J’arrive dans le salon enveloppée dans une serviette, et je vois par la baie ouverte de la terrasse, Thomas, mon mari, serrer dans ses mains une tasse de café. Julien se tient debout derrière lui, une main amicale posée sur son épaule. - Désolé mon vieux, je ne voulais pas ça...ta femme non plus. Thomas regarda Charles monter dans sa voiture, et s’éloigner du chalet, tandis que je restais plantée au milieu du salon, enveloppée dans une serviette de bains, voulant dire quelque chose, mais aucun mot ne sorti. Je venais de passer la nuit à faire l’amour avec Charles, un prêteur sur gage de soixante ans. Maintenant, Thomas se sentait coupable, semblait regretter. Tout a commencé lorsque l’entreprise familiale de mon mari connu des difficultés financière suite à une baisse de commandes. Même si cette crise n’était que passagère, il fallait des fonds pour passer le cap, tandis que la reprise s’annonçait. Malgré une étude de marché solide, les banques restaient réticente à consent...

À l'époque du Far West, quatre sœurs semèrent le trouble partout où elles passèrent. L’aînée, elle qu'est comme un melon, qui a un gros nez, elle qui ne sait plus son nom. Pardon, Ça c'est une chanson de Jacques Brel, je disais donc. L'aînée Avrella ne fut pas la plus futée, la cadette Joannie, elle, fut la plus teigneuse, quant aux deux autres, elles furent presque des figurantes dans ce quatuor infernal, nul ne put les arrêter car leur nudité les exposa dans une Amérique si puritaine que le simple fait de les regarder fut un péché. Dans la petite ville de Raccoon City, une diligence arriva en trombe, le cocher hurla : Nous sommes attaqués, quelqu'un pour nous aider ? Sortant du saloon, un homme à l'apparence ordinaire vit au loin un groupe de cavalières dans la fumée. Lorsqu'elles arrivèrent, elles menacèrent toute la communauté. L'homme s’approcha lentement de leur cheffe et l'attrapa par la taille pour la faire descendre de son cheval puis l'agrippa par les épaules, la pen...

Cette histoire se déroule en l'an 69. À l'époque le royaume de Claque-Fesses n'était alors qu'une partie de l'empire des Fesses Ardentes (Nates ardēns) dans la langue d'origine. Dans une maisonnée, cinq femmes discutaient au lieu de travailler, énervées de voir leur intimité exposée à chaque fessée, ensemble elles décidèrent de porter des pantalons sous leur tunique, pensant qu'il les protégerait des fessées si elles refusaient de les retirer. Profitant des rares moments de tranquillité, chacune d'elles partageait discrètement cette idée aux autres femmes qu'elles croisaient et celles qui l’acceptaient en faisant autant. Cependant la rumeur enflait et finit par arriver aux oreilles du chef du village. - Des femmes veulent porter des pantalons, sous leurs vêtements ? - Qu’on les emmène sur la place centrale, pour que je leur donne des fessées. S'écria-t-il. Plusieurs femmes se retrouvaient ainsi attachées au billot exposant leurs fesses nues au public rassemblé pour voir tout...

Madame Chiara prenait un plaisir certain à corriger Jules devant sa Maîtresse. Les coups étaient très appuyés au point où Jules par réflexe ferma les yeux et utilisa sa respiration pour endurer cette correction. Comme Chiara ne fouettait pas de manière régulière faisant de courtes pauses Jules était constamment dans l’attente du prochain coup . Serait-il plus fort ? Sur la fesse gauche ou droite ? Au milieu, sur le sillon fessier qui était particulièrement exposé dans cette position ? La douleur avait fait totalement disparaître l’érection de Jules . Dans sa tête les flashes se succédaient. Il prenait conscience de ce qu’était une vraie punition et espérait de toute ses forces qu’elle s’arrêterait bientôt. Chiara : je t’ai autorisé à cesser de lécher les bottes de ta Maitresse ? Perdu dans ses pensées Jules avait cessé de vénérer les pieds de Delphine . Jules : Non Madame , pardon Madame. Jules n’eut pas le temps de se remettre à lécher qu’un nouveau coup encore pl...

