de venir en trav en mini jupe talons cage plug à 13h sur le parking d’un centre commercial. Excitée par le défi je dis oui et m’y rend le lendemain. Je le retrouve donc sur le parking il m’avait décrit sa voiture et l’endroit du parking où il m’attendait. Alors go je descends de la voiture et marche vers la sienne en mini jupe noire un peu transparente des talons rouge pas trop haut pour une démarche crédible… Il ouvre sa portière je monte et il contrôle le reste de la tenue, le plug et la cage . Bien me dit il ! Mets ta main dans mon pantalon j’obéis et je sens qu’il est bien excité et mouillé… Alors il me demande si je veux en faire plus mais à l’abris des regards. En bonne soumise je dis oui et il m’emmène dans sa...

Le costume En regardant la table, elle vérifia que tout était bien disposé. Elle avait en tête un arrangement spécifique et les objets destinés à son aventure de ce soir devaient être soigneusement alignés dans l'ordre dans lequel ils seraient utilisés. Il était important pour elle que tout soit organisé dans le bon ordre. C'est peut-être ce qui la fascinait tant dans l'époque édouardienne britannique, du début du XXe siècle jusqu'à la Première Guerre mondiale. La structure sociale rigide et le rôle précis et bien défini de chacun, en fonction de sa classe sociale, correspondaient à sa propre croyance sur la façon dont le monde devait fonctionner. Le thème du costume de ce soir serait inspiré de cette époque. Heureusement, il existait de nombreux sites Web proposant des vêtements pour femmes authentiques (ou presque) d'époque. Son choix pour la soirée commença par une coiffure tirée en arrière, qui plaçait ses cheveux sur le dessus et derrière sa tête. Le chemisier à manches l...

#### Mes vacances au Gîte Fétichistes… oui, enfin mes vacances… 🙄 Aaaah ces vacances… Plus d’un·e doit rigoler en lisant ce mot, car même si certains ont dû y croire ça devait être au tout début… En fait tout est parti d’une idée tordue. MON idée tordue ! Lors de mon dernier séjour au gîte, TSM et Malicia m’avaient gentiment proposé de le prolonger d’une journée puisque je n’avais aucune contrainte particulière à Tours, et on en a profité pour faire des vidéos sympas pour promouvoir le gîte. Quelques jours après mon retour, j’ai donc eu cette idée tordue d’une vidéo que pourrait réaliser TSM et je lui en fait part au cours d’un échange téléphonique. Celle d’une femme qui découvre le Donjon par hasard alors qu’elle vient pour un séjour « classique » et une autre qui serait mise en couche après découverte de la nurserie. (Voilà pour la trame. Restait à affiner les détails et la mise en scène.) Il adore l’idée… et quelques jours plus tard, Malicia et TSM me rappellent...