Delphine est une très belle femme, la cinquantaine, très fine, la taille marquée, une jolie petite poitrine ronde . Toujours très soignée et habillée élégamment. Elle vit avec Jules . Un homme de la soixantaine athlétique et sportif . Bien conservé comme on dit . Il s’agit d’un couple ou la femme domine , Si vous les rencontrez vous ne vous apercevrez de rien car Delphine tient à garder ce secret entre eux . Cependant à la maison Jules apporte son petit déjeuner au lit à Delphine tous les matins. Il s’occupe de la plupart des tâches ménagères parfois de façon trop superficielle ce qui lui vaut des remontrances. Delphine aime le mettre en cage . Elle n’en abuse pas mais apprécie beaucoup l’effet psychologique de cet instrument sur Jules . Cela le remet à sa place, au pieds de sa Maîtresse . Il devient très attentionné, très respectueux, serviable et même un peu servile . Par contre Delphine n’aime pas châtier Jules et n’utilise les punitions corporelles qu’avec parcimonie . Cel...

Je suis plutôt androgyne, un mètre soixante dix, peu de kilos les cheveux longs. A la naissance je née dans le genre opposé à celui que je ressens en moi, un tout petit attribut se loge entre mes cuisses. Le seul moment où il se dresse c’est le matin au réveil puis malgré toute stimulation il reste recroquevillé. Je ne sais pas si c’est l’alimentation (Élevée au tout soja et tofu) mais dès mon adolescence mes seins se sont formés et à ce jour j’ai une belle petite poitrine. Une fois adulte j’ai assumé ma transition avec pas mal de galères, nous ne sommes pas vraiment bien acceptées que ce soit dans la vie courante ou dans le monde du travail. Cette histoire est réelle, elle s’est déroulée au tout début ou j’ai décidé d’assumer ma part féminine. Je commençais à sortir en fille en journée, mon maquillage était devenu au bout de pas mal d’essais crédible. Lors de ma sortie au bois j’avais trouvé sur mon pare-brise un mot : RENDS-TOI VENDREDI SOIR À PARTIR DE 20 HEURES...

Je n’aurai jamais imaginé que le moment ou ma vie s’effondrerait serai exactement le moment le plus interdit, le plus chaud, et le plus mauvais de tous. Quand j’ai ouvert les yeux, toujours haletante, en sueur, avec une respiration lourde, et mon corps mélangé au sien, j’ai seulement eu le temps de voir la porte de la chambre s’ouvrir violemment, et le visage de Marc se déformer en une expression que je n’avais jamais vu auparavant, même dans les pires moments de nôtre mariage. Froid et fatigué, il ne m’avais jamais regardé ainsi, un mélange amer de dégoût, de colère et de mépris. Nous étions là, Lucien et moi, entièrement nu, pris dans ce qui était bien plus simple qu’une erreur charnelle. C’était un abandon total de ma part. Je m’étais laissée emporter par la chair, par quelque chose dont je savais même plus que ça existait en moi. Le père de Marc, mon mari, s‘était installé chez nous suite à des problèmes de santé. Le vieil homme, avec son corps vieilli, mais toujours puiss...

Au bois Je suis plutôt androgyne, un mètre soixante dix, peu de kilos les cheveux longs. A la naissance je née dans le genre opposé à celui que je ressens en moi, un tout petit attribut se loge entre mes cuisses. Le seul moment où il se dresse c’est le matin au réveil puis malgré toute stimulation il reste recroquevillé. Je ne sais pas si c’est l’alimentation (Élevée au tout soja et tofu) mais dès mon adolescence mes seins se sont formés et à ce jour j’ai une belle petite poitrine. Une fois adulte j’ai assumé ma transition avec pas mal de galères, nous ne sommes pas vraiment bien acceptées que ce soit dans la vie courante ou dans le monde du travail. Cette histoire est réelle, elle s’est déroulée au tout début ou j’ai décidé d’assumer ma part féminine. Je commençais à sortir en fille en journée, mon maquillage était devenu au bout de pas mal d’essais crédible. Près de chez moi il y a un lieu de rencontre dans un grand bois où l’on rencontre plus d’hommes que de fem...

Le Relais des Routiers Je suis plutôt androgyne, un mètre soixante dix, peu de kilos les cheveux longs. A la naissance je née dans le genre opposé à celui que je ressens en moi, un tout petit attribut se loge entre mes cuisses. Le seul moment où il se dresse c’est le matin au réveil puis malgré toute stimulation il reste recroquevillé. Je ne sais pas si c’est l’alimentation (Élevée au tout soja et tofu) mais dès mon adolescence mes seins se sont formés et à ce jour j’ai une belle petite poitrine. Une fois adulte j’ai assumé ma transition avec pas mal de galères, nous ne sommes pas vraiment bien acceptées que ce soit dans la vie courante ou dans le monde du travail. A ce jour j’ai trouvé du travail auprès d’une consœur entrepreneuse et je vais vous raconter comment ma vie s’est deroulée avant d’en arriver à une stabilité sociale et financière. Je venais de terminer mes études et cherchais désespérément un travail, un stage rémunéré, mais hélas rien et le temps passant mon...

La vie est faite de projets, d’ambitions, de mariage, de fidélité. Avec ma compagne, on s’était jurés tous, on s’était toujours projetés dans ce sens, jusqu’au jour fatidique ou tout à basculé. Ce jour là, j’ai vécu la journée la plus affreuse de ma vie. Sandrine et moi étions au mariage de nos amis. Lorsque nous nous préparions, je ne me lassais jamais de voir son corps entièrement nue, évoluant devant moi, ondulant des hanches aux galbe parfait, les seins fièrement dressés, avant que je ne la jette sur le lit, l’enlace, caresse ses parties les plus intime, d jusqu’à ce que, si l’on était pas trop en retard, la baise en levrette, sa position préférée. Pour la circonstance, ma copine était d’une beauté à couper le souffle, et savait qu’elle ferait des jalouses. Je savais qu’elle ne portait rien sous sa robe rouge, et n’attendait qu’une chose, que j’ôte ce dernier rempart. Les mariés s’étant dit « oui », nous nous sommes rendus au vin d’honneur dans une ferme magnifiquement d...

Cette histoire s'est passée il y a 20 ans, j'habitais à Nice et revenais d'une soirée entre amis, à quatre heures du matin il n'y avait pas grand monde avenue de la Californie. Je suivais une petite "samba" décapotables depuis un moment, arrivé à un feu tricolore cette voiture passe à l'orange, moi je m'arrête et la regarde s'éloigner. Au loin la décapotable fait une puis deux embardées et s'immobilise au bord de l'avenue. Le feu passe au vert et lentement je me rapproche de cette voiture d'où s'était extrait une grande fille habillée d'un tailleur dont la veste arrivait au niveau du bas de sa mini jupe et des escarpins dont le talon me paraissait très haut. Arrivé à sa hauteur elle se précipite vers moi. «Excusez-moi je viens de crever et je ne sais pas changer ma roue pouvez-vous m'aider ?» Elle était ravissante, cheveux longs ondulés, les yeux bleus, sa veste laissait deviner une belle poitrine, comment lui dire non, impossible. Me voilà à qu...

C'est arrivé un de ces jours d'été, je m'étais rendue dans la campagne pour visiter une vieille grange déserte que j'avais trouvée un jour lors d'une excursion. J'étais déjà venue là plusieurs fois avant et c'était le lieu idéal pour mes explorations de self-bondage, loin de la vue de la route qui passait derrière la forêt, car je ne voulais pas être dérangée pendant que je serais attachée agréablement et solidement. J'aimais m'attacher moi-même à l'extérieur pour sentir le vent sur mon corps, les grands espaces tout autour de moi pendant que j'étais dans mon propre petit espace de liens, cela était excitant ainsi que le danger qui en découle, il y avait plus de chance d'être découverte et je crois que c'était ce frisson que j'appréciais le plus. Je commençai cette session en cachant ma voiture dans les bois et en revenant à pied pendant 600 mètres le long d'une vieille route boueuse vers la vieille grange déserte, c'était la seule construction à des kilomètres à la ronde et elle se...